1
On m’apporta une liqueur. Et quand j’eus fini de
boire
, mes pensées plus rapides s’en allèrent un peu vers l’avenir et j’osa
2
enterrement s’éloigne pour entonner une chanson à
boire
. Et sa technique auparavant volontairement maigre se faisait trop lâc
3
x romantiques : le goût du suicide, l’habitude de
boire
et de fumer excessivement, leurs amours, l’égoïsme, le mépris de la r
4
ir auprès de nous. Gérard songeait, muet, et n’en
buvait
pas moins. « Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de rep
5
te de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y
boire
à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adolescence, un dé
6
gnes, en quête de l’inspiration qui le fuyait. Il
buvait
, rêvait, dormait sous les treilles, divaguait sous la lune, hagard et
7
e l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous
buvons
des vins dorés et doux que nous verse Ilonka Babits (elle est aussi p
8
abe où l’on chantait les chœurs de Schubert après
boire
— et les hommes parlaient lentement, parlaient peu —, c’est le secret
9
ir auprès de nous. Gérard songeait, muet, et n’en
buvait
pas moins. « Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de rep
10
petite salle où trépigne un orchestre russe, et y
boire
des liqueurs transfigurantes, — il faudrait un miracle d’amour qui fa
11
Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je
buvais
assez il serait là. En attendant, les autres s’en vont ou disparaisse
12
qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nous
buvons
des vins dorés et doux que nous verse Ilonka Babits (elle est aussi p
13
s-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on mange et qu’on
boive
ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la maison, et qu’o
14
t l’être devant un verre de vin allemand que l’on
boit
à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme
15
e immense est chargée des produits du domaine. On
boit
un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : i
16
es de lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne
boivent
que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nagent des morceau
17
te de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y
boire
à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adolescence, un dé
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gnes, en quête de l’inspiration qui le fuyait. Il
buvait
, rêvait, dormait sous les treilles, divaguait sous la lune, hagard et
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abe où l’on chantait les chœurs de Schubert après
boire
— et les hommes parlaient lentement, parlaient peu, — c’est le secret
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petite salle où trépigne un orchestre russe, et y
boire
des liqueurs transfigurantes, — il faudrait un miracle d’amour qui fa
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qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nous
buvons
des vins dorés et doux que nous verse Ilonka Babits (elle est aussi p
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e immense est chargée des produits du domaine. On
boit
un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : i
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es du lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne
boivent
que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nagent des morceau
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us-Sirach, 38, verset 16-24. Qu’on mange et qu’on
boive
ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la maison, et qu’o
25
t l’être devant un verre de vin allemand que l’on
boit
à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme
26
es lunettes noires… Quelques jeunes gens viennent
boire
un verre, le soir. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le de
27
nger à l’abandonnée, de s’écarter, de revenir, de
boire
des yeux, de comparer, de contempler sans fin, où l’on a reconnu l’am
28
déterminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a
bu
boira ! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéress
29
terminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a bu
boira
! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéressante a
30
parfois, par exemple, un ivrogne qui s’arrête de
boire
, ne fût-ce que pour faire mentir le proverbe. Les lois générales, éco
31
ine rencontre saoul, comme d’habitude. « Si tu ne
buvais
pas tant, dit l’officier, tu pourrais passer caporal. » Sur quoi l’au
32
oi l’autre, superbe : « Mon capitaine, quand j’ai
bu
, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat, ivre ou lucide
33
déterminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a
bu
boira ! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéress
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terminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a bu
boira
! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéressante a
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parfois, par exemple, un ivrogne qui s’arrête de
boire
, ne fût-ce que pour faire mentir le proverbe. Les lois générales, éco
