1
riorité de l’Europe réside dans sa « puissance de
choix
», dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie grecque. D’
2
une tendance naturelle, qui élague, qui opère un
choix
parmi les éléments mêlés de la personnalité. Toute tendance qu’ils dé
3
t se maintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce
choix
faux mais bon, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi q
4
que de Dieu : la Foi ». Acculée à la rigueur d’un
choix
presque impossible, notre incertitude paraît sans remède. Mais, ici,
5
il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce
choix
: inconscience de ruminants ou neurasthénie, est-ce que vraiment vous
6
me dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de
choix
. Mais de ce problème central, qui déborde le plan esthétique, la litt
7
l’abord, et légitimeront aux yeux de beaucoup, le
choix
des œuvres exposées. Il ne s’agit nullement de présenter l’ensemble d
8
— reste un trait marquant de l’âme allemande : le
choix
de la salle, les sujets abordés, jusqu’à la stature du conférencier e
9
dine. Car il sait que la modestie est la vertu de
choix
du classicisme. Et qu’il est le dernier de nos classiques… Pareille m
10
de de demain va contraindre, contraint déjà à des
choix
dramatiques ? Certaines phrases pourraient le laisser supposer qu’il
11
uestion de s’en réjouir ni de le déplorer — où le
choix
n’est plus qu’entre marxisme et christianisme3, entre vérité collecti
12
tive. Un instrument et un style. Dès ce moment le
choix
de Goethe a trouvé sa forme. Il lui faudra maintenant le renouveler p
13
plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le
choix
le plus audacieux. Pascal choisit une fois pour toutes, dans une cris
14
rs qu’elle propose à Goethe, comme un exercice de
choix
, l’écriture, — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définit
15
Et qui voudrait les opposer ? Que signifierait un
choix
dont l’opération resterait purement imaginaire et vaniteuse pour nous
16
te que les temps nous pressent de toutes parts au
choix
, jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toute chose, m
17
e aux faits les plus patents, de prétendre que le
choix
est entre non-violence et violence. Le seul choix qui nous reste est
18
choix est entre non-violence et violence. Le seul
choix
qui nous reste est entre la violence bourgeoise et capitaliste, infin
19
l faut choisir. Or, notre temps ne comporte qu’un
choix
profond : christianisme ou marxisme. Ce qui revient à dire que seuls
20
une force offensive à cette personne humaine. Le
choix
des sujets abordés dans son livre montre un esprit averti des vraies
21
itue un progrès sur la libre-pensée : il force au
choix
, à la prise de conscience. La révolution menaçante viendra comme le
22
érences, leurs poids et leurs mesures, enfin leur
choix
? L’Occident cultive l’anarchie nominaliste la plus grave : il ne sai
23
la référence : ce Dieu terrible. Et sa vertu est
choix
. L’absolu d’un Nietzsche, c’est le Grand Midi ; et sa vertu : dépasse
24
ir dans une telle dialectique, il n’existe pas un
choix
préalable à la tentation, un choix universel et abstrait, mais des ch
25
’existe pas un choix préalable à la tentation, un
choix
universel et abstrait, mais des choix qui s’imposent avec une violenc
26
ntation, un choix universel et abstrait, mais des
choix
qui s’imposent avec une violence égale à celle de la tentation — c’es
27
rale et ses canons donnés d’avance. L’audace du «
choix
» ou du « dépassement », cette vertu qui « supprime la morale », Jouh
28
en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un
choix
d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnai
29
s rigueurs d’un cadre policier. Que vivre soit un
choix
, une partialité violente, voilà ce qu’on paraît trop facilement admet
30
l y va de la qualité même de notre vie ; de notre
choix
. Il y va de cette qualité même d’impossible qui seule rend la vie pos
31
nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de
choix
possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et le comm
32
personnalistes. Mais où sont les motifs de notre
choix
? J’en indiquerai trois. 1° — La seule révolution qui nous importe co
33
a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «
choix
» qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
34
rendre quelles sont les suites nécessaires de son
choix
, quel est l’enjeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se lèven
35
ulture, pour tant de livres lus, relus, et de bon
choix
, accumulés depuis des siècles dans les maisons publiques et privées ;
36
plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le
choix
et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
37
’est le choix et non pas le système : il n’est de
choix
que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
38
ordre véritable. La décision éthique est toujours
choix
: on ne peut choisir pour un autre. Mais on peut, dans le cas, et pou
39
cé d’ailleurs, interrogation accidentelle. Par le
choix
même du prétexte de cet écrit, il nous donne ce genre de pensées pour
40
e bascule automatique. Le tragique s’évanouit, le
choix
s’élude, la personne se dissout dans un processus qui nie l’acte et l
41
nt faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon
choix
et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique, par exemp
42
» et comportant par suite le risque personnel, le
choix
et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui ne peut m
43
elle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste, parle de
choix
, de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’
44
n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le
choix
dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ic
45
