1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 e que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’on repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend peu à peu des choses bien curie
2 À la bonne heure ! ». Et l’on repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend peu à peu des choses bien curieuses sur son
2 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 les rues. Des jeunes gens avec une femme à chaque bras , l’air de ne pas trop s’amuser. — Ceci du moins n’a guère changé, dis
4 ment de progresser. Gérard dut le prendre sous le bras , et les paires de pinces s’accrochèrent désespérément à ses manches.
5  ! » Il n’y avait plus qu’à lui prendre chacun un bras , une femme pour deux hommes — et ce fut bien dans cette anecdote dont
6 e. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui sont les bras de Clarissa dans sa danse, et Clarissa c’est aussi l’Anglaise aux cit
3 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
7 ussi je me secouerais, et que nous nous en irions bras dessus, bras dessous en riant de nous-mêmes et de tout le reste, nous
8 couerais, et que nous nous en irions bras dessus, bras dessous en riant de nous-mêmes et de tout le reste, nous amusant comm
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
9 e que l’on fuyait avec des bonheurs fous dans les bras maternels, ou bien ces promenades en tenant la forte main du père qui
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
10 ’héritage de cinquante ans de radicalisme sur les bras . L’écheveau est tellement embrouillé que déjà plusieurs proposent de
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
11 e que l’on fuyait avec des bonheurs fous dans les bras maternels, ou bien dans ces promenades en tenant la forte main du pèr
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
12 ’héritage de cinquante ans de radicalisme sur les bras . L’écheveau est tellement embrouillé que déjà plusieurs proposent de
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 ert, dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 Je les vois frapper le sol du talon en levant un bras , la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
15 n changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire p
16 s danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de p
17 is non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu ra
18 chantent avec le corps entier — non pas avec les bras , comme on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste,
19 ’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ».
10 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
20 nue Quand tes yeux se confondent et que tes bras autour de moi aux limites du monde nouent leur effroi je t’appe
11 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
21 ain, l’amour n’existait pas ailleurs que dans mes bras , et nul chemin, nulle distance mesurable, ne conduisaient de Tendre-s
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
22 les rues. Des jeunes gens avec une femme à chaque bras , l’air de ne pas trop s’amuser. Ceci du moins n’a guère changé, dis-j
23 ment de progresser. Gérard dut le prendre sous le bras , et les paires de pinces s’accrochèrent désespérément à ses manches.
24  ! » Il n’y avait plus qu’à lui prendre chacun un bras , une femme pour deux hommes — et ce fut bien dans cette anecdote dont
25 e. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui sont les bras de Clarissa dans sa danse, et Clarissa c’est aussi l’Anglaise aux cit
13 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
26 main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans le bal. Vit-on jamais plus courtoise dérision du g
27 s conclusions de philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasq
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
28 ert, dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D
29 Je les vois frapper le sol du talon en levant un bras , la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
30 n changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire p
31 s danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de p
32 is non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu ra
33 chantent avec le corps entier — non pas avec les bras , comme on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste,
34 ’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ».
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
35 et de tabac, le tout dans une couverture sous mon bras . La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi
36 vêtements misérables et je l’accueillis dans mes bras . Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières
37 ats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir c
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
38 rpres. Les chevaux ruisselants s’échappent de nos bras , et nous les poursuivons, le long des grèves, dans les blés. Midi. Au
39 lueur avance de l’Occident vers l’Orient. 19. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg.
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
40 ain, l’amour n’existait pas ailleurs que dans mes bras , et nul chemin, nulle distance mesurable, ne conduisaient de Tendre-s
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
41 main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans le bal. Vit-on jamais plus courtoise dérision du g
42 s conclusions du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasq
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 ert, dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D
44 Je les vois frapper le sol du talon en levant un bras , la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
45 en changeant de main ; saisir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire p
46 s danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de p
47 is non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu ra
48 chantent avec le corps entier — non pas avec les bras , comme on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste,
49 ’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ».
