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nérer en dictatures. « L’État, l’Ordre social, la
Centralisation
, l’Autorité et la Discipline se trouvent ainsi élevés à la dignité de
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que des trahisons jumelles. Nous sommes contre la
centralisation
, contre l’étatisme, contre le nationalisme étatisé, contre toute espè
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techniques (imprimerie, grand tirage, publicité,
centralisation
, etc.) qui ont fait le succès de la presse moderne, qui font aujourd’
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nce dans les partis. C’est aussi à cause de cette
centralisation
: qu’est-ce qu’ils savent de notre situation à Paris ? Est-ce qu’il n
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nce dans les partis. C’est aussi à cause de cette
centralisation
: qu’est-ce qu’ils savent de notre situation à Paris ? Est-ce qu’il n
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ticularisme étroit qu’à cette forme antisuisse de
centralisation
qui s’appelle le nationalisme. Mais le plus gros effort s’esquisse à
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ond, la SDN. Mais le jacobinisme des démocraties (
centralisation
rigide, confusion de l’État et de la Nation) s’opposait dans le fait
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que des trahisons jumelles. Nous sommes contre la
centralisation
, contre l’étatisme, contre le nationalisme étatisé, contre toute espè
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itale de l’Empire d’Occident, ses hiérarchies, sa
centralisation
, sa structure unitaire, certaines formes liturgiques, tout cela fait
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seront à nouveau les Églises réformées. Point de
centralisation
, point de capitale, point d’unification formelle et forcée. Dès le dé
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itale de l’Empire d’Occident, ses hiérarchies, sa
centralisation
, sa structure unitaire, et même ses formes liturgiques, tout cela fai
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seront à nouveau les Églises réformées. Point de
centralisation
, point de capitale, point d’unification formelle et forcée. Dès le dé
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n de principe entre ces deux nécessités vitales :
centralisation
et autonomie. Reste à résoudre la difficulté pratique de leur dosage
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itale de l’Empire d’Occident, ses hiérarchies, sa
centralisation
, sa structure unitaire, et même ses formes liturgiques, tout cela fai
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seront à nouveau les Églises réformées. Point de
centralisation
, point de capitale, point d’unification formelle et forcée. Dès le d
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ercentralisée de l’armée française, copiée sur la
centralisation
politique de la nation. La France avait des frontières rigides et un
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nité imposée et la division irréfléchie, entre la
centralisation
rigide et l’éparpillement poussiéreux. Remarquons tout de suite que c
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nce dans les partis. C’est aussi à cause de cette
centralisation
: qu’est-ce qu’ils savent de notre situation, à Paris ? Est-ce qu’il
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ond, la SDN. Mais le jacobinisme des démocraties (
centralisation
rigide, confusion de l’État et de la Nation) s’opposait dans le fait
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ie et de dictature, de particularisme borné et de
centralisation
oppressive. Le fédéralisme est sur un autre plan que ces deux erreurs
21
ignifie union, et qui évoque avant tout l’idée de
centralisation
. En Suisse romande, au contraire, ceux qui se proclament fédéralistes
22
seurs jaloux de l’autonomie des cantons contre la
centralisation
. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’unir. Pour les autres
23
le risque, la vie privée et le service public, la
centralisation
et la libre entreprise, l’un pour tous et le tous pour un. Voilà la v
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ie et de dictature, de particularisme borné et de
centralisation
oppressive. Le fédéralisme est sur un autre plan que ces deux erreurs
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seurs jaloux de l’autonomie des cantons contre la
centralisation
. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’unir. Pour les autres
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le risque, la vie privée et le service public, la
centralisation
et la libre entreprise, l’un pour tous et le tous pour un. Voilà la v
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plus fort des États dans son absence complète de
centralisation
. Ne cherchez pas la preuve dans des considérations théoriques. Dites-
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dernières jouaient évidemment dans le sens d’une
centralisation
toujours plus poussée. Aussi, durant le siècle de paix que valut à la
