1 réalité hors des cadres d’une logique statique et cartésienne nous porte en des régions nouvelles de l’esprit où l’action redevient

2 mot démesure désigne dans l’esprit d’un bourgeois cartésien quelque chose dont il convient de se gausser sans examen. Mais une ex

3 mot démesure désigne dans l’esprit d’un bourgeois cartésien quelque chose dont il convient de se gausser sans examen. Mais une ex

4 aire les exigences artificielles. 11. Et non pas cartésienne , comme on le dit souvent. e. « Loisir ou temps vide ? », Esprit, Par

5 ncevait pas distincte ou détachée d’une doctrine. Cartésien par l’audace méthodique de son analyse, il refusait pourtant la disti

6 ligence, indissolublement, en acte. La séparation cartésienne de l’esprit et du corps, la divinisation hégélienne de l’esprit pur,

7 ec d’une révolution qui ne sait pas où elle va. » Cartésienne ou hégélienne, la dialectique sur laquelle se fondent ces révolutions

8 la racine du mal, nous réduirons d’abord l’erreur cartésienne , la séparation de la « pensée » et de l’« action ». Nous réapprendron

9 ligence, indissolublement, en acte. La séparation cartésienne de l’esprit et du corps, la divinisation hégélienne de l’esprit pur,

10 ec d’une révolution qui ne sait pas où elle va. » Cartésienne ou hégélienne, la dialectique sur laquelle se fondent ces révolutions

11 ands les moins suspects de sacrifier à la logique cartésienne , quels sont les plus illustres physionomistes des idées ? Goethe et N

12 te sur le terrain concret de l’humble “bon sens” ( cartésien  ?), et de la quotidienne “expérience” chrétienne. » (Tome III, p. 287

13 même : « Le terrain concret de l’humble bon sens cartésien . » Étiez-vous vraiment « cartésien » en ce temps-là, cher Monsieur Ni

14 umble bon sens cartésien. » Étiez-vous vraiment «  cartésien  » en ce temps-là, cher Monsieur Nicodème ? Ou bien l’êtes-vous devenu

15 le veut le langage confus de ceux qui se croient cartésiens . Aussi a-t-on souvent tendance à le rejeter du côté des mystiques, où

16 tes responsable de tout le mal qu’ont répandu les cartésiens . Et je sais bien que de ceux-ci au cartésianisme vulgaire qui traîne

17 de ses deux mains. Ce que je reproche à l’esprit cartésien , c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce préjugé en termes de philos

18 e l’esprit, résultat nécessaire de la distinction cartésienne , n’est pas demeurée sans effet. Séparer soigneusement l’esprit du cor

19 e vivons. Demandons-nous comment la surestimation cartésienne de l’esprit (exagérée jusqu’à l’absurde par les idéalistes romantique

20 i que l’on a cru pouvoir « appliquer » la méthode cartésienne de la division parcellaire.) Le « sérieux » universitaire consiste, e

21 is voilà le vice de construction de ce beau monde cartésien  : on admet que l’esprit ne peut rien, et on l’en loue, parce que c’es

22 de fondée sur la raison, l’individu et la science cartésienne . Nous savons aujourd’hui que la raison n’est pas un idéal, mais un ou

23 r, isoler, faire scission, ce n’est pas seulement cartésien  ; et Descartes n’a fait que constater les effets antipoétiques d’un r

24 e fondée sur la raison, l’individu, et la science cartésienne . Nous savons aujourd’hui que la raison n’est pas un idéal, mais un ou

25 sse cette distinction, essentiellement moderne et cartésienne , admet ainsi d’une part, que notre conduite peut être aliénée au prem

26 rce… Reprenons par exemple son objection au doute cartésien en morale. Après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » qui r

27 is encore une foi que je n’ai pas dans la méthode cartésienne des énumérations complètes. 85. Je ne condamne pas le sentiment, bi

28 que peut-être l’acte de penser, au sens plein et cartésien du mot, soit infiniment plus difficile et plus rare qu’on ne se figur

29 e fondée sur la raison, l’individu, et la science cartésienne . Nous savons aujourd’hui que la raison n’est pas un idéal, mais un ou

30 sse cette distinction, essentiellement moderne et cartésienne , admet ainsi, d’une part, que notre conduite peut être aliénée au pre

31 rce… Reprenons par exemple son objection au doute cartésien en morale. Après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » qui r

32 is encore une foi que je n’ai pas dans la méthode cartésienne des énumérations complètes. 88. Je ne condamne pas le sentiment, bi

33 ifices et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne , de soif de Justice et de passion libertaire, ce grand mot sera prono

34 ifices et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne , de soif de Justice et de passion libertaire, ce grand mot sera prono

35 e la fin de l’expression ? A. Oui, dans un monde cartésien , c’est-à-dire dans le monde du discours. Car le Discours de la méthod

36 haînement des phrases. Autrement dit, le discours cartésien n’a pas de fin qui lui soit transcendante. Il part de ce qu’il suppos

