1 llers sont nobles. La seconde comprend les quatre Châtelains de Landeron, Boudry, Valtravers et Thielle… Enfin la troisième divisi

2 n, les vingt et une Cours de justice locales, les Châtelains et les Maires de districts, et cent autres emplois ou dignités, exerç

3 a vieille opposition des blancs et des rouges, du châtelain et du métayer. C’est par rapport à la menace ou à l’espoir du fascism

4 at agricole et la séparation brutale, visible, du châtelain et du paysan. Les révoltes conjuguées des prolétaires urbains et agri

5 pas ne savent pas trop ce qu’ils sont, à part les châtelains . Ils votent radical ou socialiste, et se font battre à plate couture,

6 pas ne savent pas trop ce qu’ils sont, à part les châtelains . Ils votent radical ou socialiste, et se font battre à plates couture

7 s ans. Dans tous les cas, ils chantaient pour des châtelaines , dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et

8 s ans. Dans tous les cas, ils chantaient pour des châtelaines , dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et

9 pas ne savent pas trop ce qu’ils sont, à part les châtelains . Ils votent radical ou socialiste, et se font battre à plates couture

10 llers sont Nobles. La seconde comprend les quatre Châtelains de Landeron Boudry, Valtravers et Thielle… Enfin la troisième divisio

11 n, les vingt et une Cours de justice locales, les Châtelains et les Maires de districts, et cent autres emplois ou dignités, exerç

12 s ans. Dans tous les cas, ils chantaient pour des châtelaines dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et q

13 ente, le « génie du fédéralisme ». Il y a chez ce châtelain de Cressier près Morat, patricien de Fribourg et descendant des fonda

14 , le fond des provinces poujadistes, les vieilles châtelaines anglophobes et toutes les inerties réactionnaires qui ne sont qu’anxi

15 ls aient jamais pu parler de pair à égal avec les châtelains du Languedoc ni rien espérer des nobles dames qu’ils célébraient, et