1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 ement co-génération ? Pour peu qu’ils sortent des cafés littéraires, nos poètes respirent le même air du temps. Leur original
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 s. Et voici la place régulière, les galeries, les cafés , les musiques, Donizetti qui pleure délicieusement jusque dans les ge
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 nal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de café . Je venais de m’asseoir et de commander une consommation. Comme d’hab
4 bitude, un peu après six heures. J’étais seul. Le café est un lieu anonyme bien plus propice au rêve que ma chambre où m’att
5 ies et de peurs. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et la rumeur des clients. Dehors les réclames lumineu
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
6 e souvenir les vent-coulis de la mort. Garçon, un café , un ! » Mais l’étoile chantait dans l’axe de sa vie normale et s’appr
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 si l’Auber de Jean Cassou ne va pas s’attabler au café en face des personnages de Jaloux. Et peut-être que la comtesse Rezzo
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
8 rire, pharisiens, et dire qu’elle est née dans un café de Paris. « Je n’attends rien du monde, je n’attends rien de rien. »
9 sorte de donquichottisme assez fréquent dans les cafés littéraires et dont il serait le premier à s’amuser ?   Février 1927.
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
10 e. » J’étais assis à la terrasse ensoleillée d’un café  ; une brise passa, et une femme en robe bleue légère qui me regarda u
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
11 e de saison, vous vous attardez aux terrasses des cafés . Peut-être va-t-elle revenir avec son Johannes laqué. Ah ! comme vous
12 fait jurer sur la Bible de ne pas entrer dans les cafés . Et puis, c’est égal, ce soir, tout cela est sans importance, car voi
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
13 on, s’il vous plaît. Il est temps de sortir de ce café et de ces jeux, simulacres de vie, qui sont à la vraie vie ce que le
14 fournit un merveilleux sujet de conversation, au café . Dans un salon, par contre, c’est d’un ridicule écrasant : mais rien
10 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
15 à une excitation agressive. La simple visite des cafés dans l’une et l’autre de ces capitales suffit à vous en donner la sen
16 ées de profondes loges, les clients dégustent des cafés débordants de crème, avec une apathie qu’aucun orchestre ne vient tro
11 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
17 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
12 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
18 ante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adole
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
19 . Mais je m’égare, laissons-là ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
20 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
21 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
22 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre… Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) 19.
15 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
23 ut dire, « confusionnistes » à ces terroristes de café . À les en croire, il n’y aurait rien d’autre à faire que d’installer
16 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
24 u’on parle de paradoxe, Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier des Doktor phil. venu évoque le co
17 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 . Mais je m’égare, laissons-là ces moutons. v Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
26 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
27 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
28 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) xix
18 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
29 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
19 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
30 ante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adole
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
31 u’on parle de paradoxe, Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier des Doktor phil. venu évoque le co
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
32 l’après-midi par exemple, — non sans angoisse. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
33 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
34 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
35 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) « Tous ceux
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
36 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
37 passera, et nous serons encore une fois assis au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
24 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
38 3)a Nous entendions l’autre jour, en buvant un café sur le zinc : « Le travail, c’est la liberté, — pour celui qui ne tra
25 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
39 uge plus : elle traduit la rumeur des salons, des cafés , des antichambres d’éditeurs. À sa façon, non moins que les littérate
26 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
40 ge ? Nous entendions l’autre jour, en buvant un café sur le zinc : « Le travail, c’est la liberté, — pour celui qui ne tra
27 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
41 ui dirais : — Asseyez-vous. — Et je lui ferais le café , et j’irais lui chercher mon plus beau pot de confitures… Elle voudr
28 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
42 ge ? Nous entendions l’autre jour, en buvant un café sur le zinc : « Le travail, c’est la liberté, — pour celui qui ne tra
29 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
43 s avions dîné chez Nicodème, et l’on apportait le café . Nicodème — vous ne l’ignorez pas — c’est cet illustre professeur de
44 evint à la théologie avec les premières tasses de café . Un étudiant feuilletait un gros ouvrage posé en évidence sur le bure
30 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
45 siennes, aux complots de salons, de bureaux ou de cafés , à l’agitation dramatique qui règne depuis quelques mois dans les cer
31 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
46 rire des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés , ou gagner de l’argent, ou même faire la théorie d’un ordre nouveau ?
