1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 doxes. Il revint juste à temps pour assister à la cérémonie de la pose du point final de « Cinématoma ou les épanchements de la j
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 nge convive, celui-ci prit la parole sans plus de cérémonie  : « La jeunesse, Monsieur…, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la
3 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
3 de subtilité. 1° L’ensemble de cette oppressante cérémonie fit voir à l’évidence, une fois de plus, que le monde fabriqué pour l
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
4 disent les Allemands : Miterlebt) une des grandes cérémonies de la religion nouvelle. Par exemple un discours du Führer à son peup
5 ’agit pas de politique, mais de religion, mais de cérémonies monumentales et sacrales en l’honneur d’un Dieu nouveau, l’âme de la
6 catacombes ! Votre « religion » est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos chants traînants, tout cela ser
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
7 velles religions, nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies , vibrer à l’unisson de leur panique sacrée : c’est l’animal en nous q
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
8 velles religions, nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies , vibrer à l’unisson de leur panique sacrée : c’est l’animal en nous q
7 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
9 velles religions, nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies , vibrer à l’unisson de leur panique sacrée : c’est l’animal en nous q
8 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
10 nts accourent de toute la contrée pour suivre des cérémonies dont leurs descendants parlent encore. En 1900 : vingt filatures, 700
11 en d’autre n’est vrai… 6 mai 1935 La mort et les cérémonies dans le Gard. — La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
12 vent être de drôles de gens. 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’a
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
13 nts accourent de toute la contrée pour suivre des cérémonies dont leurs descendants parlent encore. En 1900 : Vingt filatures, 700
14 tre n’est vrai… 6 mai 1935 La mort et les cérémonies dans le Gard. La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’
11 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
15 cité, dont on peut supposer qu’il s’agit de la «  cérémonie sacrée » publiée dans le Journal d’Allemagne . On n’a pas identifié
12 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
16 uit. Je reprends mes notes du 11 mars 1936. Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra.
17 ! Et c’est une liturgie qui se déroule, la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et qui m’écrase et me rep
13 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
18 nombre croissant de divorces. En même temps, les cérémonies épithalamiques se simplifient ou disparaissent. Il est curieux de not
14 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
19 inaire, me reçoit dans son bureau avant la petite cérémonie . — Combien aurai-je d’étudiants ? — Une quarantaine, probablement. A
20 cient rythmé lugubrement. 11 mars 1936 Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra.
21 ! Et c’est une liturgie qui se déroule, la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et qui m’écrase et me rep
22 ux catacombes ! Votre “religion” est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos chants traînants, tout cela ser
15 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
23 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
16 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
24 une liturgie qui se déroulait, c’était la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je me sentais écrasé. L’âme des masses, o
25 ion : « Chrétiens, retournez aux catacombes ! Vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos chants traînants, tout cela ser
17 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
26 siècle a vu la décadence des formes, conventions, cérémonies et lieux communs qui étaient les signes extérieurs d’une communion ta
27 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécation, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours
18 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
28 aurons à préciser) d’un ensemble de règles et de cérémonies qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale. Or les « o
29 nteste aux auditeurs. Il faut bien voir que ces «  cérémonies  » sociales sont des moyens de faire admettre un contenu antisocial, q
19 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
30 m que donne le prêtre au nouveau frère pendant la cérémonie d’initiation. Encore est-ce moins un sacrement au sens catholique de
20 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
31 style et la forme sont choses essentielles : les cérémonies , l’étiquette, les tournois, la chasse et surtout l’amour. » Elle a mê
32 sous l’égide et dans les cadres symboliques d’une cérémonie sacrale. C’est un équivalent sportif de la fonction mythique du Trist
21 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
33 nombre croissant des divorces. En même temps, les cérémonies épithalamiques se simplifient ou disparaissent. Il est curieux de not
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
34 aurons à préciser) d’un ensemble de règles et de cérémonies qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale. Or les « o
35 nteste aux auditeurs. Il faut bien voir que ces «  cérémonies  » sociales sont des moyens de faire admettre un contenu antisocial, q
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
36 te majeur de leur Église. Il se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de renoncer le monde, et s’e
24 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
37 . Or le roi « comme celuy qui gardoit le plus les cérémonies d’honneur très loable » vient justement d’ordonner que les chevaliers
