1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 riorité de l’Europe réside dans sa « puissance de choix  », dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie grecque. D’
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 une tendance naturelle, qui élague, qui opère un choix parmi les éléments mêlés de la personnalité. Toute tendance qu’ils dé
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 t se maintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce choix faux mais bon, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi q
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
4 que de Dieu : la Foi ». Acculée à la rigueur d’un choix presque impossible, notre incertitude paraît sans remède. Mais, ici,
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce choix  : inconscience de ruminants ou neurasthénie, est-ce que vraiment vous
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
6 me dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de choix . Mais de ce problème central, qui déborde le plan esthétique, la litt
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
7 l’abord, et légitimeront aux yeux de beaucoup, le choix des œuvres exposées. Il ne s’agit nullement de présenter l’ensemble d
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
8 — reste un trait marquant de l’âme allemande : le choix de la salle, les sujets abordés, jusqu’à la stature du conférencier e
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
9 dine. Car il sait que la modestie est la vertu de choix du classicisme. Et qu’il est le dernier de nos classiques… Pareille m
10 de de demain va contraindre, contraint déjà à des choix dramatiques ? Certaines phrases pourraient le laisser supposer qu’il
10 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
11 uestion de s’en réjouir ni de le déplorer — où le choix n’est plus qu’entre marxisme et christianisme3, entre vérité collecti
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
12 tive. Un instrument et un style. Dès ce moment le choix de Goethe a trouvé sa forme. Il lui faudra maintenant le renouveler p
13 plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le choix le plus audacieux. Pascal choisit une fois pour toutes, dans une cris
14 rs qu’elle propose à Goethe, comme un exercice de choix , l’écriture, — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définit
15 Et qui voudrait les opposer ? Que signifierait un choix dont l’opération resterait purement imaginaire et vaniteuse pour nous
16 te que les temps nous pressent de toutes parts au choix , jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toute chose, m
12 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
17 e aux faits les plus patents, de prétendre que le choix est entre non-violence et violence. Le seul choix qui nous reste est
18 choix est entre non-violence et violence. Le seul choix qui nous reste est entre la violence bourgeoise et capitaliste, infin
13 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
19 l faut choisir. Or, notre temps ne comporte qu’un choix profond : christianisme ou marxisme. Ce qui revient à dire que seuls
20 une force offensive à cette personne humaine. Le choix des sujets abordés dans son livre montre un esprit averti des vraies
21 itue un progrès sur la libre-pensée : il force au choix , à la prise de conscience. La révolution menaçante viendra comme le
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
22 érences, leurs poids et leurs mesures, enfin leur choix  ? L’Occident cultive l’anarchie nominaliste la plus grave : il ne sai
23 la référence : ce Dieu terrible. Et sa vertu est choix . L’absolu d’un Nietzsche, c’est le Grand Midi ; et sa vertu : dépasse
24 ir dans une telle dialectique, il n’existe pas un choix préalable à la tentation, un choix universel et abstrait, mais des ch
25 ’existe pas un choix préalable à la tentation, un choix universel et abstrait, mais des choix qui s’imposent avec une violenc
26 ntation, un choix universel et abstrait, mais des choix qui s’imposent avec une violence égale à celle de la tentation — c’es
27 rale et ses canons donnés d’avance. L’audace du «  choix  » ou du « dépassement », cette vertu qui « supprime la morale », Jouh
15 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
28 en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnai
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
29 s rigueurs d’un cadre policier. Que vivre soit un choix , une partialité violente, voilà ce qu’on paraît trop facilement admet
30 l y va de la qualité même de notre vie ; de notre choix . Il y va de cette qualité même d’impossible qui seule rend la vie pos
31 nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de choix possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et le comm
32 personnalistes. Mais où sont les motifs de notre choix  ? J’en indiquerai trois. 1° — La seule révolution qui nous importe co
33 a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «  choix  » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
34 rendre quelles sont les suites nécessaires de son choix , quel est l’enjeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se lèven
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
35 ulture, pour tant de livres lus, relus, et de bon choix , accumulés depuis des siècles dans les maisons publiques et privées ;
19 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
36 plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
37 ’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
20 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
38 ordre véritable. La décision éthique est toujours choix  : on ne peut choisir pour un autre. Mais on peut, dans le cas, et pou
21 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
39 cé d’ailleurs, interrogation accidentelle. Par le choix même du prétexte de cet écrit, il nous donne ce genre de pensées pour