ole, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ;
choix
de l’élection, c’est-à-dire d’une possibilité qui n’est pas nôtre. Et
46
ffer, se brouiller » aux premières instances d’un
choix
radical et véritablement ordonnateur. Le chapitre le plus remarquable
47
l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte un
choix
permanent, donc un risque permanent, c’est-à-dire une tension permane
48
esure la valeur même de l’homme. Tension, risque,
choix
, acte, tels sont les éléments de toute liberté réelle et créatrice, p
49
té ne peut opérer dans notre existence que par un
choix
, une décision, — un acte d’obéissance à l’ordre « tombé du ciel ». Co
50
. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les
choix
nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
51
stin personnel en face des destins collectifs, le
choix
nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
52
sir. La pensée redevient un danger, un facteur de
choix
et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
53
tableau, c’est que je veux maintenant dégager le
choix
, la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
54
us de puissance que la personne. Dans l’homme, le
choix
peut avoir lieu, effectivement. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-di
55
e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un
choix
subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
56
ou une cité. Il ne s’agit pas de défense. Mais de
choix
, d’affirmation, de création, de Révolution. Nous sommes sur la terre
57
éjà il fuit, déjà il s’offre. C’est le je qui est
choix
. L’acte qui me distingue du monde n’est pas autre que cet élan de ref
58
ce d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel
choix
, et qui le considère comme une alternative extérieure à son être, un
59
hée sans le savoir. Le marxisme est l’aveu de son
choix
. Mais Berdiaev parle en chrétien, et Ramuz ne veut encore parler qu’e
60
possible ? Et peut-il y croire ? Il a bien vu le
choix
, mais l’a-t-il fait ? Il veut un monde à la taille de l’homme. Il sai
61
n se plaît à poser gratuitement pour esquiver les
choix
concrets. La démarche assez sinueuse, le titre un peu rebutant de cet
62
e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le
choix
, et non pas dans la rue, dans l’opinion, ni dans l’Histoire. Le lieu
63
’exigence de Kierkegaard se limite à l’instant du
choix
, où l’homme s’engage, « en vertu de l’absurde », sur le chemin que Di
64
ou bien même possible ? Est-ce un effet de notre
choix
, ou un moment de notre vie ? Ils en parlent bien aisément…) Certains
65
us les systèmes s’évanouissent devant l’effroi du
choix
concret, du risque, dans la passion du désespoir total. Maintenant, t
66
objet. Faire de la politique, ce n’est pas là mon
choix
, c’est une obligation à quoi je me résous en maudissant le désordre d
67
. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les
choix
nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
68
stin personnel en face des destins collectifs, le
choix
nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
69
sir. La pensée redevient un danger, un facteur de
choix
et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
70
tableau, c’est que je veux maintenant dégager le
choix
, la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
71
e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le
choix
, et non pas dans la rue, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution
72
e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un
choix
subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
73
sons deux remarques : 1° La vocation n’est pas un
choix
de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation.
74
ix de l’homme. On ne saurait proprement parler du
choix
d’une vocation. La vocation est un appel, une mission confiée à un ho
75
en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un
choix
, d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonna
76
plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le
choix
et non pas le système :il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle
77
c’est le choix et non pas le système :il n’est de
choix
que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
78
mais surtout, l’illusion serait de croire que le
choix
est au terme de ce travail comparatif. Le choix, la décision, sur le
79
e choix est au terme de ce travail comparatif. Le
choix
, la décision, sur le plan éthique, est toujours à l’origine. Il est i
80
à l’heure ne soient plus valables. Là encore, le
choix
précède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les positions sont
81
ituelles, l’enjeu total, les raisons dernières du
choix
que chacun de nous va se trouver contraint de faire, d’ici peu. 54.
82
nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de
choix
possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un comm
83
personnalistes. Mais où sont les motifs de notre
choix
? J’en indiquerai trois : 1° La seule révolution qui nous importe con
84
a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «
choix
» qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
85
sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au
choix
— à toutes les personnes averties de l’état politique de l’Europe ; c
86
faits en vue de la révolution : elle est donc un
choix
perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-mê
87
émoin de la vérité » qui veut. Ce n’est pas là un
choix
de l’homme. Kierkegaard a choisi d’être « un poète et un penseur part
88
objet. Faire de la politique, ce n’est pas là mon
choix
, c’est une obligation à quoi je me résous en maudissant le désordre d
89
. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les
choix
nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non.