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ine rencontre saoul, comme d’habitude. « Si tu ne
buvais
pas tant, dit l’officier, tu pourrais passer caporal. » Sur quoi l’au
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oi l’autre, superbe : « Mon capitaine, quand j’ai
bu
, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat, ivre ou lucide
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déterminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a
bu
boira ! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéress
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terminisme, qui peut se formuler ainsi : qui a bu
boira
! Or, la seule chose intéressante au monde — et je dis intéressante a
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parfois, par exemple, un ivrogne qui s’arrête de
boire
, ne fût-ce que pour faire mentir le proverbe. Les lois générales, éco
41
orps à manger sans donner en même temps le sang à
boire
. Étonnez-vous donc aussi de ce que la Cène sacrée est séparée du soup
42
e dit, à propos de la coupe de la Sainte-Cène : «
Buvez
-en tous ! » L’intention « secrète » du Christ, intention que Bossuet
43
la tradition de leur temps (qui était encore le «
Buvez
-en tous ») un démenti formel (le prêtre seul peut en boire), devenu p
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tous ») un démenti formel (le prêtre seul peut en
boire
), devenu par la suite partie intégrante de la nouvelle tradition, con
45
: Jésus a dit : « Celui qui mange ma chair et qui
boit
mon sang a la vie éternelle », mais il a dit néanmoins (dixit nihilom
46
hier soir. Je suis entré comme ils achevaient de
boire
leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabin
47
platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont
boire
leur pastis. Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasse
48
es du premier mois dans l’île : Ménage, manger et
boire
, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de
49
utour de la maison. Nous avons trouvé des noix et
bu
un verre de vin, à la lueur d’une bougie. Heureux de nous retrouver c
50
rtie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On
boit
et on tape le carton sans beaucoup de paroles. C’est à cela que se ré
51
hier soir. Je suis entré comme ils achevaient de
boire
leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabin
52
platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont
boire
leur pastis. Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasse
53
ontant de petites histoires… Ici on parle peu, on
boit
son bock, sa grenadine, dans une douce détente apathique. En somme, q
54
rtie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On
boit
et on tape le carton sans beaucoup de paroles. C’est à cela que se ré
55
es du premier mois dans l’île : ménage, manger et
boire
, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Recettes :
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qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nous
buvons
des vins dorés et doux que nous verse Ilonka Babits (elle est poète a
57
soin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de
boire
et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène est aussi vieux que l
58
u délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour
boire
le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sort pour succ
59
soin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de
boire
et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène est aussi vieux que l
60
ur première rencontre, ne s’aiment qu’après avoir
bu
le philtre, ne peuvent plus se supporter au bout de trois ans de vie
61
. Ils ont soif. La servante Brangien leur donne à
boire
. Mais elle leur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux,
62
poux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le
boivent
. Les voici entrés dans les voies d’une destinée « qui jamais ne leur
63
trait à Tristan d’enlever Iseut, après qu’ils ont
bu
le philtre. Cependant il la livre à Marc : c’est que la règle de l’am
64
nt ils ne se fussent jamais choisis. Mais ils ont
bu
le philtre, et voici la passion. Une tendresse va-t-elle naître et le
65
e, agissant d’une manière fatale, et mieux encore
bu
par erreur, se révèle désormais nécessaire14. Qu’est-ce alors que le
66
c’est moi, moi-même qui l’ai composé… Et je l’ai
bu
à longs traits de délice !… 11.L’amour réciproque malheureux P
67
: ainsi le péché consommé dès que les amants ont
bu
le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux
68
le concerner. Survient l’erreur fatale du philtre
bu
. Nous avons vu, par l’analyse du mythe, que cette fatalité joue le rô
69
s ruisselantes, ivresses, meurtrissures… « Il m’a
bu
l’esprit et le cœur » fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines par
70
sa bouche », dit une autre. Et une troisième : «
Boire
les regards de l’amour et s’y engloutir enivrée… » Je me suis arrêté
71
le a produit une vague, de suicides. Rousseau fit
boire
du lait à toute la cour de France, et René désola plusieurs génératio
72
ée, malade de la mer ! Voilà pour mon amour ! (Il
boit
.) … Honnête apothicaire Ta drogue est rapide. En un baiser je meurs.