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
50 rpres. Les chevaux ruisselants s’échappent de nos bras , et nous les poursuivons, le long des grèves, dans les blés. Midi. Au
51 oncé ce crime, nul n’en ayant tiré profit. 11. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg. 12. Je m’étonne d’
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
52 et de tabac, le tout dans une couverture sous mon bras . La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à gravir la colline parmi l
53 vêtements misérables et je l’accueillis dans mes bras . Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières
54 ats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir c
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
55 x ponts chargés de dieux, passagers immobiles, un bras levé… J’habite au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardin
23 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
56 oncret » devient presque synonyme de matériel. Un bras cassé (le gauche) ; l’humiliation de la chute, l’angoisse d’être dimi
24 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
57 tirant par les cheveux. Il faut que du dehors un bras se tende. Le chrétien sait que ce bras s’est tendu. La foi est un ord
58 dehors un bras se tende. Le chrétien sait que ce bras s’est tendu. La foi est un ordre reçu, obéi et ordonnateur. Elle cont
25 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
59 tirant par les cheveux. Il faut que du dehors un bras se tende. Le chrétien sait que ce bras s’est tendu. La foi est un ord
60 dehors un bras se tende. Le chrétien sait que ce bras s’est tendu. La foi est un ordre reçu, obéi et ordonnateur. Elle cont
26 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
61 à chacun. Puis il fit un grand geste de ses deux bras levés, — comme pour bénir les circonstants, — et soudain, cachant sa
27 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
62 maître italien. La somme de saint Thomas sous le bras , mon chrétien arpentait les portiques d’une de ces villes du Quattroc
63 des carrières libérales. L’agriculture manque de bras , — dit-on… J’espère avoir une solution moins défaitiste à vous offrir
28 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
64 cents du Deutschland über alles chanté debout, le bras levé. À huit heures sonnant, les lampes à arc s’éteignirent. Des flèc
29 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
65 t à peu près la même de part et d’autre. C’est le bras vengeur du justicier, du pur des purs, qui s’abat sans scrupule humai
30 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
66 fréquentatif de pendere, suspendre au bout de son bras , soupeser, peser. » 60. Paul Valéry, Entretien avec F. Lefèvre. 61.
31 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
67 fréquentatif de pendere, suspendre au bout de son bras , soupeser, peser. » 62. Paul Valéry , Entretien avec F. Lefèvre. 6
32 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
68 Cincinnatus, qui cultive son lopin avec les seuls bras de sa famille, quitte parfois son domaine pour aller faire la guerre.
33 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
69 uffer la vérité, etc. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des institut
34 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
70 t plus même une chemise entière : les morceaux du bras ayant servi à rapiécer les épaules et le plastron. Le peu d’argent de
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
71 uffer la vérité, etc. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des institut
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
72 pièces meublées — 2 grandes cours et jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de
37 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
73 t plus même une chemise entière : les morceaux du bras avant servi à rapiécer les épaules et le plastron. Le peu d’argent de
38 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
74 extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’homme avance très lentement, saluant d’un
75 l’ombre. Et soudain tout s’apaise. Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au ciel — et le Horst Wessel Lied monte sour
76 olitique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion
39 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
77 agine différente la femme que l’on tient dans ses bras , on la déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les s
40 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
78 u’il n’est plus question pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade, au total, fut un échec dont
41 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
79 prononce son allocution. En terminant, il lève le bras d’un geste timide : — « Et en l’honneur de nos études romanes, Sieg h
80 extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un seul coup. L’homme s’avance très lentement, saluan
81 rée de nouveau s’enfle au-dehors.) Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au ciel — et le Horst Wessel Lied monte sour
42 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
82 olitique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion
43 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
83 t à peu près la même de part et d’autre. C’est le bras vengeur du justicier, du pur des purs, qui s’abat sans scrupule humai
44 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
84 , en saluant d’un geste épiscopal, quarante mille bras se lèvent, et le tonnerre rythmé des heil commence. Et cela dure plus
85 olitique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion
45 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
86 pas menti, elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’aucun homme, hors ceux du roi son maître et du manant qui vient de
46 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
87 elle fille qui de mère naquit La tiens dedans mes bras , donc plus ne me soucie Ni de jaloux ni d’aube. Ce rossignol allègre
88 loge d’aubépine, la dame a tenu son ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié : « Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle
47 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
89 monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du s
48 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
90 st moi qui l’ai saisi le premier dit l’un, par le bras et par la main droite, et lui ai arraché le gant. — Mais à moi, dit l
49 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
91 agine différente la femme que l’on tient dans ses bras , on la déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les s
50 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
92 u’il n’est plus question pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade, au total, fut un échec dont
51 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
93 are — en dépit de certaines apparences — comme le bras séculier à l’autorité spirituelle. Dès lors, toute la Comédie, le Con
52 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
94 (Dorothée apparaît sur le seuil, un bébé dans les bras .) Nicolas. —  Jean, donne les tâches de la journée. Jean (très v
95 as, ne m’abandonne pas ! (Elle se jette dans ses bras .) Scène vi. (On entend dans la coulisse le chant des enfants qu
96 u sommet ?… (Il atteint le sommet et il étend les bras , en silhouette sur la lumière.) … Accueillez-moi dans votre joie ! An
53 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
97 Sonnez le cor épouvantable des batailles Et notre bras vous soutiendra. Nicolas (à genoux). —  Mon Seigneur et mon Dieu,
98 lus tard ! L’astrologue (laissant retomber ses bras ). —  Les signes ont paru. Les sages ont appris. Les fous sont confond
54 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
99 (Refrain.) Chœur des ambassadeurs. Et notre bras vous soutiendra ! La suite de France. —  Service de France ! Un
100 onté lentement au plan 3, et se tient debout, les bras en croix, devant sa cellule.) Récitatif. (Chœur à bouche fermée.)
