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hie est celle de l’antique Rome, qui a inspiré le
catholicisme
, la Renaissance, le traditionnisme et le nationalisme. L’Orient effém
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, que Maurras n’a pas faite aussi franchement, du
catholicisme
et du christianisme, le christianisme étant dans le même camp que la
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admissible d’inférer du mépris de Rimbaud pour le
catholicisme
à son mépris pour la révélation évangélique. Je ne vois là que l’indi
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rante pages qu’il consacre à la « conversion » au
catholicisme
de la princesse Blanche. Arrêtons-nous un peu à l’examen de ce passag
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t plus du tout exemplaire et ne peut servir ni le
catholicisme
(le milieu protestant étant nul), ni la foi chrétienne en général (du
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ux de parler de conversion d’un protestantisme au
catholicisme
ou l’inverse. On ne se convertit pas à quelque chose. On se convertit
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, et il est caractéristique à la fois du monde du
catholicisme
et du monde du protestantisme, que la polémique et la satire qui sévi
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e la Morale (Mercure de France). 47. Converti au
catholicisme
après avoir écrit ses premières œuvres, et devenu l’un des chefs du p
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ros volume et s’exclama : « Si ce n’est pas là du
catholicisme
tout pur, je déclare ne plus rien comprendre à rien. Ces “ondes radio
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s fécond pour la théologie de mettre en regard du
catholicisme
romain le protestantisme tout entier, luthérien, calviniste et wesley
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du pape a répandu bien au-delà des frontières du
catholicisme
une émotion dont chacun sent l’arrière-pensée, l’arrière-angoisse. Ce
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ceci : la religion, c’est la pratique moyenne du
catholicisme
français. Il s’agit moins de la dénigrer que de la « réaliser » en la
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ns les cadres de la République radicale. Ainsi le
catholicisme
, interprété par Alain, serait une sagesse éternelle qu’il s’agirait d
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». Ce qu’un esprit comme celui d’Alain retient du
catholicisme
, c’est donc exactement ce que Kierkegaard, par exemple, rejette au no
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u les empreintes psychologiques et historiques du
catholicisme
français, en tant que, vidé de la foi, il demeure une « religion » ?
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iner les fatalités germaniques que six siècles de
catholicisme
lui léguaient parfaitement intactes. c. « De Luther à Hitler », La
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théranisme a donnée au totalitarisme allemand, le
catholicisme
au totalitarisme italien, l’orthodoxie au totalitarisme russe, fort b
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ies complexités spirituelles, ont rejetés vers le
catholicisme
. Je ne dis pas qu’ils ont eu raison. Je suis plus agacé que n’importe
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du protestantisme avec les qualités théoriques du
catholicisme
. Mais enfin ces défauts n’existent que trop. Notre bonne inconscience
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conversion, ou de la conversion trop facile. « Le
catholicisme
est inadmissible. Le protestantisme est intolérable. Et je me sens pr
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n vit le mouvement mystique s’éteindre au sein du
catholicisme
romain, tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs f
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e Pie XI a répandu bien au-delà des frontières du
catholicisme
une émotion dont chacun sent l’arrière-pensée, l’arrière-angoisse. Ce
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n vit le mouvement mystique s’éteindre au sein du
catholicisme
romain, tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs f
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ion : antiquité et christianisme, Église et État,
catholicisme
et protestantisme, attachements régionaux et sens de l’universel, mém
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é gréco-romaine et christianisme, Église et État,
catholicisme
et protestantisme, attachements régionaux et sens de l’universel, mém
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mme : antiquité et christianisme, Église et État,
catholicisme
et protestantisme, attachements régionaux et sens de l’universel, mém
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et l’esthétisme » (février-mars 1949)i …1° Le
catholicisme
inspire, encadre et soutient, aujourd’hui, un assez grand nombre d’éc
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s que les autres sont entrés (ou rentrés) dans le
catholicisme
et se donnent, sans la moindre équivoque, pour des croyants et pratiq
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te-t-il ? 2° On ne peut déduire de ce fait que le
catholicisme
, en général, offre à la littérature un climat plus favorable que le p
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plus connus disent préférer le protestantisme au
catholicisme
. 3° S’il paraît probable que le nombre des écrivains catholiques, pro
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les apôtres irlandais retrouvent non seulement le
catholicisme
de Rome, mais un fonds celtique plus ancien qui leur est congénial, e
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rentes. Enfin, certaines restrictions imposées au
catholicisme
, telles que l’interdiction de fonder de nouveaux couvents et ordres,
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tes, le protestant moyen continue à penser que le
catholicisme
consiste à mettre des cierges sur un autel, et à cultiver toutes sort
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ne part la volonté originelle de se distinguer du
catholicisme
romain, d’autre part une tournure d’esprit positive et volontiers sim
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ectivités. Les plus grands penseurs politiques du
catholicisme
et du calvinisme sont unanimes à condamner le nationalisme au nom de