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, comme l’observe A. Gasser « un instrument de la
centralisation
». En Suisse, au contraire, les droits de la commune ne sont limités
30
er que dans la mise en commun de leurs forces. La
centralisation
qu’ils acceptent dans certains domaines, strictement définis, n’est d
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rché plutôt dans l’attitude des députés devant la
centralisation
croissante de la Confédération. Certes, l’autonomie des cantons n’est
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ux guerres mondiales ont accéléré le processus de
centralisation
économique. Elles ont amené l’une et l’autre le régime des pleins pou
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l’a-t-il protégée dans une large mesure contre la
centralisation
exercée par Paris. Littérairement, le Romand est un Français, s’il at
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bruit (254 000 en 1950, 87 000 en mars 1956) ; la
centralisation
bureaucratique fait place à une décentralisation d’ailleurs non moins
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exigences valablement antagonistes, telles que la
centralisation
et l’autonomie, le plan d’État et les revendications locales, la libe
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t de leur pensée même, lutte contre les factions,
centralisation
des pouvoirs, raison d’État suprême en tout, puisque l’État incarne l
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anière précise, qu’il n’admet qu’une tendance, la
centralisation
universelle. Le fédéralisme, au contraire, se définit comme la synthè
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anière précise, qu’il n’admet qu’une tendance, la
centralisation
universelle. Le fédéralisme, au contraire, se définit comme la synthè
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ies de l’empire. »178 Mais Goethe craint qu’une
centralisation
politique trop poussée nuise à cette unité de culture qui ne saurait
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ystème fédératif est l’opposé de la hiérarchie ou
centralisation
administrative et gouvernementale par laquelle se distinguent, ex æqu
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tique et sociale (des Germains) les opposait à la
centralisation
bureaucratique des Romains. Leur organisation était fédérative au sen
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a liberté ou l’autorité, l’autonomie locale ou la
centralisation
, l’innovation ou la tradition, l’individualisme ou la discipline soci
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à plus d’un siècle d’empiètements de l’État et de
centralisation
systématique dans l’ensemble de nos pays. On pouvait croire que l’ère
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à plus d’un siècle d’empiètements de l’État et de
centralisation
systématique dans l’ensemble de nos pays. On pouvait croire que l’ère
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tendance unitaire ou intégriste, qui pousse à la
centralisation
et à l’uniformisation sociale, économique et éducative du continent.
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a liberté ou l’autorité, l’autonomie locale ou la
centralisation
, l’innovation ou la tradition, l’individualisme ou la discipline soci
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à plus d’un siècle d’empiètements de l’État et de
centralisation
systématique dans l’ensemble de nos pays. On pouvait croire que l’ère
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ie et de dictature, de particularisme borné et de
centralisation
oppressive. Le fédéralisme est sur un autre plan que ces deux erreurs
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l’anarchie des particularismes et le Scylla de la
centralisation
totalitaire. Cet art et cette méthode ne vont pas sans principes, san
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ignifie union, et qui évoque avant tout l’idée de
centralisation
. En Suisse romande, au contraire, ceux qui se proclament « fédéralist
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seurs jaloux de l’autonomie des cantons contre la
centralisation
. Pour les uns, fédérer veut dire surtout s’unir. Pour les autres, êtr
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même, il serait néfaste et faux de considérer la
centralisation
, l’organisation, les lois fédérales comme autant de dangers en soi po
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me, le fédéralisme n’est pas à mi-chemin entre la
centralisation
oppressive et l’esprit de clocher, à mi-chemin entre la dictature et
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n tort, en effet, de s’imaginer que la volonté de
centralisation
totale d’une nation et la volonté de la fragmenter en petites cellule
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me, le fédéralisme n’est pas à mi-chemin entre la
centralisation
oppressive et l’esprit de clocher, à mi-chemin entre la dictature et
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n tort, en effet, de s’imaginer que la volonté de
centralisation
totale d’une nation, et la volonté de la fragmenter en petites cellul