22 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
40 e bascule automatique. Le tragique s’évanouit, le choix s’élude, la personne se dissout dans un processus qui nie l’acte et l
41 nt faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon choix et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique, par exemp
42 » et comportant par suite le risque personnel, le choix et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui ne peut m
43 elle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste, parle de choix , de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’
44 n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ic
45 ole, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ; choix de l’élection, c’est-à-dire d’une possibilité qui n’est pas nôtre. Et
23 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
46 ffer, se brouiller » aux premières instances d’un choix radical et véritablement ordonnateur. Le chapitre le plus remarquable
24 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
47 l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte un choix permanent, donc un risque permanent, c’est-à-dire une tension permane
48 esure la valeur même de l’homme. Tension, risque, choix , acte, tels sont les éléments de toute liberté réelle et créatrice, p
25 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
49 té ne peut opérer dans notre existence que par un choix , une décision, — un acte d’obéissance à l’ordre « tombé du ciel ». Co
26 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
50 . Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
51 stin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
52 sir. La pensée redevient un danger, un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
53 tableau, c’est que je veux maintenant dégager le choix , la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
54 us de puissance que la personne. Dans l’homme, le choix peut avoir lieu, effectivement. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-di
55 e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
27 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
56 ou une cité. Il ne s’agit pas de défense. Mais de choix , d’affirmation, de création, de Révolution. Nous sommes sur la terre
28 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
57 éjà il fuit, déjà il s’offre. C’est le je qui est choix . L’acte qui me distingue du monde n’est pas autre que cet élan de ref
58 ce d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel choix , et qui le considère comme une alternative extérieure à son être, un
29 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
59 hée sans le savoir. Le marxisme est l’aveu de son choix . Mais Berdiaev parle en chrétien, et Ramuz ne veut encore parler qu’e
60 possible ? Et peut-il y croire ? Il a bien vu le choix , mais l’a-t-il fait ? Il veut un monde à la taille de l’homme. Il sai
30 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
61 n se plaît à poser gratuitement pour esquiver les choix concrets. La démarche assez sinueuse, le titre un peu rebutant de cet
31 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
62 e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix , et non pas dans la rue, dans l’opinion, ni dans l’Histoire. Le lieu
32 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
63 ’exigence de Kierkegaard se limite à l’instant du choix , où l’homme s’engage, « en vertu de l’absurde », sur le chemin que Di
64 ou bien même possible ? Est-ce un effet de notre choix , ou un moment de notre vie ? Ils en parlent bien aisément…) Certains
65 us les systèmes s’évanouissent devant l’effroi du choix concret, du risque, dans la passion du désespoir total. Maintenant, t
33 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
66 objet. Faire de la politique, ce n’est pas là mon choix , c’est une obligation à quoi je me résous en maudissant le désordre d
34 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
67 . Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
68 stin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
69 sir. La pensée redevient un danger, un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
70 tableau, c’est que je veux maintenant dégager le choix , la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
71 e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix , et non pas dans la rue, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution
72 e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
35 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
73 sons deux remarques : 1° La vocation n’est pas un choix de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation.
74 ix de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation. La vocation est un appel, une mission confiée à un ho
36 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
75 en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix , d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonna
37 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
76 plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système :il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle
77 c’est le choix et non pas le système :il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
38 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
78 mais surtout, l’illusion serait de croire que le choix est au terme de ce travail comparatif. Le choix, la décision, sur le
79 e choix est au terme de ce travail comparatif. Le choix , la décision, sur le plan éthique, est toujours à l’origine. Il est i
80 à l’heure ne soient plus valables. Là encore, le choix précède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les positions sont
39 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
81 ituelles, l’enjeu total, les raisons dernières du choix que chacun de nous va se trouver contraint de faire, d’ici peu. 54.