32 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
47 Caille pénètre dans les cours de ferme, dans les cafés . À tous il tend la Parole « morte aux pages » ; mais voici que de tou
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
48 ique des Lettres, ayant sa place à la terrasse du café de leur commerce, emboîtant le pas à leurs musiques militaires, fier
34 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
49 entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Jour
50 a place du village. En face ou à côté, il y a les cafés , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y
51 les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café . — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! M
52 avail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux o
35 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
53 s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café , dans une salle d’Université. Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
54 er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café , celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
55 sont venus pour tuer le temps, au lieu d’aller au café . Cette inertie, dès qu’il ne s’agit plus d’argent. À moins que ce ne
56 23 décembre 1933 J’écris ceci sur une table de café . À travers la vitrine, je vois le vieux port de cette vieille ville,
57 des « discussions » qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui correspond bien à ce que les pêcheurs
58 locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois cafés pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
59 entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Jour
60 a place du village. En face ou à côté, il y a les cafés , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y
61 les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café . — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! M
62 avail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux o
63 s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café , dans une salle d’Université… Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
64 er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café , celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
65 es têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés . Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histoire, chaque nuan
39 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
66 sont venus pour tuer le temps, au lieu d’aller au café . Cette inertie, dès qu’il ne s’agit plus d’argent ! À moins que ce ne
67 des « discussions » qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui correspond bien à ce que les pêcheurs
68 locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois cafés pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
40 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
69 s. 23 décembre 1933 J’écris ceci sur une table de café . À travers la vitrine, je vois le vieux port de cette vieille ville,
41 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
70 locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois cafés pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
42 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
71 e sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon compagnon, le dramaturge allemand L. :
72 ncé que pour 9 heures. — Venez voir ! Du seuil du café , l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des milliers de SA et de SS
43 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
73 Ainsi j’ai retrouvé ma vieille Germanie dans les cafés , dans la ville médiévale, dans l’odeur douce des magasins de tabac, d
74 s la plupart de ceux que l’on voit encore dans un café de la place de l’Opéra paraissent, il faut l’avouer, justifier les sl
75 . Mais intérieurement on enrage, et à la table de café du “corps” on ne connaît plus de retenue. Certaines déclarations ordu
76 rire des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés , ou gagner de l’argent, ou même faire la théorie d’un ordre nouveau ?
77 e sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse alleman
78 es, et j’ai une carte. — Venez voir ! Du seuil du café , l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des milliers de SA et de SS
79 rogramme communiste atténué. 10 mai 1936 Au café avec mes étudiants. Je les interroge sur leurs expériences de camp de
44 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
80 de conversations interminables, — ces stations au café de la Rotonde, ce n’est pas le moment de les oublier ! — la vie noctu
45 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
81 passera, et nous serons encore une fois assis au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
46 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
82 qui s’en voit revêtue. 26 avril 1939 Une heure au café avec un romancier, ex-leader du Front populaire. Découragé, désabusé,
83 tin ? 29 avril 1939 Comme il est des stratèges de Café du Commerce — généraux qui n’ont rien à commander —, il est des « rés
84 t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les cafés , les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
47 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
85 les vents. Rares sont les boutiques, et même les cafés . Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
48 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
86 à la sagesse bavarde, comme on en trouve dans les cafés , avait coutume de me faire la théorie suivante : tout le mal vient de
49 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
87 à la sagesse bavarde, comme on en trouve dans les cafés , avait coutume de me faire la théorie suivante : tout le mal vient de
50 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
88 à la sagesse bavarde, comme on en trouve dans les cafés , avait coutume de me faire la théorie suivante : tout le mal vient de
51 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
89 t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les cafés , les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
90 les vents. Rares sont les boutiques, et même les cafés . Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
52 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
91 Caille pénètre dans les cours de ferme, dans les cafés . À tous il tend la Parole « morte aux pages » ; mais voici que de tou
92 eau, le verre, la lampe. Nous retrouvons le petit café vaudois autour duquel tourne la vie du pays recréé par Ramuz. Le « ch
53 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
