1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 nt le programme. Un peu d’histoire (erratum de la chronique de Mossoul). Belles-Lettres joua l’Inspecteur de Gogol à l’époque où
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 emps.) » Je vous fais grâce, poursuivit-il, de la chronique de ma vie de rat d’hôtel et de sleepings ; encore que… Bref, depuis q
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 aire rentrer la partie la plus incongrue de cette chronique . Enfin, un Étranger raconte l’histoire suivante qui est une des plus
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
4 e terme qui sans doute reviendra souvent dans les chroniques de Foi et Vie , « résume commodément cette volonté d’émancipation de
5 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
5 traduit en s’accusant réciproquement de mensonge chronique . Et de fait, la brutalité paraît fausse, parce qu’elle impose un ordr
6 ’actualisation, il peut tourner alors en un refus chronique . Et c’est en quoi le monde latin, monde de la spontanéité, est à son
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
7 traduit en s’accusant réciproquement de mensonge chronique . Et de fait, la brutalité paraît fausse, parce qu’elle impose un ordr
8 ’actualisation, il peut tourner alors en un refus chronique . Et c’est en quoi le monde latin, monde de la spontanéité, est à son
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
9 avons eu d’excellents historiens : l’auteur de la Chronique des Chanoines (apocryphe), Chambrier pour l’ancien régime, Arthur Pia
8 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
10 le forki japonais mériterait à lui seul toute une chronique de cette revue. Écrivain fécond9, évangéliste, économiste, philosophe
9 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
11 mais l’accompagne en secret tout au long de cette chronique . On voit naître et grandir un fils, puis les enfants d’une troisième
12 re. Je ne vous conterai pas « l’histoire ». Cette chronique d’une vie de femme n’est pas de celles qui se résument. Il y a là vin
10 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
13 utiles à tel endroit où Dieu leur dit d’aller. La chronique des rencontres miraculeuses qu’ils ont ainsi vécues remplirait des vo
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
14 mais l’accompagne en secret tout au long de cette chronique . On voit naître et grandir un fils, puis les enfants d’une troisième
12 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
15 mandé de préciser, à propos d’une de mes récentes chroniques , ce qu’il fallait entendre par le protestantisme de Dostoïevski. Je n
13 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
16 st pour beaucoup dans l’intérêt que je prends aux chroniques minutieuses de sa vie33. A-t-on remarqué l’extrême rareté des documen
14 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
17 oire devient un ensemble de lois, et non plus une chronique des actes. On tend à ne garder de ceux-ci que ce qui peut s’organiser
15 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
18 ductions françaises de Kierkegaard.   P.-S. Cette chronique était déjà imprimée, quand j’ai lu dans les Cahiers du Sud une étude
16 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
19 mériterait un examen critique dont le cadre de ma chronique ne saurait supporter même l’esquisse. Mais le sous-titre de cette œuv
17 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
20 n acte précis, ici et maintenant ? Cette démesure chronique déprime et énerve à la fois presque toute la pensée moderne. L’Occide
21 ifient des civilisations dont nous connaissons la chronique , il est frappant de voir qu’ils n’ont imaginé qu’un assez petit nombr
18 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
22 n acte précis, ici et maintenant ? Cette démesure chronique déprime et énerve à la fois presque toute la pensée moderne. L’Occide
23 ifient des civilisations dont nous connaissons la chronique , il est frappant de voir qu’ils n’ont imaginé qu’un assez petit nombr
19 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
24 me fournirait le plus savoureux argument. Dans sa chronique littéraire de Marianne, il reprochait tout récemment à l’un de nos bo
20 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
25 tout l’après-midi dessus. — Cela commence par une chronique historique dont l’essentiel est naturellement l’énumération des débar
21 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
26 u « plein de talent ». (La discontinuité de notre chronique des Lettres ne traduit d’ailleurs pas nécessairement des intermittenc
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
27 é tout l’après-midi dessus. Cela commence par une chronique historique, dont l’essentiel est naturellement l’énumération des déba