40 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
82 nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de choix possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un comm
83 personnalistes. Mais où sont les motifs de notre choix  ? J’en indiquerai trois : 1° La seule révolution qui nous importe con
84 a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «  choix  » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
41 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
85 sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au choix  — à toutes les personnes averties de l’état politique de l’Europe ; c
42 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
86 faits en vue de la révolution : elle est donc un choix perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-mê
43 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
87 émoin de la vérité » qui veut. Ce n’est pas là un choix de l’homme. Kierkegaard a choisi d’être « un poète et un penseur part
44 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
88 objet. Faire de la politique, ce n’est pas là mon choix , c’est une obligation à quoi je me résous en maudissant le désordre d
45 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
89 . Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
90 tin personnel, en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
91 sir. La pensée redevient un danger, un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
92 tableau, c’est que je veux maintenant dégager le choix , la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
93 e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix , et non pas dans la rue, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution
94 e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
46 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
95 sons deux remarques : 1. La vocation n’est pas un choix de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation.
96 ix de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation. La vocation est un appel, une mission confiée à un ho
47 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
97 en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix , d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonna
48 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
98 plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
99 ’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
49 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
100 mais surtout, l’illusion serait de croire que le choix est au terme de ce travail comparatif. Le choix, la décision, sur le
101 e choix est au terme de ce travail comparatif. Le choix , la décision, sur le plan éthique, est toujours à l’origine. Il est i
102 à l’heure ne soient plus valables. Là encore, le choix précède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les positions sont
50 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
103 ituelles, l’enjeu total, les raisons dernières du choix que chacun de nous va se trouver contraint de faire, d’ici peu. 47.
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
104 nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de choix possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un comm
105 personnalistes. Mais où sont les motifs de notre choix  ? J’en indiquerai trois : 1° La seule révolution qui nous importe con
106 a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «  choix  » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
52 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
107 sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au choix  — à toutes les personnes averties de l’état politique de l’Europe ; c
53 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
108 faits en vue de la révolution : elle est donc un choix perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-mê
54 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
109 et l’exercice de la personne. Car la personne est choix , et donc prise de parti : or c’est là ce que raille l’équipe des dile
110 aille l’équipe des dilettantes ; mais elle est un choix libre, et donc non conformiste : or c’est là ce que craint l’équipe d
55 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
111 nt de paraître au Mercure de France un volumineux choix de sentences, aphorismes et notes tirés des papiers posthumes de Niet
112 nietzschéens 66. Ce qui est certain, c’est qu’un choix tel que celui qu’on vient de nous donner, nous restitue la totalité d
56 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
113 traire à marquer quels peuvent être nos motifs de choix , et le lieu d’une action pratique. Il se peut que je me trompe. Il se
57 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
114 l et poétique plein de dangereuses merveilles. Le choix des textes me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulant
115 s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un choix de « mystiques », alors qu’il est le premier défenseur de l’expérienc
116 ute M. Chuzeville s’est-il laissé guider dans son choix par un préjugé historique que le « Mage du Nord » eût trop évidemment
117 avait à l’occasion dissimuler, comme l’indique le choix même d’un pseudonyme. L’alchimiste médecin Paracelse, en réalité, se
58 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
118 t concret d’un attachement qui ne comporte pas de choix délibéré. Par malheur, l’enseignement s’empare du fait patriotique et
59 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
119 et poétique plein de dangers et de merveilles. Le choix des textes me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulant
120 s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un choix de « mystiques », alors qu’il est le premier défenseur de l’expérienc
60 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
121 res, ni de nous-mêmes, mais tout au plus : de nos choix . Et qu’ainsi, c’est toujours « notre Nietzsche » que nous jugeons ou
61 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
122 ion même d’une « origine » soit autre chose qu’un choix délibéré, quand ce n’est pas un profond calembour. « Il est permis à
62 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
123 ment que vous voulez porter ici est de l’ordre du choix « subjectif ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les critères
124 ous, pour notre action ici et maintenant, pour le choix que nous avons à faire dans des circonstances différentes. Et qu’il a
63 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
125 quivoque du mot. Elle nous jette aussitôt dans un choix . Pour les uns, la pensée reste l’office tout impartial de la balance 