38 style et la forme sont choses essentielles : les cérémonies , l’étiquette, les tournois, la chasse et surtout l’amour. » Elle a mê
39 sous l’égide et dans les cadres symboliques d’une cérémonie sacrale. C’est un équivalent sportif de la fonction mythique du Trist
25 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
40 nombre croissant des divorces. En même temps, les cérémonies épithalamiques se simplifient ou disparaissent. Il est curieux de not
26 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
41 aurons à préciser) d’un ensemble de règles et de cérémonies qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale. Or les « o
42 nteste aux auditeurs. Il faut bien voir que ces «  cérémonies  » sociales sont des moyens de faire admettre un contenu antisocial, q
27 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
43 te majeur de leur Église. Il se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de renoncer le monde, et s’e
28 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
44 . Or le roi « comme celuy qui gardoit le plus les cérémonies d’honneur très loable » vient justement d’ordonner que les chevaliers
45 style et la forme sont choses essentielles ; les cérémonies , l’étiquette, les tournois, la chasse et surtout l’amour ». Elle a mê
46 sous l’égide et dans les cadres symboliques d’une cérémonie sacrale. C’est un équivalent sportif de la fonction mythique du Trist
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
47 nombre croissant des divorces. En même temps, les cérémonies épithalamiques se simplifient ou disparaissent. Il est curieux de not
30 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
48 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
31 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
49 nsignes, leurs saluts rituels. J’ai assisté à des cérémonies hitlériennes qui étaient déjà de véritables liturgies païennes. Ces a
32 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
50 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
33 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
51 ance des États du Middle West… J’écoutais hier la cérémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président avait été harangu
52 caine. Il est important de savoir que les grandes cérémonies civiques et politiques de ce pays, aussi impressionnantes que les cér
53 tiques de ce pays, aussi impressionnantes que les cérémonies totalitaires, se déroulent dans un cadre chrétien, immédiatement sign
34 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
54 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
35 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
55 t fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le régime des coups et la parole n’y est
36 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
56 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
37 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
57 t fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le régime des coups et la parole n’y est
38 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
58 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambour
39 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
59 t fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le régime des coups et la parole n’y est
40 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
60 rhétorique américaine écarte ces prudences et ces cérémonies . Elle considère comme un poids mort nos formules de présentation ou d
41 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
61 l homme était possédé, et on l’exorcisait par des cérémonies souvent efficaces. Au xixe siècle, on disait qu’il était fou, et l’o
42 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
62 ant les symboles sacrés, les rites sociaux et les cérémonies dont l’élite a perdu le sens, pour instaurer le culte dépouillé de la
63 t vérifiable en soi. 2°) — Par la suppression des cérémonies d’introduction et de sortie3, le romancier moderne veut créer l’illus
43 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
64 sans plaisir, à cette suppression générale de nos cérémonies , précautions oratoires, méfiances paysannes ou réserves mondaines, qu
65 nfares, avant les grands matchs de football ; les cérémonies d’ouverture et de clôture des universités ; et « l’Inauguration » des
44 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
66 tre ménagée à la ressemblance du rêve : toute une cérémonie , avec ses rôles prescrits, son ouverture déclarée par un héraut, sa l
45 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
67 e dignité, de dévotion correcte… Le goût de la cérémonie Un dimanche matin à New York : voilà le temps, voilà le lieu pour
46 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
68 trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémonies , sur le péché, la grâce, la transcendance, que sais-je. Les choristes
47 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
69 la mort comme les Germains, et n’en fait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins, a les cimetières les plus heureux d
48 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
70 qui s’ouvre et qui bée sur la nuit. Je connais la cérémonie . Mes amis s’étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tel
49 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
71 llant ou l’éclat d’une femme, d’une robe ou d’une cérémonie , tout ce qui « vous en met plein la vue ». Par extension : l’ensemble
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
72 nts accourent de toute la contrée pour suivre des cérémonies dont leurs descendants parlent encore. En 1900 : Vingt filatures, 700
73 utre n’est vrai… 6 mai 1935 La mort et les cérémonies dans le Gard. La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
74 inaire, me reçoit dans son bureau avant la petite cérémonie . — Combien aurai-je d’étudiants ? — Une quarantaine, probablement. Av
75 cient rythmé lugubrement. 11 mars 1936 Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra.
