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nquête, comme de guéridons démodés supportant des
bouquins
d’ornement : la cause des intellectuels n’est plus celle de l’esprit1
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le, je ne sais plus le nom du type qui a écrit le
bouquin
. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’histoire d’une municipalité qui fait co
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e, ce même éditeur commandera à ce même auteur un
bouquin
sans valeur artistique mais « vendable », c’est-à-dire un navet de sé
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t. Qu’on n’aille pas se figurer qu’il s’agit d’un
bouquin
d’érudition ou d’un traité classique d’officier en retraite. C’est to
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ui a dû valoir les palmes à son auteur. Le second
bouquin
, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde
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ui a dû valoir les palmes à son auteur. Le second
bouquin
, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde
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le, je ne sais plus le nom du type qui a écrit le
bouquin
. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’histoire d’une municipalité qui fait co
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ntraire, ici, qui va de soi. Parmi la douzaine de
bouquins
que j’ai pu emporter de Paris, il y avait le Journal d’André Gide. Ch
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nquête, comme de guéridons démodés supportant des
bouquins
d’ornement : la cause des intellectuels n’est plus celle de l’esprit1
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ui a dû valoir les palmes à son auteur. Le second
bouquin
, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde
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le, je ne sais plus le nom du type qui a écrit le
bouquin
. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’histoire d’une municipalité qui fait co
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u choc. Un mythe avait pris corps… “J’ai lu votre
bouquin
sur la bombe atomique”, dit le père de la Relativité universelle. « V
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ue l’on suppose exaspérés. Après tout, dans votre
bouquin
, il n’y a pas seulement les troubadours, et ces cathares qui furent o