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
28 out autrement que nous l’imaginions. L’irritation chronique que je ressens au contact des « gens » qui m’entourent, c’est une obs
24 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
29 histoire de la pensée n’est-elle peut-être que la chronique de ses retraites éloquentes. Très peu vont jusqu’au bout de leur empo
25 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
30 que le donne l’auteur, paraît extrait des seules chroniques de M. Bailby. À tel point qu’on omet d’y faire figurer le retrait de
26 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
31 que luthérien Sébastien Franck dit à la fin de sa chronique  : « Qu’il n’ait rien mangé, je ne puis le croire : les Suisses eux-mê
27 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
32 ar la religion, en l’attaquant, l’exaspérait. Les chroniques , les sermons et les satires de ce siècle nous révèlent qu’il connut u
28 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
33 elle mesure il a voulu que ses romans fussent des chroniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou
34 un mythe manichéen venu de l’Iran ; Otto Rahn une chronique déguisée des cathares. (Parzival, fils d’Herzeloïde, femme du Castis,
35 aisie et la doctrine, l’ornement romanesque et la chronique réelle ? Si ce fut le cas, il n’y réussit que trop bien, puisque Robe
29 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
36 Il avait étudié pour son Histoire de Bretagne la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina christiana, il s’
30 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
37 lisée, ou du moins ses prodromes tels qu’onanisme chronique et homosexualité, tel fut le résultat statistique de quatre années pa
31 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
38 apparemment incohérentes. La guerre était un état chronique d’escarmouches isolées s’étendant sur un vaste domaine ; la diplomati
32 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
39 Nicolas. Je la diviserai en trois rubriques. 1. Chroniques . — La première en date est celle de Heinrich Glarean, écrite en latin
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
40 elle mesure il a voulu que ses romans fussent des chroniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou
41 un mythe manichéen venu de l’Iran ; Otto Rahn une chronique déguisée des cathares. (Parzival, fils d’Herzeloïde, femme du Castis,
42 aisie et la doctrine, l’ornement romanesque et la chronique réelle ? Si ce fut le cas, il n’y réussit que trop bien, puisque Robe
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
43 Il avait étudié pour son Histoire de Bretagne la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina christiana, il s’
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
44 lisée, ou du moins ses prodromes tels qu’onanisme chronique et homosexualité, tel fut le résultat statistique de quatre années pa
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
45 elle mesure il a voulu que ses romans fussent des chroniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou
46 un mythe manichéen venu de l’Iran ; Otto Rahn une chronique déguisée des cathares. (Parzival, fils d’Herzeloïde, femme du Castis,
47 aisie et la doctrine, l’ornement romanesque et la chronique réelle ? Si ce fut le cas, il n’y réussit que trop bien, puisque Robe
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
48 Il avait étudié pour son Histoire de Bretagne la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina christiana, il s’
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
49 lisée, ou du moins ses prodromes tels qu’onanisme chronique et homosexualité, tel fut le résultat statistique de quatre années pa
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
50 apparemment incohérentes. La guerre était un état chronique d’escarmouches isolées s’étendant sur un vaste domaine ; la diplomati
51 sivement sur le fait qu’un document contemporain ( Chronique de Morosini, 1429) la déclare expressément béguine. » Est-il besoin d
40 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
52 sorte d’unité qui fait nécessairement défaut à la chronique intermittente d’une existence. Malgré les pages plus élaborées que Gi
41 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
53 ur vue, que les effets d’un trouble temporaire ou chronique dans le régime des sécrétions internes. Ils ont lu cela quelque part.
42 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
54 ur vue, que les effets d’un trouble temporaire ou chronique dans le régime des sécrétions internes. Ils ont lu cela quelque part.
43 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
55 ur vue, que les effets d’un trouble temporaire ou chronique dans le régime des sécrétions internes. Ils ont lu cela quelque part.