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rtiellement l’Indonésie, enfin le Japon. C’est du
catholicisme
qu’est issue la Réforme, pour essaimer ensuite en Amérique du Nord. À
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rtiellement l’Indonésie, enfin le Japon. C’est du
catholicisme
qu’est issue la Réforme, pour essaimer ensuite en Amérique du Nord. À
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éforme, le renouveau des études bibliques dans le
catholicisme
romain, la découverte du problème social (un peu forcée) dans l’ortho
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le conflit de la papauté et de l’Empire, puis du
catholicisme
et de la Réforme, aient été des grands malheurs pour l’Europe, car ce
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. Il est élevé dans le patriotisme polonais et le
catholicisme
le plus strict. Jusqu’à l’âge de 17 ans, il pense devenir prêtre. Et
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. Luthérien convaincu, mais admirateur sincère du
catholicisme
romain et de l’orthodoxie russe, il s’épuise à les concilier, d’où sa
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fère que la guerre est divine ; elle voit dans le
catholicisme
et le protestantisme deux besoins complémentaires du cœur humain, et
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e aux dépens de l’autre : le protestantisme et le
catholicisme
ne viennent point de ce qu’il y a eu des papes et Luther ; c’est une
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’attribuer à des hasards. Le protestantisme et le
catholicisme
existent dans le cœur humain ; ce sont des puissances morales qui se
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le conflit de la papauté et de l’Empire, puis du
Catholicisme
et de la Réforme, aient été des grands malheurs pour l’Europe, car ce
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ent le moine et le chevalier. À quatre siècles de
catholicisme
nordique et d’influence orientale succédèrent quatre siècles d’humani
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» au christianisme de leur époque, tout comme le
catholicisme
post-tridentin, du xvie au xixe siècle, reste intimement relié au p
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seul idéal qui ait la solidité qu’eut un temps le
catholicisme
et la flexibilité que celui-ci n’a pu avoir, le seul idéal qui affron
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l’Empire, des nations romanes et germaniques, du
catholicisme
et du protestantisme, de la théologie et de la philosophie, — aujourd
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n vit le mouvement mystique s’éteindre au sein du
catholicisme
romain, tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs f
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Des différentes confessions historiques, seuls le
catholicisme
et le protestantisme seraient en position d’y prétendre, sinon d’y ré
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en position d’y prétendre, sinon d’y réussir. Le
catholicisme
a pour lui son aspiration fondamentale, et déclarée par son nom même,
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tions « converties » de la sorte. En revanche, le
catholicisme
a contre lui son absolutisme foncier, moins affirmé dans le domaine d
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, cependant que l’Autrichien Hitler, formé par le
catholicisme
— il y insistait —, a créé son mouvement en Bavière, que Mussolini a
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antisme possède donc de meilleures chances que le
catholicisme
de contribuer à la formation politico-sociale du monde de demain. En
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e d’origine païenne est la tentation naturelle du
catholicisme
, le sécularisme moderne est la tentation naturelle du protestantisme,
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les apôtres irlandais retrouvent non seulement le
catholicisme
de Rome, mais un fond celtique plus ancien qui leur est congénital, e
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tes, le protestant moyen continue à penser que le
catholicisme
consiste à mettre des cierges sur un autel et à cultiver toutes sorte
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on et innovation, droite et gauche, Nord et Midi,
catholicisme
et protestantisme, réformisme et révolution, mythe et science, hérési
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on et innovation, droite et gauche, nord et midi,
catholicisme
et protestantisme, réformisme et révolution, mythe et science, hérési
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Réforme rejette la synthèse romano-chrétienne du
catholicisme
sous l’égide de saint Augustin. Dans son Génie du christianisme, Chat
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lui donner, elle reste marquée avant tout par le
catholicisme
progressiste et péguyste qu’annoncent, d’entrée de jeu, ses premiers
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n dépit de l’attrait qu’exercent déjà sur Marc le
catholicisme
et Péguy ; et en dépit aussi de mes sérieuses divergences avec le nie
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pratique au moins quatre religions : orthodoxie,
catholicisme
, islam, et communisme athée. Il s’agit d’arranger tout cela, et non p
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tique mais non l’éthique sociale ou politique, le
catholicisme
tridentin (comme aujourd’hui le communisme « orthodoxe ») attend des
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mme : antiquité et christianisme, Église et État,
catholicisme
et protestantisme, attachements régionaux et sens de l’universel, mém
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éponse de Mme de Staël : Le protestantisme et le
catholicisme
ne viennent point de ce qu’il y a eu des papes et Luther. C’est une p
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’attribuer à des hasards. Le protestantisme et le
catholicisme
existent dans le cœur humain ; ce sont des puissances morales qui se
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tique mais non l’éthique sociale ou politique, le
catholicisme
tridentin (comme aujourd’hui le communisme « orthodoxe ») attend des
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on et innovation, droite et gauche, Nord et Midi,
catholicisme
et protestantisme, réformisme et révolution, mythe et science, hérési