1
ées, à la conclusion. Ce n’est pas le bon rire de
cinéma
. Quand la danseuse paraît, ils n’attendent que le moment où ils pourr
2
ment). Cela fait bizarre. Or, dans le monde où le
cinéma
doit nous « transplanter », un certain naturel est de rigueur ; toute
3
me un homme en chien, cela n’a rien d’étonnant au
cinéma
. C’est la photographie d’une chose qui ne serait étonnante que dans l
4
re en tournant un commutateur. Le vrai miracle du
cinéma
, c’est, par exemple, l’éclosion d’une rose, un homme qui court au ral
5
ières, s’élargissent, se fondent, se superposent.
Cinéma
des sentiments qui montre vivantes dans la même minute toutes les inc
6
ivain dont l’influence soit comparable à celle du
cinéma
! Claretie raconte que les détenus des maisons de correction se jetai
7
e de l’inspiration, un doute lui vint. Il alla au
cinéma
. On donnait un film voluptueux. Il aima l’héroïne, mais sans espoir.
8
s par un prolétariat tout abruti de travail et de
cinéma
. Car enfin ce n’est pas l’humanisme du xvie siècle qui nous chaut, e
9
peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un
cinéma
, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
10
er aux girls de son magazine, et me voit comme au
cinéma
. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
11
peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un
cinéma
, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
12
er aux girls de son magazine, et me voit comme au
cinéma
. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
13
n, c’était se préparer à « mal finir ». Est-ce le
cinéma
qui a changé tout cela ? L’explication tente les journalistes. Mais l
14
a ? L’explication tente les journalistes. Mais le
cinéma
n’est qu’un des effets du changement à vue qui s’opère dans toute not
15
hé avec une telle avidité. « Ce que je préfère au
cinéma
, ce sont les actualités. » Phrase mille fois entendue. Les journaux s
16
l’école, par la presse, par les partis et par le
cinéma
. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
17
héroïque, moins exclusivement passionnée pour le
cinéma
et les prouesses « sportives » des autres — des coureurs du Tour de F
18
able (dans le Règne de l’esprit malin), entrée du
cinéma
(l’Amour du Monde), approche de la fin du monde (Présence de la Mort,
19
ans un murmure flatteur, comme on peut le voir au
cinéma
. C’est agréable, pour un écrivain, qu’on croie tout cela… Je doute qu
20
s livres, plutôt que sur toute autre distraction,
cinéma
ou meetings sportifs ? D’où vient cette désaffection des grandes mass
21
it dans toutes les classes et qu’entretiennent le
cinéma
, la TSF, les illustrés et les hebdomadaires. Je ne nie pas que cela e
22
ques pornographies situées dans un grand monde de
cinéma
. Comment veut-on qu’il en soit autrement, quand Proust, Gide ou Valér
23
le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de
cinéma
. On entend rire des enfants. — J’ai rencontré le curé ce matin, suivi
24
athie générale, aussi bien à A… qu’à la séance de
cinéma
. Il n’y aurait là rien d’étonnant, si l’on ne nous rebattait les orei
25
le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de
cinéma
. On entend rire des enfants. J’ai rencontré le curé ce matin, suivi c
26
athie générale, aussi bien à A. qu’à la séance de
cinéma
. Il n’y aurait là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreil
27
l’école, par la presse, par les partis et par le
cinéma
. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
28
re qui s’est tenue dans la salle désaffectée d’un
cinéma
. (J’avais omis de noter ce fait curieux : il n’y a plus de ciné à A…)
29
adaptation » moderne — pour parler le langage du
cinéma
, seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
30
héroïque, moins exclusivement passionnée pour le
cinéma
et les prouesses « sportives » des coureurs du Tour de France, par ex
31
adaptation » moderne — pour parler le langage du
cinéma
, seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
32
adaptation » moderne — pour parler le langage du
cinéma
, seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
33
omance — n’est pas près d’épuiser ses effets ; le
cinéma
les propage au monde entier, et les statistiques de divorce permetten
34
adaptation » moderne — pour parler le langage du
cinéma
, seul adéquat en l’occurrence — de la primauté de l’amour sur l’ordre
35
ansant à travers les faisceaux des projecteurs de
cinéma
. De quelque trentième étage, on déroulait d’immenses serpentins blanc
36
sort particulier et à nos aptitudes normales. Au
cinéma
, l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
37
tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au
cinéma
, c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
