1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
1 ées, à la conclusion. Ce n’est pas le bon rire de cinéma . Quand la danseuse paraît, ils n’attendent que le moment où ils pourr
2 ment). Cela fait bizarre. Or, dans le monde où le cinéma doit nous « transplanter », un certain naturel est de rigueur ; toute
3 me un homme en chien, cela n’a rien d’étonnant au cinéma . C’est la photographie d’une chose qui ne serait étonnante que dans l
4 re en tournant un commutateur. Le vrai miracle du cinéma , c’est, par exemple, l’éclosion d’une rose, un homme qui court au ral
2 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 ières, s’élargissent, se fondent, se superposent. Cinéma des sentiments qui montre vivantes dans la même minute toutes les inc
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
6 ivain dont l’influence soit comparable à celle du cinéma  ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correction se jetai
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
7 e de l’inspiration, un doute lui vint. Il alla au cinéma . On donnait un film voluptueux. Il aima l’héroïne, mais sans espoir.
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
8 s par un prolétariat tout abruti de travail et de cinéma . Car enfin ce n’est pas l’humanisme du xvie siècle qui nous chaut, e
6 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
9 peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma , l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
7 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 er aux girls de son magazine, et me voit comme au cinéma . Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
11 peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma , l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 er aux girls de son magazine, et me voit comme au cinéma . Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
10 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
13 n, c’était se préparer à « mal finir ». Est-ce le cinéma qui a changé tout cela ? L’explication tente les journalistes. Mais l
14 a ? L’explication tente les journalistes. Mais le cinéma n’est qu’un des effets du changement à vue qui s’opère dans toute not
15 hé avec une telle avidité. « Ce que je préfère au cinéma , ce sont les actualités. » Phrase mille fois entendue. Les journaux s
11 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
16 l’école, par la presse, par les partis et par le cinéma . Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
12 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
17 héroïque, moins exclusivement passionnée pour le cinéma et les prouesses « sportives » des autres — des coureurs du Tour de F
13 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
18 able (dans le Règne de l’esprit malin), entrée du cinéma (l’Amour du Monde), approche de la fin du monde (Présence de la Mort,
14 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
19 ans un murmure flatteur, comme on peut le voir au cinéma . C’est agréable, pour un écrivain, qu’on croie tout cela… Je doute qu
15 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
20 s livres, plutôt que sur toute autre distraction, cinéma ou meetings sportifs ? D’où vient cette désaffection des grandes mass
16 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
21 it dans toutes les classes et qu’entretiennent le cinéma , la TSF, les illustrés et les hebdomadaires. Je ne nie pas que cela e
22 ques pornographies situées dans un grand monde de cinéma . Comment veut-on qu’il en soit autrement, quand Proust, Gide ou Valér
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
23 le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma . On entend rire des enfants. J’ai rencontré le curé ce matin, suivi c
24 athie générale, aussi bien à A. qu’à la séance de cinéma . Il n’y aurait là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreil
18 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
25 l’école, par la presse, par les partis et par le cinéma . Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
26 re qui s’est tenue dans la salle désaffectée d’un cinéma . (J’avais omis de noter ce fait curieux : il n’y a plus de ciné à A…)
19 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
27 le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma . On entend rire des enfants. — J’ai rencontré le curé ce matin, suivi
28 athie générale, aussi bien à A… qu’à la séance de cinéma . Il n’y aurait là rien d’étonnant, si l’on ne nous rebattait les orei
20 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
29  adaptation » moderne — pour parler le langage du cinéma , seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
21 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
30 héroïque, moins exclusivement passionnée pour le cinéma et les prouesses « sportives » des coureurs du Tour de France, par ex
22 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
31  adaptation » moderne — pour parler le langage du cinéma , seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
32  adaptation » moderne — pour parler le langage du cinéma , seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
33 omance — n’est pas près d’épuiser ses effets ; le cinéma les propage au monde entier, et les statistiques de divorce permetten
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
34  adaptation » moderne — pour parler le langage du cinéma , seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
26 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
35 ères étrangères à son expérience individuelle. Le cinéma en offre un bon exemple. Là, chacun peut « par procuration » vivre de
27 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
36 ansant à travers les faisceaux des projecteurs de cinéma . De quelque trentième étage, on déroulait d’immenses serpentins blanc
28 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
37 sort particulier et à nos aptitudes normales. Au cinéma , l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
38 tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au cinéma , c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
