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ù l’on sent battre le cœur du lyrisme occitan, le
canso
de l’Alouette, tout est d’abord lum et clartaz. Mais c’est précisémen
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d’Amour, je me cache. Ceci encore, dans un autre
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, qui commence justement par : « Tant ai le cœur plein de joie »… Du
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nomisé sous forme de vers (versus) ou de chanson (
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) : cette évolution séculaire vient culminer entre 1100 et 1150 dans l
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uteur, Les Troubadours, II, Paris, 1966, le grand
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cathare (selon moi) de Peire Cardenal, Vera vergena Maria : Marie est