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
101 pas menti, elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’aucun homme, hors ceux du roi son maître et du manant qui vient de
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
102 elle fille qui de mère naquit La tient dedans mes bras , donc plus ne me soucie         Ni de jaloux ni d’aube. Ce rossignol
103 loge d’aubépine, la dame a tenu son ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié : Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vi
104 mage après la traversée d’une mer, meurt dans les bras de la comtesse de Tripoli dès qu’il en a reçu un seul baiser de paix
105 e notre histoire. Jaufré Rudel va mourir dans les bras de la comtesse de Tripoli, « princesse lointaine » qu’il aime sans l’
106 i démesuré. Elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’un autre homme que son mari, si ce n’est, ajoute-t-elle en riant, d
107 ri, si ce n’est, ajoute-t-elle en riant, dans les bras du pauvre passeur qui vient de l’aider à franchir une rivière : or c’
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
108 monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du s
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
109 st moi qui l’ai saisi le premier dit l’un, par le bras et par la main droite, et lui ai arraché le gant. — Mais à moi, dit l
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
110 agine différente la femme que l’on tient dans ses bras , on la déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les s
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
111 u’il n’est plus question pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade, au total, fut un échec dont
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
112 pas menti, elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’aucun homme, hors ceux du roi son maître et du manant qui vient de
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
113 elle fille qui de mère naquit La tient dedans mes bras , donc plus ne me soucie Ni de jaloux ni d’aube. Ce rossignol allègre
114 loge d’aubépine, la dame a tenu son ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié : Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vi
115 mage après la traversée d’une mer, meurt dans les bras de la comtesse de Tripoli dès qu’il en a reçu un seul baiser de paix
116 e notre histoire. Jaufré Rudel va mourir dans les bras de la comtesse de Tripoli, « princesse lointaine » qu’il aime sans l’
117 i démesuré. Elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’un autre homme que son mari, si ce n’est, ajoute-t-elle en riant, d
118 ri, si ce n’est, ajoute-t-elle en riant, dans les bras du pauvre passeur qui vient de l’aider à franchir une rivière : or c’
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
119 monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du s
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
120 st moi qui l’ai saisi le premier dit l’un, par le bras et par la main droite, et lui ai arraché le gant. — Mais à moi, dit l
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
121 agine différente la femme que l’on tient dans ses bras , on la déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les s
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
122 u’il n’est plus question pour nous de recourir au bras séculier. (Sans compter que la Croisade, au total, fut un échec dont
67 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
123 are — en dépit de certaines apparences — comme le bras séculier à l’autorité spirituelle. Dès lors, toute la Comédie, le Con
68 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
124 ttan… Mais les faubourgs, au-delà du fleuve et du bras de mer qui entourent l’île, s’étendent sur des espaces bien plus vast
69 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
125 ns tes voiles. — Tu les as pris. — Viens dans mes bras , ma fille. II. Le marché de l’aube — Choisis la pierre de tes v
70 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
126 ns vu la population de la Sarre se jeter dans les bras d’Hitler en 1935. Nous avons vu la Vienne sozialdemokrat se transform
71 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
127 ose comme : — Putain. Alors elle le prit dans ses bras , le caressa et l’embrassa. Et comme il s’endormait heureux, elle lui
72 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
128 ipes. « C’est inconcevable ! » opineront-ils, les bras au ciel. Mais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’i
73 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
129 ns vu la population de la Sarre se jeter dans les bras du Reich en 1935. Nous avons vu la Vienne sozialdemokrat se transform
74 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
130 ose comme : — Putain. Alors elle le prit dans ses bras , le caressa et l’embrassa. Et comme il s’endormait heureux, elle lui
75 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
131 ipes. « C’est inconcevable ! » opineront-ils, les bras au ciel. Mais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’i
76 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
132 ns vu la population de la Sarre se jeter dans les bras du Reich en 1935. Nous avons vu la Vienne sozialdemokrat se transform
77 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
133 ose comme : — Putain. Alors elle le prit dans ses bras , le caressa et l’embrassa. Et comme il s’endormait heureux, elle lui
78 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
134 ’eux-mêmes. Alors il lui saisit la tête entre ses bras , et la contemple. Et il la nomme dans sa pensée, comme s’il doutait…
79 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
135 ipes. « C’est inconcevable ! » opineront-ils, les bras au ciel. Mais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’i