38
» tels que les entretiennent et les exploitent le
cinéma
, les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
39
morale en pleine déroute, et le peuple vivait de
cinéma
comme il avait jadis vécu de religion. — Si cela continue, se dit le
40
sort particulier et à nos aptitudes normales. Au
cinéma
, l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
41
tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au
cinéma
, c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
42
» tels que les entretiennent et les exploitent le
cinéma
, les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
43
morale en pleine déroute, et le peuple vivait de
cinéma
comme il avait vécu de religion. — Si cela continue, se dit le diable
44
sort particulier et à nos aptitudes normales. Au
cinéma
, l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
45
tensité nerveuse et de faiblesse de caractère. Au
cinéma
, c’est plus aimable et moins ressemblant. Dans la vie — regardez dans
46
» tels que les entretiennent et les exploitent le
cinéma
, les mauvais livres à gros tirage et la publicité ; ceux qui n’ont pa
47
sort particulier et à nos aptitudes normales. Au
cinéma
, l’individu moderne s’habitue à courir par délégation les aventures q
48
able (dans le Règne de l’esprit malin), entrée du
cinéma
(L’Amour du Monde), approche de la fin du monde (Présence de la mort,
49
transformer la condition du siècle. Hier soir, au
cinéma
, un hello derrière moi, c’était N., l’un des as du très petit groupe
50
pour danser. Ils rêvent dans toutes les salles de
cinéma
. Ils marchent dans la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si t
51
vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du
cinéma
quelques-uns des moyens d’expression radicalement neufs qu’il permet
52
t de prendre avantage des possibilités uniques du
cinéma
. L’analyse du mouvement, la vitesse ou la lenteur folle, les objets q
53
s américaines. (On leur donne même des séances de
cinéma
le samedi soir.) La liberté ne peut pas être détaillée ni débitée en
54
sentir. Et qu’aussitôt la presse et la radio, le
cinéma
surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
55
celle qu’éveillent en nous les livres ou même le
cinéma
. Un sentiment qui dure : pour moi, il a duré pendant six ans. Ceci es
56
sentir. Et qu’aussitôt la presse, et la radio, le
cinéma
surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
57
les commentateurs de radio, l’école publique, le
cinéma
et les comités. Mais ils en ont gardé le pli : leur christianisme est
58
semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le
cinéma
nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
59
semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le
cinéma
nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
60
enfin décidé à faire la queue devant Radio-City,
cinéma
gigantesque dont l’attrait principal consiste dans les variétés que l
61
je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au
cinéma
, sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
62
on Hitler, Staline, et l’exil et la guerre, et le
cinéma
pour notre information si les camps ne nous ont pas eus, nous restons
63
transformer la condition du siècle. Hier soir, au
cinéma
, un hello derrière moi, et c’était l’un des as du très petit groupe d
64
s américaines. (On leur donne même des séances de
cinéma
.) La liberté ne peut être détaillée ni débitée en tranches : elle est
65
sentir. Et qu’aussitôt la presse et la radio, le
cinéma
surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
66
on Hitler, Staline, et l’exil et la guerre, et le
cinéma
pour notre information si les camps ne nous ont pas eus, nous restons
67
transformer la condition du siècle. Hier soir, au
cinéma
, un hello derrière moi, c’était N., l’un des as du petit groupe de ma
68
s américaines. (On leur donne même des séances de
cinéma
.) La liberté ne peut être détaillée ni débitée en tranches : elle est
69
sentir. Et qu’aussitôt la presse, et la radio, le
cinéma
surtout l’éveillent et la propagent, sous de larges rubriques créant
70
peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un
cinéma
, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester là muette, assez absente
71
er aux girls de son magazine, et me voit comme au
cinéma
. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier
72
s par un prolétariat tout abruti de travail et de
cinéma
. L’humanisme d’un homme de 1932 et qui veut vivre, au lieu d’amèremen
73
le du curé, qui donne aussi ce soir une séance de
cinéma
. On entend rire des enfants. J’ai rencontré le curé ce matin, suivi c
74
athie générale, aussi bien à A… qu’à la séance de
cinéma