29 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
39 » tels que les entretiennent et les exploitent le cinéma , les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
30 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
40 morale en pleine déroute, et le peuple vivait de cinéma comme il avait jadis vécu de religion. — Si cela continue, se dit le
31 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
41 sort particulier et à nos aptitudes normales. Au cinéma , l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
42 tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au cinéma , c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
32 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
43 » tels que les entretiennent et les exploitent le cinéma , les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
33 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
44 morale en pleine déroute, et le peuple vivait de cinéma comme il avait vécu de religion. — Si cela continue, se dit le diable
34 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
45 sort particulier et à nos aptitudes normales. Au cinéma , l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
46 tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au cinéma , c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
35 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
47 » tels que les entretiennent et les exploitent le cinéma , les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
36 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
48 sort particulier et à nos aptitudes normales. Au cinéma , l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
37 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
49 able (dans le Règne de l’esprit malin), entrée du cinéma (L’Amour du Monde), approche de la fin du monde (Présence de la mort,
38 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
50 transformer la condition du siècle. Hier soir, au cinéma , un hello derrière moi, c’était N., l’un des as du très petit groupe
39 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
51 pour danser. Ils rêvent dans toutes les salles de cinéma . Ils marchent dans la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si t
40 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
52 vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du cinéma quelques-uns des moyens d’expression radicalement neufs qu’il permet 
53 t de prendre avantage des possibilités uniques du cinéma . L’analyse du mouvement, la vitesse ou la lenteur folle, les objets q
41 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
54 s américaines. (On leur donne même des séances de cinéma le samedi soir.) La liberté ne peut pas être détaillée ni débitée en
42 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
55 sentir. Et qu’aussitôt la presse et la radio, le cinéma surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
43 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
56 celle qu’éveillent en nous les livres ou même le cinéma . Un sentiment qui dure : pour moi, il a duré pendant six ans. Ceci es
44 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
57 sentir. Et qu’aussitôt la presse, et la radio, le cinéma surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
45 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV. Utopies
58 on Hitler, Staline, et l’exil et la guerre, et le cinéma pour notre information si les camps ne nous ont pas eus, nous restons
46 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI. Le savant et le général
59 transformer la condition du siècle. Hier soir, au cinéma , un hello derrière moi, et c’était l’un des as du très petit groupe d
47 1946, Lettres sur la bombe atomique. XII. Les quatre libertés
60 s américaines. (On leur donne même des séances de cinéma .) La liberté ne peut être détaillée ni débitée en tranches : elle est
48 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII. La pensée planétaire
61 sentir. Et qu’aussitôt la presse et la radio, le cinéma surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
49 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV . Utopies
62 on Hitler, Staline, et l’exil et la guerre, et le cinéma pour notre information si les camps ne nous ont pas eus, nous restons
50 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI . Le savant et le général
63 transformer la condition du siècle. Hier soir, au cinéma , un hello derrière moi, c’était N., l’un des as du petit groupe de ma
51 1946, Lettres sur la bombe atomique. XII . Les Quatre Libertés
64 s américaines. (On leur donne même des séances de cinéma .) La liberté ne peut être détaillée ni débitée en tranches : elle est
52 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII . La pensée planétaire
65 sentir. Et qu’aussitôt la presse, et la radio, le cinéma surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
53 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
66 les commentateurs de radio, l’école publique, le cinéma et les comités. Mais ils en ont gardé le pli : leur christianisme est
54 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
67 semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le cinéma nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
55 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
68 semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le cinéma nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
69 enfin décidé à faire la queue devant Radio-City, cinéma gigantesque dont l’attrait principal consiste dans les variétés que l
56 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
70 je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au cinéma , sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
71 peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma , l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
72 er aux girls de son magazine, et me voit comme au cinéma . Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
73 s par un prolétariat tout abruti de travail et de cinéma . L’humanisme d’un homme de 1932 et qui veut vivre, au lieu d’amèremen
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
