1 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
1 que. Ici règne le plus ancien, mais le dernier «  burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout
2 ignoble. Mais je ne suis pas scandalisé quand le burgrave salue cordialement et franchement des paysans qui s’inclinent sans co
3 i vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plus misérable. Le
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
4 sque. Ici règne le plus ancien, mais le dernier «  burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout
5 là qui serait presque aussi mal vu de l’excellent burgrave , lequel me disait en me montrant les armoiries des Hohenzollern-Hechi
6 ignoble. Mais je ne suis pas scandalisé quand le burgrave salue cordialement et franchement des paysans qui s’inclinent sans co
7 i vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plus misérable. Le
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
8 usque. Ici règne le plus ancien mais le dernier «  burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout
9 là qui serait presque aussi mal vu de l’excellent burgrave , lequel me disait en me montrant les armoiries des Hohenzollern-Hechi
10 ignoble. Mais je ne suis pas scandalisé quand le burgrave salue cordialement et franchement des paysans qui s’inclinent sans co
11 i vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plus misérable. Le