90
tin personnel, en face des destins collectifs, le
choix
nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le répète, est la chance
91
sir. La pensée redevient un danger, un facteur de
choix
et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas :
92
tableau, c’est que je veux maintenant dégager le
choix
, la décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècl
93
e la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le
choix
, et non pas dans la rue, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution
94
e ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un
choix
subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne
95
sons deux remarques : 1. La vocation n’est pas un
choix
de l’homme. On ne saurait proprement parler du choix d’une vocation.
96
ix de l’homme. On ne saurait proprement parler du
choix
d’une vocation. La vocation est un appel, une mission confiée à un ho
97
en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un
choix
, d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonna
98
plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le
choix
et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
99
’est le choix et non pas le système : il n’est de
choix
que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
100
mais surtout, l’illusion serait de croire que le
choix
est au terme de ce travail comparatif. Le choix, la décision, sur le
101
e choix est au terme de ce travail comparatif. Le
choix
, la décision, sur le plan éthique, est toujours à l’origine. Il est i
102
à l’heure ne soient plus valables. Là encore, le
choix
précède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les positions sont
103
ituelles, l’enjeu total, les raisons dernières du
choix
que chacun de nous va se trouver contraint de faire, d’ici peu. 47.
104
nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de
choix
possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un comm
105
personnalistes. Mais où sont les motifs de notre
choix
? J’en indiquerai trois : 1° La seule révolution qui nous importe con
106
a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «
choix
» qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
107
sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au
choix
— à toutes les personnes averties de l’état politique de l’Europe ; c
108
faits en vue de la révolution : elle est donc un
choix
perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-mê
109
et l’exercice de la personne. Car la personne est
choix
, et donc prise de parti : or c’est là ce que raille l’équipe des dile
110
aille l’équipe des dilettantes ; mais elle est un
choix
libre, et donc non conformiste : or c’est là ce que craint l’équipe d
111
nt de paraître au Mercure de France un volumineux
choix
de sentences, aphorismes et notes tirés des papiers posthumes de Niet
112
nietzschéens 66. Ce qui est certain, c’est qu’un
choix
tel que celui qu’on vient de nous donner, nous restitue la totalité d
113
traire à marquer quels peuvent être nos motifs de
choix
, et le lieu d’une action pratique. Il se peut que je me trompe. Il se
114
l et poétique plein de dangereuses merveilles. Le
choix
des textes me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulant
115
s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un
choix
de « mystiques », alors qu’il est le premier défenseur de l’expérienc
116
ute M. Chuzeville s’est-il laissé guider dans son
choix
par un préjugé historique que le « Mage du Nord » eût trop évidemment
117
avait à l’occasion dissimuler, comme l’indique le
choix
même d’un pseudonyme. L’alchimiste médecin Paracelse, en réalité, se
118
t concret d’un attachement qui ne comporte pas de
choix
délibéré. Par malheur, l’enseignement s’empare du fait patriotique et
119
et poétique plein de dangers et de merveilles. Le
choix
des textes me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulant
120
s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un
choix
de « mystiques », alors qu’il est le premier défenseur de l’expérienc
121
res, ni de nous-mêmes, mais tout au plus : de nos
choix
. Et qu’ainsi, c’est toujours « notre Nietzsche » que nous jugeons ou
122
ion même d’une « origine » soit autre chose qu’un
choix
délibéré, quand ce n’est pas un profond calembour. « Il est permis à
123
ment que vous voulez porter ici est de l’ordre du
choix
« subjectif ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les critères
124
ous, pour notre action ici et maintenant, pour le
choix
que nous avons à faire dans des circonstances différentes. Et qu’il a
125
quivoque du mot. Elle nous jette aussitôt dans un
choix
. Pour les uns, la pensée reste l’office tout impartial de la balance
126
oint qu’aucune force existe sans mesures, mais le
choix
qui importe est celui-ci : préfère-t-on lire la mesure à l’aiguille,
127
nt du poids ? Les conséquences de l’un et l’autre
choix
sont infinies. Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus
128
dre, ils n’arriveront jamais au oui ou au non, au
choix
. Ils demanderont le délai nécessaire pour aller traduire la question
129
e aux systèmes en cours (ou à l’État) l’office du
choix
, faisant l’économie de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si
130
cette pensée systématique et cette délégation du
choix
n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature
131
rieuse jalousie contre les atteintes concrètes du
choix
dangereux, personnel, tout ce désordre confortable n’allait pas sans
132
t posait une question réelle, exigeait un acte de
choix
, c’est-à-dire instituait un risque. On décide ainsi couramment du « c
133
ituait un risque. On décide ainsi couramment du «
choix
» d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse. Et c’est ains
134
jouir ni d’en gémir, mais de le bien voir — où le
choix
qui nous est imposé n’est plus qu’entre vérités statistiques, et véri
135
es. Car ce qui est proprement humain résulte d’un
choix
, d’un acte de foi à quoi ne peuvent conduire et obliger que les vrais
136
té d’atteindre un but, dont la nature commande le
choix
des mots, le rythme, les figures. Que chaque phrase implique ce but,
137
t point soustraite à cette loi, c’est-à-dire à ce
choix
souverain de Dieu. C’est en s’y soumettant qu’elle se révèle à l’homm
138
ement que vous prétendez porter est de l’ordre du
choix
« subjectif ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les critères
139
ous, pour notre action ici et maintenant, pour le
choix
que nous avons à faire dans des circonstances différentes. Et qu’il a