76 ! Et c’est une liturgie qui se déroule, la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et qui m’écrase et me rep
77 ux catacombes ! Votre “religion” est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos chants traînants, tout cela ser
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
78 siècle a vu la décadence des formes, conventions, cérémonies et lieux communs qui étaient les signes extérieurs d’une communion ta
79 re du sang, des morts, des cortèges funèbres, des cérémonies d’imprécation, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours
80 tre religion. Je songe au culte catholique, à ses cérémonies grandioses, à ses « congrès eucharistiques ». N’est-il pas significat
81 es rassemble autour du chef libérateur. Pourtant, cérémonies contre cérémonies, celles d’Hitler gardent l’avantage de flatter l’ho
82 r du chef libérateur. Pourtant, cérémonies contre cérémonies , celles d’Hitler gardent l’avantage de flatter l’homme au cœur de sa
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
83 voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie .   Céder à l’ennemi sur le point de la liberté d’expression, n’est-ce
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
84 la mort comme les Germains, et n’en fait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins, a les cimetières les plus heureux d
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
85 qui s’ouvre et qui bée sur la nuit. Je connais la cérémonie . Mes amis s’étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tell
86 erse. — Son discours sur Briand, lors de la belle cérémonie organisée par le comte Coudenhove, paraît enfin. Il l’avait prononcé
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
87 llant ou l’éclat d’une femme, d’une robe ou d’une cérémonie , tout ce qui « vous en met plein la vue ». Par extension : l’ensemble
57 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
88 la mort comme les Germains, et n’en fait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins, a les cimetières les plus heureux d
58 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
89 sans plaisir, à cette suppression générale de nos cérémonies , précautions oratoires, méfiances paysannes ou réserves mondaines, qu
90 fares, avant les grands matches de football ; les cérémonies d’ouverture et de clôture des universités ; et l’Inauguration des pré
59 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
91 ance des États du Middle West… J’écoutais hier la cérémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président avait été harangu
92 caine. Il est important de savoir que les grandes cérémonies civiques et politiques de ce pays, aussi impressionnantes que les cér
93 tiques de ce pays, aussi impressionnantes que les cérémonies totalitaires, se déroulent dans un cadre chrétien, immédiatement sign
94 trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémonies , sur le péché, la grâce, la transcendance, que sais-je. Les choristes
60 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
95 nts, ou non La journée d’école s’ouvre par une cérémonie patriotique et religieuse. Un des enfants préside, debout devant la c
61 1947, Tapuscrits divers (1936-1947). Il y a aussi des gens en Suisse (15 mai 1947)
96 s affaires considérables. Quelques jours avant la cérémonie , l’on procède à la réception des cadeaux. Ceux-ci sont apportés par l
62 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
97 tre ménagée à la ressemblance du rêve : toute une cérémonie , avec ses rôles prescrits, son ouverture déclarée par un héraut, sa l
63 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
98 l’heure H, ou dans l’attente d’un amour, quelque cérémonie te disposera dans le fil de ta chance ou la cadence de ta grâce. Le r
64 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
99 eine. L’Histoire seule dira le vrai sens de cette cérémonie sans précédent. ⁂ J’écris maintenant dans la paix de ma campagne fran
65 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Assemblée européenne (27 février 1949)
100 vu et bien senti lors de la séance inaugurale. La cérémonie , certes, était spectaculaire. La seule présence sur la tribune, à la
66 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (9 octobre 1950)
101 ure était officiellement inauguré, au cours d’une cérémonie très simple suivie d’une réception qui permit aux autorités, aux dipl
67 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
102 américaine, puis rentrer en cette qualité. Cette cérémonie symbolique et coûteuse vous introduit dans une communauté abstraite,
103 place publique, non sans un grand déploiement de cérémonies religieuses, de serments et de proclamations solennelles. Tous les ho
68 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
104 par les chœurs de village, des retransmissions de cérémonies publiques, y est un peu plus grande qu’ailleurs, comme on doit s’y at
69 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
105 t d’autant plus pur qu’il est plus dépouillé. Les cérémonies pompeuses, les vêtements ecclésiastiques, les fêtes, les symboles, le
106 ment, ni même le sentimentalisme, soit absent des cérémonies les plus dépouillées qu’il tolère : le mouvement du Réveil, dans la p
70 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
107 rôle du labarum, du crucifix et de la mitre. Les cérémonies viendront plus tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Sold
71 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
108 rôle du labarum, du crucifix et de la mitre. Les cérémonies viendront plus tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Sold
72 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
109 des nouvelles tendances sociales et participe aux cérémonies quakers15. Pouchkine incarne les résultats de ces grands mouvements
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
110 rôle du labarum, du crucifix et de la mitre. Les cérémonies viendront plus tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Sold
74 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
111 concevoir les visites : « Surtout, dit-il, pas de cérémonies . Pour l’amour du ciel, pas de cérémonies ! » Il aime qu’on arrive et
112 , pas de cérémonies. Pour l’amour du ciel, pas de cérémonies  ! » Il aime qu’on arrive et s’en aille à l’improviste, que les récits
113 tends, devrait permettre justement d’éviter ces «  cérémonies  » ; de saluer, de parler, d’écouter, et de s’en aller sans bavures.
