1
D’autres fois, c’est la claire connaissance de la
béatitude
visionnaire : connaissance parfois trop « claire » au sens rationalis
2
s d’Aquin et un Scot, le premier affirmant que la
béatitude
réside in visione, dans la contemplation de la Face de Dieu, le secon
3
erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une
béatitude
ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
4
qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles,
béatitudes
De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
5
u contraire sa récompense. « On lui est uni (à la
Béatitude
) du fait même qu’on l’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux page
6
Solitude, solitude, Solitude bien-aimée, Ô seule
béatitude
, Au désert je t’ai trouvée. Nicolas. — Dorothée, je sais que tu
7
erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une
béatitude
ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
8
la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «
béatitude
érotique », obtenue par l’arrêt non du plaisir mais de son effet phys
9
l’unique expérience humaine qui peut réaliser la
béatitude
nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal81 ». Des pr
10
e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la
béatitude
à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
11
qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles,
béatitudes
De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
12
erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une
béatitude
ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
13
la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «
béatitude
érotique », obtenue par l’arrêt non du plaisir mais de son effet phys
14
l’unique expérience humaine qui peut réaliser la
béatitude
nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal »72. Des pr
15
e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la
béatitude
à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
16
qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles,
béatitudes
De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
17
u contraire sa récompense. « On lui est uni (à la
Béatitude
) du fait même qu’on t’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux page
18
pure. Et pourquoi ne point accepter cette absurde
béatitude
qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y a dans tout échec humai
19
pure. Et pourquoi ne point accepter cette absurde
béatitude
qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y a dans tout échec humai
20
la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «
béatitude
érotique », obtenue par l’arrêt, non du plaisir, mais de son effet ph
21
l’unique expérience humaine qui peut réaliser la
béatitude
nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal.23 Des pr
22
e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la
béatitude
à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
23
est tout à la fois aide prévenante, pardon final,
béatitude
, condition de salut, et salut. Terme ignoré de l’Antiquité comme de l
24
et de Solon, venues d’Égypte, le Décalogue et les
Béatitudes
, enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et la Décl
25
ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les
Béatitudes
, c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
26
ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les
Béatitudes
, c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
27
ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les
Béatitudes
, c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
28
t condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos
Béatitudes
, et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers qui vont
29
t condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos
Béatitudes
, et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers soucieux