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nité imposée et la division irréfléchie, entre la
centralisation
rigide et l’éparpillement poussiéreux. Remarquons tout de suite que c
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de l’éducation et de la discipline cléricale ; sa
centralisation
à Rome, symbole impérial plutôt qu’apostolique, et preuve d’un univer
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e encore dans beaucoup d’esprits) entre étatisme,
centralisation
et planification. Mais dès les années 1950, on prend conscience un pe
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Elles ont donc pour effet de renforcer encore la
centralisation
, non seulement militaire mais économique et par suite sociale. De là,
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comme l’observe A. Gasser, « un instrument de la
centralisation
». En Suisse, au contraire, les droits de la commune ne sont limités
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er que dans la mise en commun de leurs forces. La
centralisation
qu’ils acceptent, dans certains domaines strictement définis, n’est d
63
démocratie témoin. 62. William Rappard, « De la
centralisation
en Suisse », dans la Revue française de Science politique, vol. I, 19
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e encore dans beaucoup d’esprits) entre étatisme,
centralisation
et planification. Mais dès les années 1950, on prend conscience un pe
65
des journalistes. Tout cela dans la patrie de la
centralisation
la plus systématique que l’histoire ait connue, la plus follement rat
66
le rôle parfois décisif et toujours néfaste de la
centralisation
étatique dans ce processus ; d) l’agitation des ethnies brimées par
67
en France qui est le pays le plus concerné par la
centralisation
, grand nombre de jeunes sociologues et économistes français s’étant p
68
France — qui est le pays le plus concerné par la
centralisation
, grand nombre de jeunes sociologues et économistes français s’étant p
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rvenir à animer l’ensemble de son territoire : la
centralisation
condamne la province au sous-développement. La participation effectiv
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eux ans plus tard. Tout cela dans la patrie de la
centralisation
la plus systématique que l’histoire ait connue, la plus follement rat
71
le rôle parfois décisif et toujours néfaste de la
centralisation
étatique dans ce processus ; d) l’agitation des ethnies brimées par
72
e Napoléon s’inspirant des principes jacobins. La
centralisation
dans un seul lieu, ou capitale, de tous les ordres de pouvoir (législ
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partant des cellules de base autonomes, et par la
centralisation
totalitaire. 3. L’information Enfin, les possibilités de partic
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s exigeant même, en lieu et place des formules de
centralisation
statique dans un cadre territorial accidentel et plus ou moins arbitr
75
-nation nouveau, qui ajouterait aux défauts de la
centralisation
ceux des trop petites dimensions. Il s’agit simplement de résoudre le
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-nation nouveau, qui ajouterait aux défauts de la
centralisation
ceux des trop petites dimensions économiques. Il s’agit simplement de
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-nation nouveau, qui ajouterait aux défauts de la
centralisation
ceux des trop petites dimensions économiques. Il s’agit simplement de
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ans son discours de Lyon en 1968 : à la séculaire
centralisation
étatique devaient succéder les régions, nouvelle formule de la prospé
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ationales, en vue de la guerre (seule excuse à la
centralisation
à tous autres égards quasi démentielle) est une formule anachronique
80
grand par rapport aux communautés de base que la
centralisation
irréversible vide de leur substance en attendant de les transformer e
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tretient cette institution sont le gigantisme, la
centralisation
uniformisante, et la simplification antivitale. Voilà qui nous incite
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s le seront de l’Europe de demain. Régions contre
centralisation
politique : la Yougoslavie se compose de six républiques et de deux p
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’était d’ailleurs la seule justification de cette
centralisation
. Petit à petit tous les autres États ont imité cette organisation. Ma
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rait bientôt contrainte d’imiter à l’intérieur la
centralisation
autoritaire de ses voisins. Il est donc évident que notre fédéralisme
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courant régnant en Europe, qui était celui de la
centralisation
et de la création des grands États-nations. (J’appelle État-nation la
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ère et chaleur du soleil (qui ne souffrent pas la
centralisation
, c’est pourquoi nos États les décrient et négligent). Et vous irez pl