126 oint qu’aucune force existe sans mesures, mais le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on lire la mesure à l’aiguille,
127 nt du poids ? Les conséquences de l’un et l’autre choix sont infinies. Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus
128 dre, ils n’arriveront jamais au oui ou au non, au choix . Ils demanderont le délai nécessaire pour aller traduire la question
129 e aux systèmes en cours (ou à l’État) l’office du choix , faisant l’économie de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si
130 cette pensée systématique et cette délégation du choix n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature
131 rieuse jalousie contre les atteintes concrètes du choix dangereux, personnel, tout ce désordre confortable n’allait pas sans
132 t posait une question réelle, exigeait un acte de choix , c’est-à-dire instituait un risque. On décide ainsi couramment du « c
133 ituait un risque. On décide ainsi couramment du «  choix  » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse. Et c’est ains
64 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
134 jouir ni d’en gémir, mais de le bien voir — où le choix qui nous est imposé n’est plus qu’entre vérités statistiques, et véri
135 es. Car ce qui est proprement humain résulte d’un choix , d’un acte de foi à quoi ne peuvent conduire et obliger que les vrais
136 té d’atteindre un but, dont la nature commande le choix des mots, le rythme, les figures. Que chaque phrase implique ce but,
137 t point soustraite à cette loi, c’est-à-dire à ce choix souverain de Dieu. C’est en s’y soumettant qu’elle se révèle à l’homm
65 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
138 ement que vous prétendez porter est de l’ordre du choix « subjectif ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les critères
139 ous, pour notre action ici et maintenant, pour le choix que nous avons à faire dans des circonstances différentes. Et qu’il a
66 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
140 quivoque du mot. Elle nous jette aussitôt dans un choix . Pour les uns, la pensée reste l’office tout impartial de la balance 
141 oint qu’aucune force existe sans mesures, mais le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on lire la mesure à l’aiguille,
142 nt du poids ? Les conséquences de l’un et l’autre choix sont infinies. Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus
143 dre, ils n’arriveront jamais au oui ou au non, au choix . Ils demanderont le délai nécessaire pour aller traduire la question
144 e aux systèmes en cours (ou à l’État) l’office du choix , faisant l’économie de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si
145 cette pensée systématique et cette délégation du choix n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature
146 rieuse jalousie contre les atteintes concrètes du choix dangereux, personnel, tout ce désordre confortable n’allait pas sans
147 t posait une question réelle, exigeait un acte de choix , c’est-à-dire instituait un risque. On décide ainsi couramment du « c
148 ituait un risque. On décide ainsi couramment du «  choix  » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse. Et c’est ains
67 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
149 jouir ni d’en gémir, mais de le bien voir — où le choix qui nous est imposé n’est plus qu’entre vérités statistiques, et véri
150 es. Car ce qui est proprement humain résulte d’un choix , d’un acte de foi à quoi ne peuvent conduire et obliger que les vrais
151 té d’atteindre un but, dont la nature commande le choix des mots, le rythme, les figures. Que chaque phrase implique ce but,
152 t point soustraite à cette loi, c’est-à-dire à ce choix souverain de Dieu. C’est en s’y soumettant qu’elle se révèle à l’homm
68 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
153 t ! » Compris ? Ces deux phrases sont tirées d’un choix de propos de Lénine et de Staline Sur la littérature et l’art. Disons
154 était l’intention des éditeurs communistes de ce choix . Il en ressort à l’évidence que les « idées » de Lénine sur la littér
69 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
155 ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son choix la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
70 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
156 droite ou les borgnes de gauche… ⁂ On connaît le choix de l’Ordre nouveau : contre le fascisme et contre le stalinisme, pour
71 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
157 ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son choix la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
158 ctive, et qui nous aime. Il faut choisir. Mais le choix est-il libre ? On retombe au débat de Luther et d’Érasme. Le trop pru
72 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
159 s de notre enclos, nous avons trois promenades au choix  : elles conduisent toutes les trois, en dix minutes, à une plage. Not
73 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
160 question tout un monde qui ne nous laisse plus de choix qu’entre un rationalisme « libéral » et stérilisant, et un nationalis
74 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
161 ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son choix la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
75 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
162 blèmes individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant de divorces. En mê
163 echniques, et bientôt politiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
76 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
164 dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le choix de la mort. Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour attaque
165 alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le choix qui détermine une existence. 2. Critique du mariage Si je ne vo
166 me décision Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
167  : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
168 st alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
169 r le caractère de pari que revêt objectivement un choix de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
170 et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
171 espèce pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
77 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
172 orique. — On est tenté de s’imaginer que certains choix entre deux causes sont simples, parce que des hommes n’ont pas hésité
173 he : « Les temps nous pressent de toutes parts au choix , jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toutes choses,
174 ue les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas un choix de l’homme ou une école d’énergie, ni rien qui flatte le romantisme d
