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l avec son amiral régent et ses gardes blancs aux
casques
d’or s’avance en proue, dominant superbement cette ville désordonnée.
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ux mains cuites qui raccommode ses chaussures, le
casque
aux cheveux, tête farcie, oui farcie de musique, de musique, de musiq
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érité, l’armée c’est tout d’abord un cliquetis de
casques
et d’ustensiles grossiers ; des mouvements brusques en tout sens, tis
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e qu’un rassemblement dans la nuit, grouillant de
casques
, de reflets sourds et de gamelles entrechoquées. Et, plus tard, au ma
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de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du
casque
. L’homme tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à l
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n’aurait pas lieu ; ensuite, j’allais mettre mon
casque
; enfin je n’avais pas de sujet, et je défiais quiconque d’en trouver
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: la terre gicle sur mes joues glacées et sur mon
casque
. Les hommes me regardent, et ils ne rient même pas. L’un d’eux entre
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tres lumineuses, et sur la table, devant moi, mon
casque
et la blancheur d’un carré de papier. Je serrais un crayon dans mes d
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aux ». L’armée c’est tout d’abord un cliquetis de
casques
et d’ustensiles entrechoqués ; des mouvements brusques en tous sens,
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e qu’un rassemblement dans la nuit, grouillant de
casques
, de reflets sourds et de pas lourdement rythmés. Et, plus tard, au ma
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de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du
casque
. L’homme tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à l
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. La terre gicle sur mes joues glacées et sur mon
casque
. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même pas. J’entends ce
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aux ». L’armée c’est tout d’abord un cliquetis de
casques
et d’ustensiles entrechoqués ; des mouvements brusques en tous sens,
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e qu’un rassemblement dans la nuit, grouillant de
casques
, de reflets sourds et de pas lourdement rythmés. Et, plus tard, au ma
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de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du
casque
. L’homme tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à l
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. La terre gicle sur mes joues glacées et sur mon
casque
. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même pas. J’entends ce
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ythmée par le sourd cliquetis des gamelles et des
casques
fixés aux ceinturons, parut cesser d’être un progrès de but en but, d
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rars y perdit son bras droit. Apollinaire eut son
casque
troué par un éclat d’obus. « Une étoile de sang me couronne à jamais
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’une sous-préfecture. Il n’a donc jamais porté le
casque
à pointe, comme le lui reprocheront sans relâche nationalistes et com
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urelle, s’opèrent sous l’étroite surveillance des
Casques
bleus de l’ONU, afin d’éviter que vivres et médicaments soient récupé
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des distributions d’aides au tiers-monde par les
Casques
bleus, non par des fonctionnaires nationaux, je ne penserai pourtant