1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 xueux d’où sortaient à chaque tour du tambour des bouffées de musique. » La femme en bleu dansait en regardant au plafond. Après
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 es tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde autour de ma tête. La volupté de
3 prétextes, de secouer sa pipe quand les dernières bouffées deviennent écœurantes, de s’étirer alors et de considérer les flaques
4 lemand que l’on boit à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 es tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde autour de ma tête. La volupté de
6 prétextes, de secouer sa pipe quand les dernières bouffées deviennent écœurantes, de s’étirer alors et de considérer les flaques
7 lemand que l’on boit à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de
4 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
8 evant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées . Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas, si proche dans les r
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
9 d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse, ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du trottoir bleu huileux, ces pr
10 ressé. Des enfants courent derrière la palissade. Bouffées d’odeurs, fumées grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le
6 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
11 evant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées . Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas, si proche dans les r
7 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
12 uté la radio : opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée , toutes ces nuits de Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
8 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
13 outé la radio. Opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée , toutes ces nuits de Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
14 es tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde autour de ma tête. La volupté de
15 prétextes, de secouer sa pipe quand les dernières bouffées deviennent écœurantes, de s’étirer alors et de considérer les flaques
16 lemand que l’on boit à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
17 evant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées . Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas, si proche dans les r
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
18 d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse, ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du trottoir bleu huileux, ces pr
19 ressé. Des enfants courent derrière la palissade. Bouffées d’odeurs, fumées grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
20 outé la radio. Opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée , toutes ces nuits de Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
13 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
21 il à tout jamais perdu ? J’ai pu le craindre, par bouffées d’angoisse, durant mes années d’exil américain, de fin 1940 à 1946. M
14 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
22 il à tout jamais perdu ? J’ai pu le craindre, par bouffées d’angoisse, durant mes années d’exil américain, de fin 1940 à 1946. M
15 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
23 e, et à tant d’égards périlleuse, que ces petites bouffées de non-sens étaient indispensables à l’hygiène mentale de notre ami.