93 le benedicite avant de s’asseoir et l’on pose au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers
54 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
94 e est contagieux. Il bavarde encore en prenant le café , puis s’excuse d’avoir à regagner sa banque : d’ailleurs sa femme me
55 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
95 ion de la mort, sur les places et dans les grands cafés , aux lieux de populace et de parole rapide. Peut-être le soleil étein
56 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
96 e privée en général, et ne vous rencontrera qu’au café . Mais en France des amitiés se nouent — terme intraduisible en anglai
57 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
97 en voit revêtue. 26 avril 1939 Une heure au café avec un romancier, ex-leader du Front populaire et conseiller privé d
98 29 avril 1939 Comme il est des stratèges de Café du Commerce — généraux qui n’ont rien à commander —, il est des « rés
99 t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les cafés , les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
58 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
100 sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village. Une heure creuse à l’armée, quel beau vide, ou quelle plé
101 les vents. Rares sont les boutiques, et même les cafés . Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
59 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
102 passera, et nous serons encore une fois assis au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
60 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
103 la liste des articles qu’on ne peut plus vendre : café , liqueurs, savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le pain et
104 es, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café . Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous sert, sous le nom d
105 ais peu d’animation. On nous sert, sous le nom de café noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et
61 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
106 » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café , ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout
107 sur l’escalier. Il m’attendait. Il m’entraîne au café . Il avait des questions à me poser au sujet d’un de mes livres dont i
108 e vraie place, au carrefour de trois rues, et des cafés où vers six heures du soir se groupent autour d’un verre et d’un prob
62 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
109 es chenilles mécaniques transbahutant des sacs de café par milliers, pendant toute une nuit d’insomnie. Nous entrons dans l
63 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
110 le bénédicité avant de s’asseoir et l’on pose au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers
64 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
111 Il souhaite encore que l’on organise à Genève un Café de Flore de l’Esprit européen, ou chacun se rencontrera librement, en
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — I. Le sentiment de l’Europe centrale
112 u’on parle de paradoxe, Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier des Doktor phil. venu évoque le co
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
113 l’après-midi par exemple —, non sans angoisse. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
114 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
115 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
116 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?)   « Tous ce
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
117 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
118 sont venus pour tuer le temps, au lieu d’aller au café . Cette inertie, dès qu’il ne s’agit plus d’argent. À moins que ce ne
119 23 décembre 1933 J’écris ceci sur une table de café . À travers la vitrine, je vois le vieux port de cette vieille ville,
120 des « discussions » qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui correspond bien à ce que les pêcheurs
121 locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois cafés pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
122 entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Jour
123 a place du village. En face ou à côté, il y a les cafés , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y
124 les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café . — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! M
125 avail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux o
126 s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café , dans une salle d’Université… Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
127 er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café , celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
128 es têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés . Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histoire, chaque nuan
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
129 Ainsi j’ai retrouvé ma vieille Germanie dans les cafés , dans la ville médiévale, dans l’odeur douce des magasins de tabac, d
130 ais beaucoup de ceux que l’on voit encore dans un café de la place de l’Opéra paraissent, il faut l’avouer, justifier les sl
131 . Mais intérieurement on enrage, et à la table de café du “corps” on ne connaît plus de retenue. Certaines déclarations ordu
132 rire des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés , ou gagner de l’argent, ou même faire la théorie d’un ordre nouveau ?
133 e sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse alleman
134 es, et j’ai une carte. — Venez voir ! Du seuil du café , l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des milliers de SA et de SS
135 rogramme communiste atténué. 10 mai 1936 Au café avec mes étudiants. Je les interroge sur leurs expériences de camp de
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
136 en voit revêtue. 26 avril 1939 Une heure au café avec un romancier, ex-leader du Front populaire et conseiller privé d
137 29 avril 1939 Comme il est des stratèges de Café du Commerce — généraux qui n’ont rien à commander —, il est des « rés
138 t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les cafés , les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
139 sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village. Une heure creuse, à l’armée, quel beau vide, ou quelle pl
140 les vents. Rares sont les boutiques, et même les cafés . Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