44 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
56 l’histoire de la pensée n’est-elle souvent que la chronique de ses retraites éloquentes. Très peu vont jusqu’au bout de leur empo
45 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
57 sorte d’unité qui fait nécessairement défaut à la chronique intermittente d’une existence. Malgré les pages plus élaborées que Gi
46 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
58 c, comme sont mortes la tragédie classique et les chroniques en vers. Il mourra pour avoir épuisé ses possibilités formelles, et p
47 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
59 n’ai guère parlé que de ces trois sujets dans mes chroniques précédentes.) Ce régime, c’est la démocratie, que plus personne qui c
48 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
60 de le livrer, alimente encore quotidiennement la chronique , là-bas. Avez-vous été séduit par l’Amérique ? Je l’aime énormément ;
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
61 distance égale, aussi grande que possible, de la chronique impersonnelle et de la confidence non sans vue de publier. Les exempl
62 is fait pour écrire des journaux de cette espèce, chronique des moments de présence à moi-même et au monde conjointement. ⁂ Ni l’
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
63 traduit en s’accusant réciproquement de mensonge chronique . Et de fait, la brutalité paraît fausse, parce qu’elle impose un ordr
64 ’actualisation, il peut tourner alors en un refus chronique . Et c’est en quoi le monde latin, monde de la spontanéité, est à son
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
65 é tout l’après-midi dessus. Cela commence par une chronique historique, dont l’essentiel est naturellement l’énumération des déba
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
66 out autrement que nous l’imaginions. L’irritation chronique que je ressens au contact des « gens » qui m’entourent, c’est une obs
53 1948, Suite neuchâteloise. VI
67 avons eu d’excellents historiens : l’auteur de la Chronique des Chanoines (apocryphe), Chambrier pour l’ancien régime, Arthur Pia
54 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
68 est l’Europe. De lundi en lundi, nous suivons ses chroniques au cours desquelles il nous démontre de manière éclatante qu’une ère
55 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
69 précise une note finale, ce texte est issu « des chroniques lues à Radio-Genève les 30 octobre et 6 novembre 1950, dans le cadre
56 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
70 r le problème suisse, dans le cadre général de ma chronique intitulée « Demain l’Europe ». Je n’ai nullement nié ou méconnu l’int
57 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
71 l’Amérique à prendre en main le sort de débiteurs chroniques . Déjà, dans plusieurs de nos pays, nationalistes et communistes s’uni
58 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
72 l’Amérique à prendre en main le sort de débiteurs chroniques . Déjà, dans plusieurs de nos pays, nationalistes et communistes s’uni
59 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
73 écution de l’opinion publique. Mais revenons à la chronique des faits. Du xiiie au xve siècle, l’histoire de la Suisse se confo
60 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
74 t monotones, la saleté de la rue, le détraquement chronique des services publics, la désuétude et le laisser-aller. Cette impress
61 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
75 l’enseignement, qu’il est besoin. Sans elle, nos chroniques régionales nous seront à jamais inintelligibles, et nourriront les pl
62 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
76 parler ! Les contempteurs de l’Occident, douteurs chroniques ou neutralistes de l’esprit ne peuvent rien apprendre aux hommes de l
63 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
77 ne Les mémoires d’un Grégoire de Nazianze, les chroniques de l’époque et les textes votés nous permettent de nous faire une ima
64 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
78 ion en ralliant les pays de l’Est. 64. Voir ma chronique de mars et d’avril. ab. « Sur la neutralité européenne (fin) (Le po
65 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
79 2) dans l’œuvre d’un clerc espagnol continuant la chronique d’Isidore de Beja. L’auteur y qualifie d’Europenses les vainqueurs de
66 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
80 national, comme le suggère le titre même de cette chronique . Au fait, ne serait-ce pas là l’explication ? Ferney rappelle un écri
