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re. Leur familiarité réchauffe. Chaque soir, à la
cafétéria
— un restaurant très bon marché où l’on doit se munir d’un plateau, d
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e suis heureux, je cours dîner pour 50 cents à la
cafétéria
du coin. 2 mars 1942 Ou écrire, ou sortir. — Après trois jours
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re. Leur familiarité réchauffe. Chaque jour, à la
cafétéria
— un restaurant très bon marché où l’on doit se munir d’un plateau, d
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je suis heureux et cours dîner pour 50 cents à la
cafétéria
du coin. 22 février 1942 Ou écrire, ou sortir. — Après trois j
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ures je n’ai pas dit un mot à âme qui vive. (À la
cafétéria
, il me suffit de désigner les plats d’un geste). Cela ne se peut que
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re. Leur familiarité réchauffe. Chaque soir, à la
cafétéria
, — un restaurant très bon marché où l’on doit se munir d’un plateau,
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e suis heureux, je cours dîner pour 50 cents à la
cafétéria
du coin. 2 mars 1942 Ou écrire, ou sortir. — Après trois jours et nu
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au cinéma, son tour de remplir une assiette à la
cafétéria
. L’allure nègre, balancée, paresseuse, ne se reconnaît pas seulement
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pas adressé un mot à âme qui vive (mangé dans des
cafétérias
où il suffit de désigner du doigt le plat qu’on veut), et ce soir je
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je suis heureux et cours dîner pour 50 cents à la
cafétéria
du coin. 22 février Après trois jours et nuits de travail acharné, j’
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ures je n’ai pas dit un mot à âme qui vive. (À la
cafétéria
, il me suffit de désigner les plats d’un geste.) Cela ne se peut que