78 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
175 la vie ; l’immoralité de l’amour du prochain sans choix préalable ; l’internationalisme, etc. Toutefois l’orateur s’efforce
79 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
176 xler esquive non sans adresse la difficulté et le choix  : pour lui, le rêve est « tantôt un écho du supraterrestre dans le te
80 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
177 ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du choix  : « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
81 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
178 e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son choix d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
179 priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le choix nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
180 mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre choix et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
181 s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre choix . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
182 ’elle est une décision fondamentale de l’être, un choix en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
83 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
183 bien moins pour la réponse décisive que pour mon choix particulier. 163. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
84 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
184 blèmes individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
185 echniques, et bientôt politiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
85 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
186 dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le choix de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe 
187 alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le choix qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
188 me décision Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
189  : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
190 st alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
191 r le caractère de pari que revêt objectivement un choix de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
192 et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
193 espèce pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
86 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
194 er a composé une importante partition chorale. Le choix de ce sujet n’a pas été sans surprendre certains de mes amis protesta
87 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
195 nt ou jamais de se montrer très rigoureux dans le choix des moyens de défense. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à loue
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
196 ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du choix  : « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
197 e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son choix d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
198 de Cluny. Théologien, poète, et conscient de ses choix , Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprem
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
199 priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le choix nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
200 mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre choix et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
201 s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre choix . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
202 ’elle est une décision fondamentale de l’être, un choix en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
203 bien moins pour la réponse décisive, que pour mon choix particulier. 181. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
204 blèmes individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
205 echniques, et parfois politiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
93 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
206 dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le choix de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe 
207 et alors en parler n’est qu’un jeu — mais dans le choix qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
208 me décision Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
209  : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
210 st alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
211 r le caractère de pari que revêt objectivement un choix de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
212 et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
213 espèce pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
214 ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du choix  : « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
215 e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son choix d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
216 du cœur ». Théologien, poète, et conscient de ses choix , Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprem
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
217 priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le choix nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
218 mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre choix et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
219 s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre choix . » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
220 ’elle est une décision fondamentale de l’être, un choix en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
221 bien moins pour la réponse décisive, que pour mon choix particulier. 168. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
222 blèmes individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
223 echniques, et parfois politiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
224 dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le choix de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe
225 et alors en parler n’est qu’un jeu — mais dans le choix qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
226 me décision Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
227  : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
228 st alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
229 r le caractère de pari que revêt objectivement un choix de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
230 et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
231 espèce pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
232 nt ou jamais de se montrer très rigoureux dans le choix des moyens de défense. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à loue