1 . Mais à partir de Constantin, puis des empereurs carolingiens , ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominan

2 siècles de culture qui succèdent à la renaissance carolingienne . Ou bien tout cela « tombe du ciel », c’est-à-dire jaillit d’une insp

3 . Mais à partir de Constantin, puis des empereurs carolingiens , ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominan

4 de culture romane qui succèdent à la renaissance carolingienne . Ou bien tout cela « tombe du ciel », c’est-à-dire jaillit d’une insp

5 . Mais à partir de Constantin, puis des empereurs carolingiens , ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominan

6 de culture romane qui succèdent à la renaissance carolingienne . Ou bien tout cela « tombe du ciel », c’est-à-dire jaillit d’une insp

7 poser que le terme d’Europe, si fréquent sous les Carolingiens , disparaît précisément du xie au xive siècle, et ne reparaît guère

8 e grand avantage de Brugmans, étudiant la période carolingienne ou la formation du Saint-Empire, par exemple, c’est qu’il est Holland

9 taille de Poitiers, qui eut lieu en 732. L’Empire carolingien marque un sommet de la conscience d’une Europe unie, puis on redescen

10 nous a servi de source principale pour la période carolingienne et pour les siècles qui la préparent et qui la suivent immédiatement.

11 l’allégorie, ou dans la nostalgie du grand passé carolingien . Parfois, cependant, le nom d’Europe affleure et brille encore pour u

12 urtifs, mais les plus émouvants, du long couchant carolingien , sous Henri II. L’empereur saxon, fuyant la peste qui ravage l’Italie

13 rimé par un poète rhénan, clama la fin de l’idée carolingienne de l’Europe : « Que pleure l’Europe décapitée ! » : loret hunc Europ

14 taille de Poitiers, qui eut lieu en 732. L’empire carolingien marque un sommet de la conscience d’une Europe unie, puis on redescen

15 l’allégorie, ou dans la nostalgie du grand passé carolingien . Parfois, cependant, le nom d’Europe affleure et brille encore pour u

16 urtifs, mais les plus émouvants, du long couchant carolingien , sous Henri II. L’empereur saxon, fuyant la peste qui ravage l’Italie

17 rimé par un poète rhénan, clama la fin de l’idée carolingienne de l’Europe : « Pleure l’Europe décapitée ! » : Ploret hunc Europa i

18 entale est issue de la désintégration de l’Empire carolingien . » Or, l’Empire carolingien était une Europe occidentale unie. L’Euro

19 tégration de l’Empire carolingien. » Or, l’Empire carolingien était une Europe occidentale unie. L’Europe serait donc née de la dés

20 leversement subi par l’Europe depuis sa formation carolingienne  ? L’éloquence « cosmopolite » et « philanthropique » d’un Mirabeau, d

21 est consacré aux Germains, des origines jusqu’aux Carolingiens . Reynold y décrit largement cette « fusion du Barbaricum et de la Rom

22 n Âge. Il y a eu l’essor des monastères, l’empire carolingien , le Saint-Empire, l’art roman et les cathédrales, les croisades, les

23 urope n’était guère représentée, jusqu’à l’époque carolingienne , que par les « cartes en T » (un T inscrit dans un cercle) dont elle

24 yaumes aux États, par la Souveraineté L’Empire carolingien avait tenté de renouveler l’imperium romanum, et son roi franc avait

25 pas partie, mais avaient fait partie de l’Empire carolingien (France) ; les nations qui n’avaient jamais fait partie ni de l’un, n