74 le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma . On entend rire des enfants. J’ai rencontré le curé ce matin, suivi c
75 athie générale, aussi bien à A… qu’à la séance de cinéma . Il n’y aurait là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreil
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
76 l’école, par la presse, par les partis et par le cinéma . Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
77 re qui s’est tenue dans la salle désaffectée d’un cinéma . (J’avais omis de noter ce fait curieux : il n’y a plus une seule sal
78 e fait curieux : il n’y a plus une seule salle de cinéma à A…) Le député socialiste, maire de N…, et deux autres militants soc
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
79 héroïque, moins exclusivement passionnée pour le cinéma et les prouesses « sportives » des coureurs cyclistes, par exemple. S
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
80 semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le cinéma nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
81 enfin décidé à faire la queue devant Radio City, cinéma gigantesque dont l’attrait principal consiste dans les variétés que l
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
82 je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au cinéma , sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
65 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
83 ne. Et les uns l’obtiendront par la publicité, le cinéma , la production de série, et les autres par des moyens un peu moins so
66 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
84 aller naïf en apparence de la jeunesse qui vit au cinéma et s’inspire des valeurs d’Hollywood, en dépit de toutes les censures
85 emblent les députés, les pasteurs, les magnats du cinéma . Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux jeunes femmes — selon le
86 erican way of life, à l’école, dans la presse, au cinéma , au cours du soir pour étrangers récemment naturalisés. On leur incul
87 influence beaucoup plus directe et contrôlable du cinéma et des comics. À mon avis, l’aspect le plus intéressant de l’évolutio
67 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
88 je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au cinéma , sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
68 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
89 pour danser. Ils rêvent dans toutes les salles de cinéma . Ils marchent dans la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si t
90 ansant à travers les faisceaux des projecteurs de cinéma . De quelque trentième étage, on déroulait d’immenses serpentins blanc
69 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
91 vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du cinéma quelques-uns des moyens d’expression radicalement neufs qu’il permet 
92 t de prendre avantage des possibilités uniques du cinéma . L’analyse du mouvement, la vitesse ou la lenteur folle, les objets q
93 ion d’exemplaires de leur livre. Les producers du cinéma et du théâtre leur ont versé des honoraires en conséquence. C’est pou
94 nt à leur technique au moins autant qu’à celle du cinéma . Mais la raison de ces succès ne serait-elle pas que vos standards de
95 les commentateurs de radio, l’école publique, le cinéma et les comics. Mais ils en ont gardé le pli : leur christianisme est
70 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
96 aller naïf en apparence de la jeunesse qui vit au cinéma et s’inspire des valeurs d’Hollywood, en dépit de toutes les censures
97 emblent les députés, les pasteurs, les magnats du cinéma . Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux jeunes femmes — selon le
98 erican way of life, à l’école, dans la presse, au cinéma , au cours du soir pour étrangers récemment naturalisés. On leur incul
99 influence beaucoup plus directe et contrôlable du cinéma et des comics. À mon avis, l’aspect le plus intéressant de l’évolutio
71 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
100 sans nervosité dans la file son tour d’entrer au cinéma , son tour de remplir une assiette à la cafétéria. L’allure nègre, bal
101 tiques, lui est inculquée dès le Kindergarten. Le cinéma l’entretient et l’exporte. Vous pensez donc, quand vous entrez en Amé
72 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
102 ne. Et les uns l’obtiendront par la publicité, le cinéma , la production de série, et les autres par des moyens un peu moins so
73 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
103 s’illuminent dans le faisceau des projecteurs de cinéma  ? Je suis assis derrière deux rangs de dos et de nuques fascinantes q
74 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (19 juin 1950)
104 , comme celui des recherches scientifiques, ou du cinéma en pleine crise, problèmes qui ne peuvent être résolus dans le cadre
75 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
105 la physique nucléaire, l’aviation, la radio et le cinéma , la vaccination, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique, le
76 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
106 éralisée et la physique nucléaire, la radio et le cinéma , la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et le radar, la rat
77 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
107 éralisée et la physique nucléaire, la radio et le cinéma , la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et le radar, la rat
78 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
108 la physique nucléaire, l’aviation, la radio et le cinéma , la vaccination, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et
109 national : problèmes des recherches atomiques, du cinéma , de la télévision, des intellectuels réfugiés, de la révision des man
79 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — À Strasbourg (21 novembre l950)
110 t là, la presse, les photographes, la radio et le cinéma , les huissiers en noir à collier d’argent, la garde d’honneur en guêt
80 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
111 ssants du jour tiennent la radio, la presse et le cinéma . Cependant, nous avons encore le droit de protester contre tout cela.