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lnérabilité sera toujours en raison directe de la
centralisation
, mais inverse de la dispersion. Que répondent à cela nos gouvernement
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ère et chaleur du soleil (qui ne souffrent pas la
centralisation
, c’est pourquoi nos États les décrient). Et vous irez plus loin. Vous
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bine d’étatisation de la nation. Logique de la
centralisation
étatique : alignement des corps, des esprits, et des curiosités Le
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rselle et d’une mobilisation rapide entraînent la
centralisation
de l’administration et des moyens de communication. Ainsi, dans le mo
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t grand inspirateur des jacobins. Condition d’une
centralisation
efficace : le dépérissement ou la suppression des pouvoirs locaux et
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s chimiques et physiques. Industrie, technique et
centralisation
administrative exigent une discipline sans cesse accrue du citoyen. N
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ateur infaillible de nos déficiences civiques. La
centralisation
n’a jamais réussi que dans la mesure exacte où les gens d’une région
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la préparation à la guerre (capacité productive,
centralisation
administrative et moyens techniques) puis la guerre elle-même (armeme
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ècle, parce qu’elle est la crise d’une formule de
centralisation
à l’échelle nationale, nous oblige à imaginer les buts d’une société
96
tte pesanteur uniformisante, cause et moyen de la
centralisation
, des alignements, des régimes policiers des cadres stato-nationaux dé
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houret, principal auteur, avec Sieyès, du plan de
centralisation
de la France via sa départementalisation, avait fort bien compris la
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a consisté principalement à parachever l’œuvre de
centralisation
administrative poursuivie pendant des siècles par les rois mais longt
99
fico-technique, et qui suppose : rationalisation,
centralisation
et quantification, c’est-à-dire réduction de tout, hommes et choses,
100
le de chaque individu. Cette mainmise suppose une
centralisation
toujours plus poussée, disposant de ces outils énormes, formidablemen
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qu’ils provoquent, augmenteront nécessairement la
centralisation
, l’emprise de l’État sur les investissements, et l’inquisition polici
102
s nos cavernes) ; 3° réduire ainsi au minimum la
centralisation
, qui toujours pousse au mépris des réalités locales, régionales, comm
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la perte de responsabilité (donc de liberté), la
centralisation
, l’avantage donné à ce qui est toujours plus cher, plus dangereux, et
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ut nous pousse aujourd’hui, à commencer par cette
centralisation
démentielle ! C’est pourquoi aussi je suis pour les régions, pour les
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ucléaires, qui exigent les unes et les autres une
centralisation
ombrageuse, tout marche mieux, sur une petite échelle, dans les auton
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la pression des faits, à renforcer les mesures de
centralisation
? La Suisse même peut-elle échapper à ce processus ? C’est oublier qu
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respirable par l’espèce humaine). Pas question de
centralisation
dans tout cela, mais d’adaptation rationnelle des dimensions d’une tâ
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énéral à la Foire de Lyon de 1968. À la séculaire
centralisation
étatique, qui avait fait jadis la force de la Nation, devaient selon
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mule de développement de son pays n’était plus la
centralisation
, mais la région. L’organisation de 21 « régions de développement » s’
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ucléaires, qui exigent les unes et les autres une
centralisation
ombrageuse, tout marche mieux, sur une petite échelle, dans les auton
111
des systèmes économiques, proportionnelle à leur
centralisation
et à leur gigantisme, l’inflation, le chômage, et la détérioration de
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atifs » de la préparation à la guerre, donc de la
centralisation
. Parlant de la mise en place de structures fédérales en Europe, Louis
113
la cité et avec la nature. — elle provoquera une
centralisation
physique, financière et administrative des ressources énergétiques qu
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idiques, économiques et sociales, à mesure que la
centralisation
se fait plus impérieuse dans tous ces domaines. Exemples : Écosse, pa
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ielles dans une réaction contre les progrès de la
centralisation
stato-nationale, réaction plus profonde que toutes les revendications