73
nique de Tristan et d’Isolde, aussitôt qu’ils ont
bu
, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Pu
74
ans. Il note « ses plats préférés » et qu’« elle
boit
volontiers du vin ». Le Français hausse les épaules devant de tels en
75
u délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour
boire
le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sort pour succ
76
s. Après quoi, les ambassadeurs et les compagnons
boivent
et chantent ensemble.) Scène v. (Fanfare. Des soldats entrent p
77
té de constater quoi que ce soit, hors l’envie de
boire
et de se coucher. Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cel
78
. Ils ont soif. La servante Brangien leur donne à
boire
. Mais elle leur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux,
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poux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le
boivent
. Les voici entrés dans les voies d’une destinée « qui jamais ne leur
80
trait à Tristan d’enlever Iseut, après qu’ils ont
bu
le philtre. Cependant il la livre à Marc : c’est que la règle de l’am
81
nt ils ne se fussent jamais choisis. Mais ils ont
bu
le philtre, et voici la passion. Une tendresse va-t-elle naître et le
82
e, agissant d’une manière fatale, et mieux encore
bu
par erreur, se révèle désormais nécessaire16. Qu’est-ce alors que le
83
c’est moi, moi-même qui l’ai composé… Et je l’ai
bu
à longs traits de délice !… 11.L’amour réciproque malheureux Pa
84
: ainsi le péché consommé dès que les amants ont
bu
le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux
85
le concerner. Survient l’erreur fatale du philtre
bu
. Nous avons vu, par l’analyse du mythe, que cette fatalité joue le rô
86
s ruisselantes, ivresses, meurtrissures… « Il m’a
bu
l’esprit et le cœur » fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines par
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sa bouche », dit une autre. Et une troisième : «
Boire
les regards de l’amour et s’y engloutir enivrée… » Je me suis arrêté
88
ple a produit une vague de suicides. Rousseau fit
boire
du lait à toute la cour de France, et René désola plusieurs génératio
89
ée, malade de la mer ! Voilà pour mon amour ! (Il
boit
.) … Honnête apothicaire Ta drogue est rapide. En un baiser je meurs.
90
nique de Tristan et d’Isolde, aussitôt qu’ils ont
bu
, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Pu
91
ans. Il note « ses plats préférés » et qu’« elle
boit
volontiers du vin ». Le Français hausse les épaules devant de tels en
92
u délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour
boire
le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sort pour succ
93
. Ils ont soif. La servante Brangien leur donne à
boire
. Mais elle leur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux,
94
poux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le
boivent
. Les voici entrés dans les voies d’une destinée « qui jamais ne leur
95
trait à Tristan d’enlever Iseut, après qu’ils ont
bu
le philtre. Cependant il la livre à Marc : c’est que la règle de l’am
96
nt ils ne se fussent jamais choisis. Mais ils ont
bu
le philtre, et voici la passion. Une tendresse va-t-elle naître et le
97
e, agissant d’une manière fatale, et mieux encore
bu
par erreur, se révèle désormais nécessaire. (Thomas, qui cherche à di
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c’est moi, moi-même qui l’ai composé… Et je l’ai
bu
à longs traits de délice !… 11.L’amour réciproque malheureux P
99
: ainsi le péché consommé dès que les amants ont
bu
le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux
100
le concerner. Survient l’erreur fatale du philtre
bu
. Nous avons vu, par l’analyse du mythe, que cette fatalité joue le rô
101
s ruisselantes, ivresses, meurtrissures… « Il m’a
bu
l’esprit et le cœur », fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines pa
102
sa bouche », dit une autre. Et une troisième : «
Boire
les regards de l’amour et s’y engloutir enivrée… » Je me suis arrêté
103
ple a produit une vague de suicides. Rousseau fit
boire
du lait à toute la cour de France, et René désola plusieurs génératio
104
ée, malade de la mer ! Voilà pour mon amour ! (Il
boit
.) … Honnête apothicaire Ta drogue est rapide. En un baiser je meurs.