. Il n’y aurait là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreil
75
l’école, par la presse, par les partis et par le
cinéma
. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiast
76
re qui s’est tenue dans la salle désaffectée d’un
cinéma
. (J’avais omis de noter ce fait curieux : il n’y a plus une seule sal
77
e fait curieux : il n’y a plus une seule salle de
cinéma
à A…) Le député socialiste, maire de N…, et deux autres militants soc
78
héroïque, moins exclusivement passionnée pour le
cinéma
et les prouesses « sportives » des coureurs cyclistes, par exemple. S
79
semble, les femmes m’ont paru dignes de ce que le
cinéma
nous en promet — mais il suffit de trois ou quatre beautés saines ou
80
enfin décidé à faire la queue devant Radio City,
cinéma
gigantesque dont l’attrait principal consiste dans les variétés que l
81
je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au
cinéma
, sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
82
aller naïf en apparence de la jeunesse qui vit au
cinéma
et s’inspire des valeurs d’Hollywood, en dépit de toutes les censures
83
emblent les députés, les pasteurs, les magnats du
cinéma
. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux jeunes femmes — selon le
84
erican way of life, à l’école, dans la presse, au
cinéma
, au cours du soir pour étrangers récemment naturalisés. On leur incul
85
influence beaucoup plus directe et contrôlable du
cinéma
et des comics. À mon avis, l’aspect le plus intéressant de l’évolutio
86
je fuyais partout, dans la rue, dans le monde, au
cinéma
, sous le moindre prétexte. À deux heures aujourd’hui, je me suis enfe
87
ne. Et les uns l’obtiendront par la publicité, le
cinéma
, la production de série, et les autres par des moyens un peu moins so
88
pour danser. Ils rêvent dans toutes les salles de
cinéma
. Ils marchent dans la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si t
89
ansant à travers les faisceaux des projecteurs de
cinéma
. De quelque trentième étage, on déroulait d’immenses serpentins blanc
90
vois qu’un homme en Amérique, qui ait su tirer du
cinéma
quelques-uns des moyens d’expression radicalement neufs qu’il permet
91
t de prendre avantage des possibilités uniques du
cinéma
. L’analyse du mouvement, la vitesse ou la lenteur folle, les objets q
92
ion d’exemplaires de leur livre. Les producers du
cinéma
et du théâtre leur ont versé des honoraires en conséquence. C’est pou
93
nt à leur technique au moins autant qu’à celle du
cinéma
. Mais la raison de ces succès ne serait-elle pas que vos standards de
94
les commentateurs de radio, l’école publique, le
cinéma
et les comics. Mais ils en ont gardé le pli : leur christianisme est
95
aller naïf en apparence de la jeunesse qui vit au
cinéma
et s’inspire des valeurs d’Hollywood, en dépit de toutes les censures
96
emblent les députés, les pasteurs, les magnats du
cinéma
. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux jeunes femmes — selon le
97
erican way of life, à l’école, dans la presse, au
cinéma
, au cours du soir pour étrangers récemment naturalisés. On leur incul
98
influence beaucoup plus directe et contrôlable du
cinéma
et des comics. À mon avis, l’aspect le plus intéressant de l’évolutio
99
sans nervosité dans la file son tour d’entrer au
cinéma
, son tour de remplir une assiette à la cafétéria. L’allure nègre, bal
100
tiques, lui est inculquée dès le Kindergarten. Le
cinéma
l’entretient et l’exporte. Vous pensez donc, quand vous entrez en Amé
101
ne. Et les uns l’obtiendront par la publicité, le
cinéma
, la production de série, et les autres par des moyens un peu moins so
102
s’illuminent dans le faisceau des projecteurs de
cinéma
? Je suis assis derrière deux rangs de dos et de nuques fascinantes q
103
la physique nucléaire, l’aviation, la radio et le
cinéma
, la vaccination, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique, le
104
éralisée et la physique nucléaire, la radio et le
cinéma
, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et le radar, la rat
105
la physique nucléaire, l’aviation, la radio et le
cinéma
, la vaccination, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et
106
national : problèmes des recherches atomiques, du
cinéma
, de la télévision, des intellectuels réfugiés, de la révision des man
107
éralisée et la physique nucléaire, la radio et le
cinéma
, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et le radar, la rat
108
r entrer dans le vif du sujet ; parlant plutôt du
cinéma
indien qui, m’apprend-il, le cède de peu à Hollywood quant au volume
109
ssants du jour tiennent la radio, la presse et le
cinéma
. Cependant, nous avons encore le droit de protester contre tout cela.