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es et fonctions au Moyen Âge). Alors que c’est la
centralisation
actuelle qui crée les crises de tous ordres, économiques, sociales, s
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ucléaires, qui exigent les unes et les autres une
centralisation
ombrageuse, tout marche mieux, sur une petite échelle, dans les auton
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mule de développement de son pays n’était plus la
centralisation
mais la région. L’organisation de vingt-deux « régions de développeme
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du plus fort, la simplification géométrique et la
centralisation
physique et morale. Il a pour fin, tout au contraire, la liberté des
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ndant que la volonté de puissance correspond à la
centralisation
la plus rigide. Faut-il vraiment perdre du temps à le démontrer ? Oui
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opulations locales aussi faibles que possible. La
centralisation
à la fois technique et géographique de la production et de la distrib
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savez, c’est dans tous les journaux, l’ère de la
centralisation
comme celle des économies d’échelle est aujourd’hui dépassée. Le gran
123
les responsables de la société occidentale que la
centralisation
accroît au-delà des limites tolérables la vulnérabilité et le rendeme
124
ême schéma. Les centrales nucléaires impliquent :
centralisation
, surveillance armée permanente, vulnérabilité maximum, tandis que l’é
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échelle planétaire ; d’une structure géométrique (
centralisation
) plaquée sur des réalités historiques, géographiques, culturelles et
126
Remarquez que c’est le cas aujourd’hui : c’est la
centralisation
qui a accentué cela. Les régions du Sud-Ouest, par exemple, sont sens
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sensiblement plus pauvres qu’elles n’étaient. La
centralisation
sur Paris a détruit beaucoup de richesses régionales, c’est certain.
128
dont le symptôme est l’absence de civisme, et la
centralisation
étatique en route vers l’État totalitaire ? C’est, en définitive parc
129
totalitaires. Tous nos États sont victimes d’une
centralisation
excessive à l’imitation de l’État napoléonien qui a été copié presque
130
r toutes les composantes de la vie d’une nation :
centralisation
de l’économie et des structures politiques mais aussi de l’éducation
131
paix : car il signifie du même coup la fin de la
centralisation
autoritaire et militaire et l’avènement des régions autonomes, grâce
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la guerre, ultima ratio de toutes les mesures de
centralisation
et de mainmise de l’État sur l’économie. Quand on ne sait plus quoi d
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écessités d’une mobilisation rapide entraînent la
centralisation
de l’administration et des moyens de communication. Ainsi, dans le mo
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t grand inspirateur des jacobins. Condition d’une
centralisation
efficace : le dépérissement ou la suppression des pouvoirs locaux et
135
nation au xixe siècle Industrie, technique et
centralisation
administrative exigent une discipline sans cesse accrue du citoyen. N
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mots d’ordre Égoïsme sacré Solidarité vitale
Centralisation
Autonomies régionales Unité contre l’Étranger Union pour la sauvega
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ns privées, mais qu’il serait l’outil idéal de la
centralisation
étatique, économique autant que politique. Pour ma part, je le vois e
138
ire, signifierait en revanche le renoncement à la
centralisation
autoritaire et l’avènement des régions autonomes, grâce à l’appui du
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’échelle de la commune — ces besoins mêmes que la
centralisation
administrative et décisionnelle de la plupart de nos États européens
140
s ; les problèmes du travail et du chômage, de la
centralisation
étatique en vue de la guerre et de l’État totalitaire dénoncé comme é
141
sement parce que la France est le pays même de la
centralisation
. Il est vrai qu’il y avait parmi nous des Européens de partout… il y
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, ou s’est-elle contentée de parfaire l’effort de
centralisation
, homogénéisation, nivellement, amorcé de longue date ? Tout bien cons
143
rtaines grandes options politiques de base, cette
centralisation
a cessé d’être efficace ; elle est devenue une sorte de démence, elle
144
Ses caractéristiques sont une uniformisation, une
centralisation
, une confiscation du pouvoir au nom d’une idéologie nationale à l’int
145
es — de l’absolutisme Althusius Bodin — de la
centralisation
monarchique puis révolutionnaire Rousseau jacobins, Cloots — des Ét
146
a redécouvert la réalité des régions, à force de
centralisation
devenue intolérable. 2. Région, État-nation, fédération 30 octo
147
in — sinon clairement dit — que l’équilibre entre
centralisation
fédéraliste et autonomie de base est désormais rompu au profit des «