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proches du latin populaire et tantôt du dialecte
burgonde
, un seul subsistera cent ans plus tard, tandis que la grande majorité
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nde partie : les Romains, puis les Alamans et les
Burgondes
, l’ont envahi les uns après les autres et y ont fait souche. Son unit
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e, ces territoires romanisés sont envahis par les
Burgondes
, peuplade germanique naguère battue par Aetius et refoulée jusqu’en S
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ctuelle pour y fonder un royaume indépendant. Les
Burgondes
professent l’arianisme et ne se mêleront avec la population celte et
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est nettement plus « démocratique » que celle des
Burgondes
, grands propriétaires terriens, ou de leurs prédécesseurs romains. No
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e (les Grisons d’aujourd’hui) et de l’Ouest resté
burgonde
, la plus grande partie de la Suisse est donc redevenue païenne au vie
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ands descendent respectivement des Alamans et des
Burgondes
, et l’Aar, qui séparait ceux-ci, délimite encore aujourd’hui, grosso
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res, des Celtes, des Germains, des Romains et des
Burgondes
: société des nations souterraine. Paris, Zurich, Milan sont à une he
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us Europae ecclesiarum capiti). Dans les Annales
burgondes
d’Avenches (milieu du viie siècle) on lit à plusieurs reprises le no
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ius Europæ ecclesiarum capiti). Dans les Annales
burgondes
d’Avenches (milieu du viie siècle) on lit à plusieurs reprises le no
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i est donc diluée à l’extrême, les Alamans et les
Burgondes
s’étant établis en grand nombre, dès le début du ve siècle, sur les
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e, ces territoires romanisés sont envahis par les
Burgondes
, Germains professant l’arianisme et qui ne se mêleront avec la popula
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vangélisées par des ordres irlandais, italiens et
burgondes
, jusqu’à la résurgence hellénistique, puis grecque classique et hébra
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vangélisées par des ordres irlandais, italiens et
burgondes
, jusqu’à la résurgence hellénistique, puis grecque classique et hébra