140
quivoque du mot. Elle nous jette aussitôt dans un
choix
. Pour les uns, la pensée reste l’office tout impartial de la balance
141
oint qu’aucune force existe sans mesures, mais le
choix
qui importe est celui-ci : préfère-t-on lire la mesure à l’aiguille,
142
nt du poids ? Les conséquences de l’un et l’autre
choix
sont infinies. Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus
143
dre, ils n’arriveront jamais au oui ou au non, au
choix
. Ils demanderont le délai nécessaire pour aller traduire la question
144
e aux systèmes en cours (ou à l’État) l’office du
choix
, faisant l’économie de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si
145
cette pensée systématique et cette délégation du
choix
n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature
146
rieuse jalousie contre les atteintes concrètes du
choix
dangereux, personnel, tout ce désordre confortable n’allait pas sans
147
t posait une question réelle, exigeait un acte de
choix
, c’est-à-dire instituait un risque. On décide ainsi couramment du « c
148
ituait un risque. On décide ainsi couramment du «
choix
» d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse. Et c’est ains
149
jouir ni d’en gémir, mais de le bien voir — où le
choix
qui nous est imposé n’est plus qu’entre vérités statistiques, et véri
150
es. Car ce qui est proprement humain résulte d’un
choix
, d’un acte de foi à quoi ne peuvent conduire et obliger que les vrais
151
té d’atteindre un but, dont la nature commande le
choix
des mots, le rythme, les figures. Que chaque phrase implique ce but,
152
t point soustraite à cette loi, c’est-à-dire à ce
choix
souverain de Dieu. C’est en s’y soumettant qu’elle se révèle à l’homm
153
t ! » Compris ? Ces deux phrases sont tirées d’un
choix
de propos de Lénine et de Staline Sur la littérature et l’art. Disons
154
était l’intention des éditeurs communistes de ce
choix
. Il en ressort à l’évidence que les « idées » de Lénine sur la littér
155
ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son
choix
la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
156
droite ou les borgnes de gauche… ⁂ On connaît le
choix
de l’Ordre nouveau : contre le fascisme et contre le stalinisme, pour
157
ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son
choix
la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
158
ctive, et qui nous aime. Il faut choisir. Mais le
choix
est-il libre ? On retombe au débat de Luther et d’Érasme. Le trop pru
159
s de notre enclos, nous avons trois promenades au
choix
: elles conduisent toutes les trois, en dix minutes, à une plage. Not
160
question tout un monde qui ne nous laisse plus de
choix
qu’entre un rationalisme « libéral » et stérilisant, et un nationalis
161
ns ironie toutefois, et sait enfin conférer à son
choix
la force et la simplicité d’une constatation évidente. D’un point de
162
blèmes individuels déterminent de plus en plus le
choix
réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant de divorces. En mê
163
echniques, et bientôt politiques, en sorte que le
choix
d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
164
dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le
choix
de la mort. Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour attaque
165
alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le
choix
qui détermine une existence. 2. Critique du mariage Si je ne vo
166
me décision Si l’on songe à ce que signifie le
choix
d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
167
: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le
choix
d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
168
st alors du côté du bon sens, qui recommandait un
choix
mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
169
r le caractère de pari que revêt objectivement un
choix
de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
170
et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur
choix
relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
171
espèce pour se rapprocher de la personne, plus le
choix
devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
172
orique. — On est tenté de s’imaginer que certains
choix
entre deux causes sont simples, parce que des hommes n’ont pas hésité
173
he : « Les temps nous pressent de toutes parts au
choix
, jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toutes choses,
174
ue les hommes l’interdisent, ah ! ce n’est pas un
choix
de l’homme ou une école d’énergie, ni rien qui flatte le romantisme d
175
la vie ; l’immoralité de l’amour du prochain sans
choix
préalable ; l’internationalisme, etc. Toutefois l’orateur s’efforce
176
xler esquive non sans adresse la difficulté et le
choix
: pour lui, le rêve est « tantôt un écho du supraterrestre dans le te
177
ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du
choix
: « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
178
e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son
choix
d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
179
priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le
choix
nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
180
mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre
choix
et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
181
s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre
choix
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
182
’elle est une décision fondamentale de l’être, un
choix
en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
183
bien moins pour la réponse décisive que pour mon
choix
particulier. 163. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
184
blèmes individuels déterminent de plus en plus le
choix
réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
185
echniques, et bientôt politiques, en sorte que le
choix
d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
186
dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le
choix
de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe
187
alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le
choix
qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
188
me décision Si l’on songe à ce que signifie le
choix
d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
189
: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le
choix
d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
190
st alors du côté du bon sens, qui recommandait un
choix
mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
191
