1 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
1 rrosive. Finalement on se rend et il refuse cette capitulation . On n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une maladie. Cet hom
2 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
2 it un « plus tard ». En campagne, le jour de la capitulation de la Hollande. a. « Reynold et l’avenir de la Suisse », Hommage à
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
3 rrosive. Finalement on se rend et il refuse cette capitulation . On n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une maladie. Cet hom
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
4 ion la plus élémentaire. 97. (Note de 1967.) La capitulation allemande a été signée à Berlin le 8 mai 1945.
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
5 ais s’alliaient avec lui par des traités nommés «  capitulations  ». Ils formaient souvent la garde royale. C’est ainsi que les gardes
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
6 inion française […] a préféré aux facilités de la capitulation son raisonnement et son instinct. » Qui parle ainsi ? Au nom de quell
7 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
7 i une série de traités d’alliance qu’on nommait «  capitulations  ». Les cantons ou certaines familles suisses étaient autorisés à leve
8 , les cantons s’empressent de signer de nouvelles capitulations militaires avec huit souverains, mais le noyau d’une armée fédérale e
9 mmence par déclarer : « Il ne peut être conclu de capitulations militaires » (art. 11). À cette exécution sommaire du service étrange