141 passera, et nous serons encore une fois assis au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
142 in, avec les fondateurs, dans une petite salle de café enfumée par les cigares de l’infatigable Gottlieb Duttweiler. L’organ
143 J’ai attendu les résultats de la démarche dans un café proche du Palais fédéral. Les délégués m’y retrouvent après une heure
144 ürichberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un café , à l’heure du déjeuner, sur une route presque campagnarde, entre deux
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
145 la liste des articles qu’on ne peut plus vendre : café , liqueurs, savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le pain et
146 es, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café . Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous sert, sous le nom d
147 ais peu d’animation. On nous sert, sous le nom de café noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
148 » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café , ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout
149 sur l’escalier. Il m’attendait. Il m’entraîne au café . Il avait des questions à me poser au sujet d’un de mes livres dont i
150 e vraie place, au carrefour de trois rues, et des cafés où vers six heures du soir se groupent autour d’un verre et d’un prob
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
151 es chenilles mécaniques transbahutant des sacs de café par milliers, pendant toute une nuit d’insomnie. Nous entrons dans l
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
152 s. Hier c’était au Brevoort, la seule terrasse de café de New York, avec quelques jeunes professeurs de l’École libre. Remar
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
153 le benedicite avant de s’asseoir et l’on pose au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers
79 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
154 dans tout New York qu’une seule vraie terrasse de café , celle du Brevoort, au bas de la Cinquième Avenue. C’est là que Dos P
80 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
155 » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café , ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout
156 sur l’escalier. Il m’attendait. Il m’entraîne au café . Il avait des questions à me poser au sujet d’un de mes livres dont i
157 e vraie place, au carrefour de trois rues, et des cafés où vers six heures du soir se groupent autour d’un verre et d’un prob
81 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
158 frotte aux gens du monde, et eux à lui ; point de cafés où l’on se retrouve en bande à l’heure de l’apéritif ; point d’antich
82 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
159 e privée en général, et ne vous rencontrera qu’au café . Mais en France des amitiés se nouent — terme intraduisible en anglai
83 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
160 cie, les frontières closes, et le blé, le riz, le café pourriront, les pommes de terre pourriront par montagnes dans un pays
84 1947, Articles divers (1946-1948). La jeune littérature des États-Unis devant le roman américain (7 juin 1947)
161 dans tout New York qu’une seule vraie terrasse de café , celle du Brevoort, au bas de la Cinquième Avenue. C’est là que Dos P
85 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
162 e est contagieux. Il bavarde encore en prenant le café , puis s’excuse d’avoir à regagner sa banque : d’ailleurs sa femme me
86 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
163 ion de la mort, sur les places et dans les grands cafés , aux lieux de populace et de parole rapide. Peut-être le soleil étein
87 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Pâques européennes (18 avril 1949)
164 ague. Il se promène ces jours-ci dans les rues et cafés de Paris, avec un gros livre sous le bras, quêtant la signature des a
88 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
165 ague. Il se promène ces jours-ci dans les rues et cafés de Paris, avec un gros livre sous le bras, quêtant la signature des a
89 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
166 e nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. ⁂ Je dirai plus. Le monde moderne tout e
90 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
167 e nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Bien plus, le monde moderne tout entier
91 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
168 e nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Bien plus, le monde moderne tout entier
92 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
169 e nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Je dirai plus. Le monde moderne tout ent
93 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Sur l’opinion en général et la presse en particulier (11 décembre 1950)
170 ans sa famille, dans son milieu professionnel, au café du commerce ou au cercle, et cela sans crainte d’être inquiété ou arr
94 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Nos libertés (12 février 1951)
171 celle de nous exprimer, en public, entre amis, au café , au travail. Et je ne dis pas que la liberté de l’expression soit san
95 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
172 it d’entrer dans n’importe quels magasin, marché, café , ou restaurant, et de composer le menu de notre choix ; droit d’éleve
96 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
173 it d’entrer dans n’importe quels magasin, marché, café , ou restaurant, et de composer le menu de votre choix ; droit d’éleve
97 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
174 À l’intérieur, deux rues de boutiques de luxe, de cafés et de librairies aboutissent dans le hall central ouvert sur un vaste
175 , cages à oiseaux cubiques et mal superposées, de cafés minuscules dont les balcons surplombent le bassin, et d’espèces de ga
176 es Nehrus politiques ou des Nehrus pandits15…) Au café , je lui dis mon étonnement à découvrir que l’intelligentsia de son pa
98 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
177 u paysan qui affirmait sortir de l’église, non du café . « Ah tu étais à l’église ? lui dit sa femme. Dis-moi donc le sujet d
99 1952, Arts, articles (1952-1965). Appel à ceux qui osent être différents (22 mai 1952)
178 de discours, d’interminables discussions dans les cafés , régime donc fabriqué de toutes pièces par des intellectuels invétéré
100 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
179 es, ses procédés de fabrication du chocolat ou du café soluble. Pour trouver de nouveaux débouchés, il a fallu couvrir la te