75 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
114 de traces non plus, dans le christianisme, de ces cérémonies initiatiques, comme à la plupart des autres religions, et où l’on sai
76 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — I. L’amour et la personne dans le monde christianisé
115 de traces non plus, dans le christianisme, de ces cérémonies initiatiques, communes à la plupart des autres religions, et où l’on
77 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
116 concevoir les visites : « Surtout, dit-il, pas de cérémonies . Pour l’amour du ciel, pas de cérémonies ! » Il aime qu’on arrive et
117 , pas de cérémonies. Pour l’amour du ciel, pas de cérémonies  ! » Il aime qu’on arrive et s’en aille à l’improviste, que les récits
118 tends, devrait permettre justement d’éviter ces «  cérémonies  » ; de saluer, de parler, d’écouter, et de s’en aller sans bavures.
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
119 esoin de se faire la guerre pour la diversité des cérémonies  ? Je ne dirai pas de religion, vu que leur fin principale reside en l
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
120 nt quant aux fondements, variant un peu quant aux cérémonies et aux doctrines subordonnées. Le régime politique et l’économie de c
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
121 ns rivalisèrent de splendeur et de pompe lors des cérémonies funèbres, pour glorifier son nom et sa grandeur ; même dans la capita
81 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
122 voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie . 22 juin 1940 Céder à l’ennemi sur le point de la liberté d’expressio
82 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
123 rché et dans les tavernes. 17. En Inde, point de cérémonies communautaires, en dehors des grandes processions. Mais des centaines
83 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
124 igions tendent à la même fin d’adoration et leurs cérémonies se valent donc. « Seul un esprit borné, écrit-il, croit que tous sont
84 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
125 e exigeant souci moral et notre méfiance pour les cérémonies , à moins que son adoption n’ait résulté de notre tempérament particul
85 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
126 stations publiques, congrès politiques, banquets, cérémonies pour les morts de la guerre, inauguration, etc., s’appliquent en géné
86 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
127 timent de respect qui donne sa raison d’être à la cérémonie , le fait que tous sont tournés vers la croix de l’autel, l’attente de
128 idèle d’une Église non liturgique assistant à une cérémonie orthodoxe, romaine, anglicane ou luthérienne, sera tenté d’attacher u
87 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
129 la soutane au xxe siècle ? C’étaient l’habit de cérémonie ou le bleu de travail du xiie siècle européen. Mais ceci n’est encor
88 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
130 uropéennes ». Des prix seront décernés lors d’une cérémonie de clôture qui sera tenue à Genève. Le présent numéro de notre bullet
89 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
131 e exigeant souci moral et notre méfiance pour les cérémonies — à moins que son adoption n’ait résulté de notre tempérament particu
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
132 la paysannerie, l’hostilité zwinglienne à toutes cérémonies sur l’attachement catholique aux symboles. Ces tendances désormais do
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
133 ès quoi vous pourrez aller où vous voudrez. Cette cérémonie symbolique vous introduira dans une communauté abstraite, et ne vous
134 ur une place publique, non sans un déploiement de cérémonies religieuses, de serments et de proclamations solennelles. Tous les ho
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
135 e exigeant souci moral et notre méfiance pour les cérémonies , — à moins que son adoption n’ait résulté de notre tempérament partic
136 turgie, au sens propre du mot : action du peuple, cérémonie publique. D’où le Festspiel. Ce genre né en Suisse alémanique au xvie
137 s d’autant plus pur qu’il est plus dépouillé. Les cérémonies pompeuses, les vêtements ecclésiastiques, les fêtes, les symboles, le
138 ment, ni même le sentimentalisme, soit absent des cérémonies les plus dépouillées qu’il tolère : le mouvement du Réveil, dans la p
93 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
139 eine. L’histoire seule dira le vrai sens de cette cérémonie sans précédent. » Dès le 8 mai, les congressistes se répartirent en
94 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
140 ais, qui me disaient : « Sur une estrade, lors de cérémonies publiques, nous devons avoir le même rang qu’un général de division o
95 1970, {Title}. 1931-1937 ou les années tournantes (années 1970)
141 ! Et c’est une liturgie qui se déroule, la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et qui m’écrase et me rep
96 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
142 ogrammes courants, pour atteindre le niveau de la cérémonie exceptionnelle, célébrée dans un lieu prédestiné. Il se présente ains
97 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
143 e monte en chaire à la Cathédrale, au cours d’une cérémonie de promotions, et s’écrie : « Nous voilà au terme de six à sept ans d
98 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
144 avoir prononcé un discours inconvenant lors d’une cérémonie de promotions. Le principal grief de Denis de Rougemont contre l’écol
99 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Après le xiie siècle : vers une littérature distincte du social
145 parvis du temple devient divertissement forain ou cérémonie de Cour ; et le récit en prose, après quatre ou cinq siècles, reparaî
100 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
146 sorier et D. de Rougemont comme secrétaire. Cette cérémonie achevée, le Conseil entendit un rapport de MM. de Rougemont et Silva