67 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
81 ans la critique morale et l’invention lyrique, la chronique incisive et les vastes systèmes, et qui a le sens de la grandeur réel
68 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
82 956 : « Sur la pluralité des satellites » dans ma chronique « Le Rêve des sciences ». aj. « Sur la pluralité des satellites (II)
69 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
83 ne Les mémoires d’un Grégoire de Nazianze, les chroniques de l’époque et les textes votés nous permettent de nous faire une ima
70 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
84 s le xe siècle, s’il faut en croire les vieilles chroniques de l’Islande. Comment expliquer autrement l’accueil fait aux conquist
85 ée : la patrie du salut, au-delà du temps. 49. Chronique de Juan de Torquemada, l’un des compagnons de Cortés. 50. L’origine
71 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
86 itique requiert d’autres vertus que l’indignation chronique , laquelle n’a jamais rien construit. Ces vertus, par malheur, ne sont
72 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
87 ement devant les nouveautés techniques. Enfin des chroniques comme celle-ci, à moins qu’elles n’amusent nos petits-fils, comme on
73 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
88 débat se déchaîne, comme je l’avais prévu dans ma chronique du mois dernier, sur la question de la fédération ou de la confédérat
74 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
89 les étymologies : je n’en jugerai pas dans cette chronique . Je voudrais seulement signaler des difficultés sémantiques et suggér
75 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
90 olaire depuis un siècle, ou résultant de maladies chroniques de notre culture millénaire. On ne fera pas l’Europe sans sa culture
76 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
91 vres. J’enchaînerai là-dessus dans mes prochaines chroniques . au. « Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (Le point de vue d
77 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
92 , dans les panégyriques ecclésiastiques, dans les chroniques en vers ou en prose, et dans les vies des saints. L’évangéliste irlan
93 itique : on le trouve dans une suite à la fameuse Chronique d’Isidore de Séville, rédigée un siècle plus tôt. Le continuateur ano
94 mane devant Byzance, dès 71833. Mais il y a cette chronique de l’anonyme espagnol, il y a ce mot Europenses qui suffit à lui seul
78 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
95 nir, qui seront notre Moyen Âge, vont remplir les chroniques de leurs luttes, refoulant le concept d’Europe dans le domaine du myt
79 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
96 nière détendue que ma seule intention, dans cette chronique , est d’essayer de comprendre un problème très confus dont je ne suis
80 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
97 d à se normaliser. Plutôt donc que de retracer la chronique des triomphes et des méfaits du nationalisme en Europe, — ce serait r
81 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Avant-propos
98 ire de l’Europe qu’on va lire, mais seulement une chronique — illustrée de citations — des prises de conscience successives de no
82 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
99 xvie siècle avant notre ère, selon les anciennes chroniques grecques, méprisées par le xixe siècle mais confirmées par les reche
100 , dans les panégyriques ecclésiastiques, dans les chroniques en vers ou en prose, et dans les vies des saints. L’évangéliste irlan
101 itique : on le trouve dans une suite à la fameuse Chronique d’Isidore de Séville, rédigée un siècle plus tôt. Le continuateur ano
102 e sait, et l’on appelle aujourd’hui ce texte la «  chronique mozarabe de 754 ») décrit la bataille de Poitiers, gagnée par Charles
103 mane devant Byzance, dès 71848. Mais il y a cette chronique de l’anonyme espagnol, il y a ce mot Europenses qui suffit à lui seul
104 nir, qui seront notre Moyen Âge, vont remplir les chroniques de leurs luttes, refoulant le concept d’Europe dans le domaine du myt
83 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
105 v Vasa, et le premier pasteur de Stockholm : Nos chroniques suédoises font grand honneur à nos ancêtres des hauts faits qu’ils on
106 s. Tel fut leur courage tant vanté, ainsi que les chroniques le font voir clairement. Et de même, ils causèrent à la langue latine
107 st acquis, alors attaquons les Turcs. 86. De la chronique suédoise du xvie siècle, d’Olaf Petri.