r le caractère de pari que revêt objectivement un
choix
de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
192
et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur
choix
relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
193
espèce pour se rapprocher de la personne, plus le
choix
devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
194
er a composé une importante partition chorale. Le
choix
de ce sujet n’a pas été sans surprendre certains de mes amis protesta
195
nt ou jamais de se montrer très rigoureux dans le
choix
des moyens de défense. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à loue
196
ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du
choix
: « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
197
e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son
choix
d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
198
de Cluny. Théologien, poète, et conscient de ses
choix
, Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprem
199
priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le
choix
nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
200
mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre
choix
et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
201
s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre
choix
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
202
’elle est une décision fondamentale de l’être, un
choix
en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
203
bien moins pour la réponse décisive, que pour mon
choix
particulier. 181. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
204
blèmes individuels déterminent de plus en plus le
choix
réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
205
echniques, et parfois politiques, en sorte que le
choix
d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
206
dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le
choix
de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe
207
et alors en parler n’est qu’un jeu — mais dans le
choix
qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
208
me décision Si l’on songe à ce que signifie le
choix
d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
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: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le
choix
d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
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st alors du côté du bon sens, qui recommandait un
choix
mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
211
r le caractère de pari que revêt objectivement un
choix
de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
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et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur
choix
relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
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espèce pour se rapprocher de la personne, plus le
choix
devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
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ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du
choix
: « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! » Je ne sui
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e l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son
choix
d’amour. L’expérience quotidienne montre bien que « l’amour embellit
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du cœur ». Théologien, poète, et conscient de ses
choix
, Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprem
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priment l’opposition du Jour et de la Nuit, et le
choix
nécessaire qu’il n’a pas encore fait. (Il ne le fera sans doute jamai
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mour, alors qu’elle est toujours l’effet de notre
choix
et de son mérite, que quand elle vient d’une inclination aveugle, et
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s fortement peut-être, parce qu’elle est de notre
choix
. » Toutefois, l’on n’a pas tort d’attribuer au « climat » de la Nouve
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’elle est une décision fondamentale de l’être, un
choix
en faveur de la Mort, si la Mort est la libération d’un monde ordonné
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bien moins pour la réponse décisive, que pour mon
choix
particulier. 168. On en aura un aperçu en lisant les ouvrages de F
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blèmes individuels déterminent de plus en plus le
choix
réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant des divorces. En m
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echniques, et parfois politiques, en sorte que le
choix
d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
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dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le
choix
de la mort contre la vie. Et comment échapper au démon que l’on fixe
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et alors en parler n’est qu’un jeu — mais dans le
choix
qui détermine une existence. 2.Critique du mariage Si je ne voi
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me décision Si l’on songe à ce que signifie le
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d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
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: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le
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d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
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st alors du côté du bon sens, qui recommandait un
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mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
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r le caractère de pari que revêt objectivement un
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de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
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et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur
choix
relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
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espèce pour se rapprocher de la personne, plus le
choix
devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond
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nt ou jamais de se montrer très rigoureux dans le
choix
des moyens de défense. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à loue