110
oit, dans un tel lieu, et sous les projecteurs de
cinéma
… Je répondrai à côté de la question apparente, je répondrai par une s
111
le — bien plus que le sex-appeal — qui inspire le
cinéma
, les magazines féminins, et leurs courriers du cœur. Je constaterai m
112
s, de pays, de langues : la culture par l’image :
cinéma
, télévision, « comics” illustrés des journaux. C’est une forme de dif
113
t sa politique ou son tourisme, ses industries du
cinéma
ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains groupes d’intér
114
t sa politique ou son tourisme, ses industries du
cinéma
ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains groupes d’intér
115
u’elle menace de ruiner l’importante industrie du
cinéma
, et qu’elle bouleverse les conditions d’une campagne présidentielle a
116
: autos, radios, frigidaires et conserves ; et le
cinéma
au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou
117
ois » économiques, les remous de la politique, le
cinéma
, ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
118
de films sont peut-être encore plus délicats. Le
cinéma
détient une puissance de suggestion qui déborde largement son message
119
elle. L’adultère est presque devenu une vertu. Le
cinéma
fournit assez de preuves à ce que j’avance. Fonder le mariage sur l’a
120
in derrière). Et je ne parle même pas du monde du
cinéma
, où la minute de pellicule multipliée par le tour de poitrine vaut un
121
ois » économiques, les remous de la politique, le
cinéma
, ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
122
: autos, radios, frigidaires et conserves ; et le
cinéma
au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou
123
ois » économiques, les remous de la politique, le
cinéma
, ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
124
contribué plus que nul autre au développement du
cinéma
, triomphe technique. 68. L’examen des circonstances qui ont produit
125
e réunion pour l’étude des problèmes européens du
Cinéma
. — Première réunion des directeurs de dix guildes du livre et book-cl
126
sur des thèmes européens expositions, journées du
cinéma
, tables rondes et groupes d’études, et distribuent chaque année une t
127
mps. Or nous venons d’apprendre qu’une actrice de
cinéma
d’avant-garde apporte à son pays plus de devises que l’industrie auto
128
a jeunesse, modes passagères dont l’édition et le
cinéma
me paraissent profiter davantage que la société n’en pâtit. En revanc
129
e livre, le disque, la radio, la télévision et le
cinéma
. Il y a enfin cette espèce de rumeur entretenue autour de la culture
130
ésignent par ce terme la radio, la télévision, le
cinéma
, le disque et le journal, mais il est certainement permis d’y ajouter
131
a jeunesse, modes passagères dont l’édition et le
cinéma
me paraissent profiter davantage que la société n’en pâtit. En revanc
132
ne. Et les uns l’obtiendront par la publicité, le
cinéma
, la production de série, et les autres par des moyens un peu moins so
133
ns l’Occident contemporain. Il est attesté par le
cinéma
, la publicité, et le succès de vente des auteurs qui en parlent. Il e
134
tures ? Elle ne fait pas simplement la fortune du
cinéma
, le théâtre, le roman, la poésie en vivent depuis des siècles, l’entr
135
t notre culte de la beauté-standard imposé par le
cinéma
et la publicité n’arrange pas les choses. Périodiquement un nouveau t
136
par le truchement de la littérature, avant que le
cinéma
ne s’en mêle. La Rochefoucauld se demandait : « Combien d’hommes sera