84 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
108 considérée comme unité, non comme une addition de chroniques régionales. Le lecteur d’aujourd’hui ne manquera pas de voir dans cet
85 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
109 de l’Unique Empire romain feraient pendant à ces chroniques chinoises d’une si triste uniformité. … Jetons d’abord un coup d’œil
86 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
110 que, et qui décèle une parenté formelle entre les Chroniques de l’Ancien Testament et Les Travaux et les Jours d’Hésiode. Ainsi la
87 1962, Esprit, articles (1932–1962). Lettre à Jean-Marie Domenach, à propos de « Sartre et l’Europe » (mai 1962)
111 vante de Jean-Marie Domenach : « À la suite de la chronique que j’avais consacrée à “Sartre et l’Europe” (Esprit, mars 1962), j’a
88 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
112 ense, violente et polémique que n’en relatent les chroniques d’aucune autre région du monde. Quand les antagonismes se composent e
89 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
113 La première expédition scandinave relatée par les chroniques remonte à 870. Elle est le fait de Norvégiens fuyant la tyrannie d’un
90 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
114 ense, violente et polémique que n’en relatent les chroniques d’aucune autre région du monde. Quand les antagonismes se composent e
91 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
115 r l’austérité patriarcale de leurs principes. Les chroniques illustrées d’Urs Graf, les descriptions des bains de Bade, « jardin d
92 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
116 et qui n’est sûrement pas de nos ancêtres ? À la chronique apocryphe dite des Chanoines ? Au grand Osterwald, qu’on ne lit plus,
93 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
117 une fois de plus, en un fallacieux raccourci, la chronique des Ligues suisses jusqu’au xixe siècle, puis celle de la Suisse féd
94 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
118 mme de pied. Je ne puis songer à retracer ici la chronique des alliances innombrables conclues par les cantons entre eux et avec
95 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
119 e une boucherie des gens du duc Léopold », dit la chronique contemporaine du moine Jean de Winterthur. Trois semaines plus tard,
96 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
120 t monotones, la saleté de la rue, le détraquement chronique des services publics, la désuétude et le laisser-aller de grands pays
97 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
121 r l’austérité patriarcale de leurs principes. Les chroniques illustrées d’Urs Graf, les descriptions des bains de Bade, « jardin d
122 séquences du moine musicien Notker le Bègue, les Chroniques du moine Ekkehard ; une première « civilisation », sur laquelle Charl
123 t parfois dans la Gazette littéraire une amusante chronique du « suissois » ou « frallemand » dont les lignes suivantes donnent l
98 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
124 ci les péripéties.146 Dans les actes, annales et chroniques de la fin du xiiie siècle et du début du xive , époque des alliances
125 ncien récit des aventures de Tell figure dans une chronique que l’on peut consulter aux archives du canton d’Obwald et que l’on a
126 de la couleur claire de sa reliure en cuir. Cette chronique date de 1470-1472. Près de deux siècles se sont donc écoulés depuis l
127 lschussmotivs (1947). Il s’agit de ballades et de chroniques qui décrivent toutes la même épreuve d’adresse imposée par un seigneu
128 tains relèvent que le Livre blanc, comme d’autres chroniques plus anciennes, attribuent aux hommes de Schwyz et d’Uri une origine
129 égende, présentée d’ailleurs comme historique. La Chronique helvétique que Tschudi semble avoir terminée vers 1570 ne fut cependa
130 nos jours. Mais avant même que la publication des chroniques de Tschudi ait imposé à toute l’Europe cette interprétation mythique
99 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
131 es mémoires et se tiennent à égale distance de la chronique et du journal intime, s’exprime l’évolution d’une sensibilité europée
100 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
132 il consacre à peu près un tiers de son écrit à la chronique de faits d’armes dont il n’a pas été le témoin, et qui auraient tous