1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
1 Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale , vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a l
2 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
2 rés pour Zurich. (Compagnie de la Saint-Grégoire, Chorales du Locle et de La Chaux-de-Fonds, dirigées par M. Charles Taller, Fan
3 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 rthur Honegger a composé une importante partition chorale . Le choix de ce sujet n’a pas été sans surprendre certains de mes ami
4 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
4 ême. J’utiliserai donc, pour mon drame, une masse chorale qui représentera le Monde, et qui agira sur le degré inférieur de la
5 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
5 Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale , vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a l
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
6 Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale , vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a l
7 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
7 isques, tous ceux qui jouent d’un instrument, les chorales populaires, les Jeunesses musicales, Bach et Mozart et Tchaïkovski si
8 1962, Articles divers (1957-1962). Le règne de Victoria (1962)
8 Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale , vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a l