80 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
136 t. Dans la rue des gens tombent. Le veston sur le bras , on erre dans un bain de vapeur, cherchant les salles réfrigérées où
81 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
137 ûr que les nations en aient. Et nous restons, les bras ballants… a. « Ni secret ni défense », Combat, Paris, n° 606, 19-20
82 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
138 i s’approche avec son parapluie mal fermé sous le bras , et des lunettes bourrues au-dessus du sourire de la plus fervente ir
83 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
139 euls avec toute la charge de l’occupation sur les bras  ! » Remarquons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques
84 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
140 rivière où il baigne à mi-corps, quand il lève le bras vers ces fruits mûrs qui font ployer la branche au-dessus de son fron
85 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
141 ville, que domine la statue de saint Geller, les bras en croix. Elle arrête la voiture près d’une barrière de parc public,
142 le tour de la table, je m’arrête devant elle, les bras en arrière, comme cela — je me suis retenu de lui toucher l’épaule —
86 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
143 uvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les bras au ciel, ou pointer le doigt du moraliste, n’est pas faire acte de ch
87 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
144 x ou trois enfants par cheval, chacun serrant les bras de l’autre — et partaient au galop dans toutes les directions, à gran
145 mbent dans l’eau noire. C’est une jeune fille aux bras menus qui, du pont, mais en vain, voudrait atteindre un groupe d’amis
146 élargit. Elle tient la gerbe bien serrée dans son bras gauche, elle est très belle et va pleurer. C’en est trop. Je lui arra
147 et sans merci, m’a collé toute la gerbe dans les bras , puis s’est enfuie. C’est une danseuse, me dit le chef steward, la pl
88 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
148 bouger, entre mon fauteuil et ma table — les deux bras du fauteuil touchant le bord de la table — devant un bloc de papier b
149 e émission, celle de la nuit. Pierre Lazareff, en bras de chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’oreille et le fro
150 t. Dans la rue des gens tombent. Le veston sur le bras , on erre dans un bain de vapeur, cherchant les salles réfrigérées où
151 re un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’es
89 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
152 et bien ordonné, quitte à mettre la jambe sur le bras du fauteuil. Leurs images sont frappantes, leurs idées peu formées. M
90 1946, Lettres sur la bombe atomique. Ni secret, ni défense
153 sûr que les nations en aient. Et nous restons les bras ballants, pensant aux achats de Noël… J’ai trouvé quelques paires de
91 1946, Lettres sur la bombe atomique. Ni secret, ni défense
154 sûr que les nations en aient. Et nous restons les bras ballants, pensant aux achats de Noël… J’ai trouvé quelques paires de
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
155 rpres. Les chevaux ruisselants s’échappent de nos bras , et nous les poursuivons, le long des grèves, dans les blés. Midi. Au
156 rsonne n’en ayant profité. (Note de 1967.) 3. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg. 4. Note de 1967 :
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
157 main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans le bal. Vit-on jamais plus courtoise dérision du g
158 s conclusions du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasq
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
159 ert, dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D
160 Je les vois frapper le sol du talon en levant un bras , la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
161 n changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire p
162 s danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de p
163 is non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu ra
164 chantent avec le corps entier — non pas avec les bras , comme on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste,
165 ’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ».
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
166 et de tabac, le tout dans une couverture sous mon bras . La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi
167 vêtements misérables et je l’accueillis dans mes bras . Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières
168 ats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir c
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
169 sse. Philippe Lamour présidait, mèche romantique, bras en écharpe ; il dirigeait alors la revue Plans et son groupe avait pr
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
170 uffer la vérité, etc. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des institut
171 t plus même une chemise entière : les morceaux du bras ayant servi à rapiécer les épaules et le plastron. Le peu d’argent de
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
172 pièces meublées — 2 grandes cours et jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
173 prononce son allocution. En terminant, il lève le bras d’un geste timide : « Et en l’honneur de nos études romanes, Sieg hei
174 extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un seul coup. L’homme s’avance très lentement, saluan
175 rée de nouveau s’enfle au-dehors.) Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au ciel — et le Horst Wessel Lied monte sour
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
176 olitique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion