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us dirai qu’il y a 30 parties musicales et que le
choral
du premier acte par exemple forme le centre même de l’action. Ensuite
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it. Quelques mesures d’orchestre, puis reprise du
Choral
i. Silence.) 2. Ce drame a été écrit pour une scène sans décors ni
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rlude. (Comme entre les Actes I et II. Reprise du
Choral
ii.) 4. Librement inspiré d’une Chanson d’aube du troubadour Folqu
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ues.) Or, il se trouve, par chance, que l’élément
choral
est de beaucoup le plus facile à recruter en Suisse, et particulièrem
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volonté commune… « Viens, douce mort ! » ce beau
choral
de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois disti
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ut, régnant seul et purifié, l’on put entendre le
choral
d’une angélique hilarité. Et nous sûmes que cet homme était très gran
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volonté commune… « Viens, douce mort ! » ce beau
choral
de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois disti
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volonté commune… « Viens, douce mort ! » ce beau
choral
de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois disti
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tiendra lieu d’orchestre, et de la rhétorique du
choral
luthérien. Jamais je n’avais écrit en telle aisance, bien que ce fût
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ut, régnant seul et purifié, l’on put entendre le
choral
d’une angélique hilarité. Et nous sûmes que cet homme était très gran
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op affirmées. Réduit à la prière et au sermon (le
choral
luthérien et le psaume calviniste n’y sont entrés que plus tard), ce
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ouce mort », chante l’âme apaisée au plus pur des
chorals
de Bach. La « Joie suprême » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier
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ouce mort », chante l’âme apaisée au plus pur des
chorals
de Bach. La « Joie suprême » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier
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mprovisée, dite « d’abondance », et au sermon (le
choral
luthérien et le psaume calviniste n’y sont entrés que plus tard), ce
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s. (Je n’en sais rien.) Il me prête un recueil de
chorals
luthériens, pour que j’en étudie la prosodie précise. Il veut savoir
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ppelle au téléphone : « Au 5e vers, 3e reprise du
Choral
I, il manque une syllabe. — Ah ? Que faire ? — Eh bien ! nous mettron
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mal, je ne distingue pas grand-chose, une fin de
choral
pourtant, dont il me dit en riant : « Vous voyez, ça finit comme à l’
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e biblique — « notre Antiquité », dit Ramuz —, du
choral
luthérien et de la polyphonie du xvie siècle calviniste, ce serait a