37 e crains une duperie moins naïve dans la modestie cartésienne . Car enfin où prend-on dans le monde rien qui soit « clair, simple et

38  » qu’il faudrait dire. C. Ne serait-il pas trop cartésien de vous demander de préciser ? A. J’essaierai de le faire par un exe

39 r eschatologique. Je disais donc que la déduction cartésienne travaille sur des cartes postales. Elle dispose en bon ordre ses repè

40 ette fin dernière vers quoi l’on tend. Le langage cartésien ou scientifique cherche à réduire les faits ou les idées à quelques é

41 réalité hors des cadres d’une logique statique et cartésienne nous porte en des régions nouvelles de l’esprit où l’action redevient

42 ’est pas cette pauvreté qu’on croit, cette clarté cartésienne , ce deux et deux font quatre, auquel la foi répond que Un et un font

43 r, isoler, faire scission, ce n’est pas seulement cartésien  ; et Descartes n’a fait qu’enregistrer les effets antipoétiques d’un

44 aques successives du scepticisme né de la science cartésienne , de l’historisme, de la philologie, puis des systèmes sociologiques e

45 l est battu. » J’ai pensé aux chefs français trop cartésiens qui ont admis la défaite sur sa définition, — avant qu’elle fût défin

46 l est battu. » J’ai pensé aux chefs français trop cartésiens qui ont admis la défaite sur sa définition, — avant qu’elle fût défin

47 mot démesure désigne dans l’esprit d’un bourgeois cartésien quelque chose dont il convient de se gausser sans examen. Mais une ex

48 réalité hors des cadres d’une logique statique et cartésienne nous porte en des régions nouvelles de l’esprit où l’action redevient

49 l est battu. » J’ai pensé aux chefs français trop cartésiens qui ont admis la défaite sur sa définition, — avant qu’elle fût défin

50 n de l’expression ? L’auteur. Oui, dans un monde cartésien , c’est-à-dire dans le monde du discours. Car le Discours de la méthod

51 haînement des phrases. Autrement dit, le discours cartésien n’a pas de fin qui lui soit transcendante. Il part de ce qu’il suppos

52 e crains une duperie moins naïve dans la modestie cartésienne . Car enfin où prend-on dans le monde rien qui soit « clair, simple et

53 audrait dire. Le critique. Ne serait-il pas trop cartésien de vous demander de préciser ? L’auteur. J’essaierai de le faire par

54 r eschatologique. Je disais donc que la déduction cartésienne travaille sur des cartes postales. Elle dispose en bon ordre ses repè

55 ette fin dernière vers quoi l’on tend. Le langage cartésien ou scientifique cherche à réduire les faits ou les idées à quelques é

56 aques successives du scepticisme né de la science cartésienne , de l’historisme, de la philologie, puis des systèmes sociologiques e

57 tradictoires. Et cependant, pour l’étonnement des cartésiens , cette logique différente les conduit aux mêmes conclusions négatives

58 tradictoires. Et cependant, pour l’étonnement des cartésiens , cette logique différente les conduit aux mêmes conclusions négatives

59 on est plus nuancé. Car il est évident pour tout cartésien progressiste, que deux-cents divisions russes existantes sont moins d

60 suis. Voilà qui est moins idéaliste que le cogito cartésien  : il suffit de poser comme axiome l’accord fondamental du rêve et du

61 tionalisme aplati, une certaine logique prétendue cartésienne , mais qui n’est guère que l’esprit de système tantôt paresseux, tantô

62 igueur dans l’articulation, qu’on appelle souvent cartésiennes , aient été premièrement illustrées dans notre langue par ses écrits :

63 fédéralisme que l’esprit français, qui passe pour cartésien . Ce sont pourtant deux juristes britanniques, Sir Ivor Jennings et C.

64 aques successives du scepticisme né de la science cartésienne , de l’historisme, de la philologie, puis des systèmes sociologiques e

65 lémentarité, de sources et de cibles, de produits cartésiens , etc.). Or il se trouve que c’est par la théorie des ensembles que l’

66 rtout de l’expliquer à des Français non seulement cartésiens mais jacobins dans l’âme, que je me vis contraint de prendre conscien

67 r à jamais étrangère aux esprits qui se veulent «  cartésiens  » ? Il nous faudrait alors désespérer de toute union vivante de l’Eur

68 remier de l’expression182.) À cette question très cartésienne , je ne puis faire qu’une réponse normande et réaliste. Nous devons fé

69 co-transcendental, il mourra donc avec la science cartésienne . Les dégâts resteront limités. On pourrait faire observer aussi que,

70 ssable ». La civilisation industrielle, d’essence cartésienne , a voulu se développer sur une tabula rasa — qu’elle a créée au besoi

71 ssable ». La civilisation industrielle, d’essence cartésienne , a voulu se développer sur une tabula rasa — qu’elle a créée au besoi

72 e 1969 La Révolution française, dans un sens très cartésien , définit l’homme par ses droits politiques, et non plus par sa nature