1 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
1 D’autres fois, c’est la claire connaissance de la béatitude visionnaire : connaissance parfois trop « claire » au sens rationalis
2 s d’Aquin et un Scot, le premier affirmant que la béatitude réside in visione, dans la contemplation de la Face de Dieu, le secon
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
3 erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une béatitude ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles, béatitudes De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
4 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
5 u contraire sa récompense. « On lui est uni (à la Béatitude ) du fait même qu’on l’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux page
5 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
6 Solitude, solitude, Solitude bien-aimée, Ô seule béatitude , Au désert je t’ai trouvée. Nicolas. —  Dorothée, je sais que tu
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
7 erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une béatitude ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
8 la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «  béatitude érotique », obtenue par l’arrêt non du plaisir mais de son effet phys
9 l’unique expérience humaine qui peut réaliser la béatitude nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal81 ». Des pr
10 e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la béatitude à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
8 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
11 qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles, béatitudes De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
12 erait au-delà du bonheur et de la souffrance, une béatitude ardente. Dans « passion » nous ne sentons plus « ce qui souffre » mai
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
13 la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «  béatitude érotique », obtenue par l’arrêt non du plaisir mais de son effet phys
14 l’unique expérience humaine qui peut réaliser la béatitude nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal »72. Des pr
15 e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la béatitude à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
16 qui consume : Ô tendres, angéliques étincelles, béatitudes De ma vie où s’allume le plaisir Qui doucement me consume et détruit.
12 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
17 u contraire sa récompense. « On lui est uni (à la Béatitude ) du fait même qu’on t’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux page
13 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
18 pure. Et pourquoi ne point accepter cette absurde béatitude qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y a dans tout échec humai
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
19 pure. Et pourquoi ne point accepter cette absurde béatitude qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y a dans tout échec humai
15 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
20 la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette «  béatitude érotique », obtenue par l’arrêt, non du plaisir, mais de son effet ph
21 l’unique expérience humaine qui peut réaliser la béatitude nirvanique et la maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal.23 Des pr
22 e faire, à rechercher l’exaltation mystique et la béatitude à travers une Elle qu’il s’agit de « servir » en posture humiliée, ma
16 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
23 est tout à la fois aide prévenante, pardon final, béatitude , condition de salut, et salut. Terme ignoré de l’Antiquité comme de l
17 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
24 et de Solon, venues d’Égypte, le Décalogue et les Béatitudes , enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et la Décl
18 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
25 ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béatitudes , c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
19 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
26 ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béatitudes , c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
20 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
27 ncienne par la Grèce, ce sont le Décalogue et les Béatitudes , c’est enfin le code de Justinien, d’où dérivent l’Habeas Corpus et l
21 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
28 t condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos Béatitudes , et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers qui vont
22 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
29 t condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos Béatitudes , et les sermons le répètent tous les dimanches aux banquiers soucieux