1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
1 concrètes, ces tours de phrases d’une familiarité bourrue mais raffinée, cette ivresse verbale jugulée par une constante mauvai
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
2 taisie assez relâchée. En quelques touches un peu bourrues , un peu précieuses, il jette l’esprit du lecteur dans le vif d’un suj
3 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
3 parapluie mal fermé sous le bras, et des lunettes bourrues au-dessus du sourire de la plus fervente ironie ? Qu’est-ce qu’il gro
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
4 est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru , en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne saurait
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
5 c’est le Palais de Versailles ! s’est écrié Tonio bourru , en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne saurait
6 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
6 est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru , en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne saurait
7 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
7 parapluie mal fermé sous le bras, et des lunettes bourrues au-dessus du sourire de la plus fervente ironie ? Qu’est-ce qu’il gro
8 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
8 ent, ils le proclament d’une voix de plus en plus bourrue , de plus en plus contenue et glaciale. Et l’on ne peut s’empêcher de
9 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
9 ent, ils le proclament d’une voix de plus en plus bourrue , de plus en plus contenue et glaciale. Et l’on ne peut s’empêcher de
10 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
10 sait jamais accentuait, par contraste avec le ton bourru qu’on tient pour énergique dans les casernes, une indépendance d’espr