81 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Dernière chronique (12 mars 1951)
112 aire, ou encore d’une récente Union européenne du cinéma . Je me suis gardé comme du feu des procédés de la propagande moderne.
82 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
113 r entrer dans le vif du sujet ; parlant plutôt du cinéma indien qui, m’apprend-il, le cède de peu à Hollywood quant au volume
83 1952, {Title}. La vie religieuse aux États-Unis (1942-1945) (1952)
114 roisses (qui comprennent des séances de loto, des cinémas , et des soirées dansantes), annonces des services qui seront célébrés
84 1952, {Title}. L’Œuvre du xx e siècle (mai 1952)
115 La presse et la radio, le disque et le digest, le cinéma et la télévision, sont-ils vraiment des moyens de culture, ou bien de
85 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
116 le — bien plus que le sex-appeal — qui inspire le cinéma , les magazines féminins, et leurs courriers du cœur. Je constaterai m
86 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
117 oit, dans un tel lieu, et sous les projecteurs de cinéma … Je répondrai à côté de la question apparente, je répondrai par une s
87 1952, Articles divers (1951-1956). Les foyers de culture et l’Europe (octobre 1952)
118 s, de pays, de langues : la culture par l’image : cinéma , télévision, « comics” illustrés des journaux. C’est une forme de dif
88 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
119 t sa politique ou son tourisme, ses industries du cinéma ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains groupes d’intér
89 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
120 t sa politique ou son tourisme, ses industries du cinéma ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains groupes d’intér
90 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
121 u’elle menace de ruiner l’importante industrie du cinéma , et qu’elle bouleverse les conditions d’une campagne présidentielle a
91 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
122 : autos, radios, frigidaires et conserves ; et le cinéma au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou
123 ois » économiques, les remous de la politique, le cinéma , ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
92 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
124 de films sont peut-être encore plus délicats. Le cinéma détient une puissance de suggestion qui déborde largement son message
93 1956, Articles divers (1951-1956). Denis de Rougemont et l’amour-passion, phénomène historique (4 février 1956)
125 elle. L’adultère est presque devenu une vertu. Le cinéma fournit assez de preuves à ce que j’avance. Fonder le mariage sur l’a
94 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
126 in derrière). Et je ne parle même pas du monde du cinéma , où la minute de pellicule multipliée par le tour de poitrine vaut un
95 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
127 : autos, radios, frigidaires et conserves ; et le cinéma au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou
128 ois » économiques, les remous de la politique, le cinéma , ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
129 contribué plus que nul autre au développement du cinéma , triomphe technique. 68. L’examen des circonstances qui ont produit
96 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
130 ois » économiques, les remous de la politique, le cinéma , ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
97 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
131 e réunion pour l’étude des problèmes européens du Cinéma . — Première réunion des directeurs de dix guildes du livre et book-cl
98 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
132 sur des thèmes européens expositions, journées du cinéma , tables rondes et groupes d’études, et distribuent chaque année une t
99 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
133 mps. Or nous venons d’apprendre qu’une actrice de cinéma d’avant-garde apporte à son pays plus de devises que l’industrie auto
100 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
134 a jeunesse, modes passagères dont l’édition et le cinéma me paraissent profiter davantage que la société n’en pâtit. En revanc