105
unique de Tristan et d’Isolde aussitôt qu’ils ont
bu
, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Pu
106
ans. Il note « ses plats préférés » et qu’« elle
boit
volontiers du vin ». Le Français hausse les épaules devant de tels en
107
u délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour
boire
le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sort pour succ
108
ns du terme. Les amants s’aiment parce qu’ils ont
bu
le philtre d’amour par erreur. Leur amour est donc né en vertu d’un p
109
e culpabilité. La destinée a conduit les amants à
boire
le philtre d’amour. Le pouvoir magique du philtre les contraint à com
110
de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop
bu
cette nuit. Coups et blessures, une grande violence sévissait. Je me
111
n reste de bouteille… Combien de peuples voudront
boire
encore ? Encore un petit coup de dictature, juste assez pour se remet
112
de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop
bu
cette nuit. Coups et blessures, une grande violence sévissait. Je me
113
n reste de bouteille… Combien de peuples voudront
boire
encore ? Encore un petit coup de dictature, juste assez pour se remet
114
ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on
boit
par jour et par personne, enfants compris, n’est qu’une défense, d’ai
115
rendra très bien… » Un mois plus tard. Jim et Joe
boivent
ensemble à la santé du couple réuni. Ils aiment tout ce qui passe, fa
116
e pourquoi ils étaient venus ; ils se versaient à
boire
, et, les pieds sur une chaise, me posaient avec naturel des questions
117
ne se demande pas ce qu’on est devenu, on rit, on
boit
, on ne s’étonne de rien, tout glisse et passe, il y a tant d’êtres su
118
onnaires comportant des questions de ce genre : «
Buvez
-vous ? Modérément ? À l’excès ? Fumez-vous ? Avez-vous d’autres vices
119
es lunettes noires… Quelques jeunes gens viennent
boire
un verre, le soir. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le de
120
À l’instant même, il s’enfonce dans les eaux, il
boit
à mort, et le rocher l’écrase. Mais c’est précisément ce qui n’arrive
121
este de chasse et deux jeunes femmes très blondes
boivent
des whiskies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison, puis
122
. Apprenons d’eux à tenir parole, à nous laver, à
boire
du lait, à être à l’heure, à ne pas couper les files par principe, à
123
es lunettes noires… Quelques jeunes gens viennent
boire
un verre, le soir. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le De
124
este de chasse et deux jeunes femmes très blondes
boivent
des whiskys, sans se déranger. Nous traversons toute la maison, puis
125
té de constater quoi que ce soit, hors l’envie de
boire
et de se coucher. Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cel
126
ourquoi disent-ils sans cesse de leur voisin : il
boit
trop, il court trop, il parle trop, il en fait trop, il est trop pass
127
travers un pays de vignes dont le vin rouge sera
bu
par les Allemands. Voici Perpignan dans un tourbillon de poussière ja
128
guère au départ. S’il y avait une goutte d’eau à
boire
. Mais le car a stoppé dans une gorge aride, entre deux rocs brûlants,
129
lle, deux hommes et une femme attablés causent et
boivent
. L’un des hommes m’ayant remarqué, je l’entends dire : « Voilà le dia
130
ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on
boit
par jour et par personne, enfants compris, n’est qu’une défense, d’ai
131
es lunettes noires… Quelques jeunes gens viennent
boire
un verre, le soir. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le de
132
este de chasse et deux jeunes femmes très blondes
boivent
des whiskies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison, puis
133
abe où l’on chantait des chœurs de Schubert après
boire
— et les hommes parlaient lentement, parlaient peu —, c’est le secret
134
e immense est chargée des produits du domaine. On
boit
un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : i
135
lieu sourient un peu de « ceux de Waldburg qui ne
boivent
que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nagent des morceau
136
petite salle où trépigne un orchestre russe, et y
boire
des liqueurs transfigurantes, — il faudrait un miracle d’amour qui fa
137
e l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous
buvons
des vins dorés et doux que nous verse Ilonka Babits (elle est aussi p
138
s-Sirach, 38, versets 16-24. Qu’on mange et qu’on
boive
ferme après ma mort, tant que je serai encore dans la maison, et qu’o
139
t l’être devant un verre de vin allemand que l’on
boit
à petites gorgées, entre des bouffées de pipe, à l’auberge. Le charme
140
et glapissant : « Un lait au miel avec du rhum !
Buvez
-le pendant qu’il est chaud ! » Il faut que j’y passe. C’est trop chau
141
es du premier mois dans l’île : Ménage, manger et
boire
, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de
142
utour de la maison. Nous avons trouvé des noix et
bu
un verre de vin, à la lueur d’une bougie. Heureux de nous retrouver c
143
rtie » chez l’un ou l’autre, à quatre ou cinq. On
boit
et on tape le carton sans beaucoup de paroles. C’est à cela que se ré
144
hier soir. Je suis entré comme ils achevaient de
boire
leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabin
145
platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont
boire
leur pastis. Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasse
146
ontant de petites histoires… Ici on parle peu, on
boit
son bock, sa grenadine, dans une douce détente apathique. En somme, q
147
soin de marcher ensemble, de chanter ensemble, de
boire
et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène est aussi vieux que l
148
ndaire — il a passé vingt ans sans rien manger ni
boire
— est vénéré par mes compatriotes pour avoir prévenu in extremis par
149
té de constater quoi que ce soit, hors l’envie de
boire
et de se coucher. Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cel
150
ourquoi disent-ils sans cesse de leur voisin : il
boit
trop, il court trop, il parle trop, il en fait trop, il est trop pass
151
travers un pays de vignes, dont le vin rouge sera
bu
par les Allemands. Voici Perpignan dans un tourbillon de poussière ja
152
guère au départ. S’il y avait une goutte d’eau à
boire
. Mais le car a stoppé dans une gorge aride, entre deux rocs brûlants,
153
lle, deux hommes et une femme attablés causent et
boivent
. L’un des hommes m’ayant remarqué, je l’entends dire : « Voilà le dia
154
ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on
boit
par jour et par personne, enfants compris, n’est qu’une défense, d’ai
155
rendra très bien… » Un mois plus tard, Jim et Joe
boivent
ensemble à la santé du couple réuni. Ils aiment tout ce qui passe, fa
156
es lunettes noires… Quelques jeunes gens viennent
boire
un verre, le soir. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le de
157
este de chasse et deux jeunes femmes très blondes
boivent
des whiskies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison, puis
158
lle, deux hommes et une femme attablés causent et
boivent
. L’un des hommes m’ayant remarqué, je l’entends dire : « Voilà le dia
159
rendra très bien… » Un mois plus tard, Jim et Joe
boivent
ensemble à la santé du couple réuni. Ils aiment tout ce qui passe, fa
160
e pourquoi ils étaient venus ; ils se versaient à
boire
, et les pieds sur une chaise, me posaient avec naturel des questions
161
ne se demande pas ce qu’on est devenu, on rit, on
boit
, on ne s’étonne de rien, tout glisse et passe, il y a tant d’êtres su
162
onnaires comportant des questions de ce genre : «
Buvez
-vous ? Modérément ? À l’excès ? Fumez-vous ? Avez-vous d’autres vices
163
. Apprenons d’eux à tenir parole, à nous laver, à
boire
du lait, à être à l’heure, à ne pas couper les files par principe, à
164
lés du délire et de la monstruosité. On danse, on
boit
partout. À la faveur des déguisements, tout est permis. Les lois mora
165
le lecteur à penser : si Mr. X., homme distingué,
boit
ce whiskey, je deviendrai distingué en le buvant aussi. Copiez l’homm
166
t de slogan. Au lieu de dire : « Soyez distingué,
buvez
le Nelson », nous dirons : « Faites comme tout le monde, buvez le Nel
167
on », nous dirons : « Faites comme tout le monde,
buvez
le Nelson. » Tel est notre art, et je me fais fort de vous en faire b
169
À l’instant même, il s’enfonce dans les eaux, il
boit
à mort, et le rocher l’écrase. Mais c’est précisément ce qui n’arrive
170
is elle représente la santé civique. Un homme qui
boit
de l’eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt d
171
nger à l’abandonnée, de s’écarter, de revenir, de
boire
des yeux, de comparer, de contempler sans fin, où l’on a reconnu l’am
172
is elle représente la santé civique. Un homme qui
boit
de l’eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt d
173
nger à l’abandonnée, de s’écarter, de revenir, de
boire
des yeux, de comparer, de contempler sans fin, où l’on a reconnu l’am
174
’imposer, tout en déclarant fièrement que nous ne
boirons
pas de coca-cola. Il y a souvent de la sottise, mais parfois aussi de
175
re part, ce berger n’est pas un homme parfait, il
boit
souvent trop, et il ne lit que le Reader’s Digest. Je refuse donc l’u
176
re part, ce berger n’est pas un homme parfait, il
boit
souvent trop, et il ne lit que le Reader’s Digest. Je refuse donc l’u
177
hiltre enthousiasmant qui annule le Temps, il a «
bu
sa destruction et sa mort ». Sacraliser des buts qui ne sont pas le B
178
hiltre enthousiasmant qui annule le Temps, il a «
bu
sa destruction et sa mort ». Sacraliser des buts qui ne sont pas le B
179
s-midi pâle sur les dômes de Saint-Marc. A. et R.
boivent
un negroni en regardant passer par bancs les touristes en chemise, ce