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problème d’une influence possible de la mystique
cistercienne
sur les troubadours. En effet, « chronologiquement parlant, les deux
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temporains. » On a donc supposé une filiation des
cisterciens
aux troubadours. M. Gilson réfute cette hypothèse en montrant : 1° qu
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antent l’amour malheureux. Mais l’amour divin des
cisterciens
obtient au contraire sa récompense. « On lui est uni (à la Béatitude)
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problème d’une influence possible de la mystique
cistercienne
sur les troubadours. En effet, « chronologiquement parlant, les deux
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temporains ». On a donc supposé une filiation des
cisterciens
aux troubadours. M. Gilson réfute cette hypothèse en montrant : 1° qu
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antent l’amour malheureux. Mais l’amour divin des
cisterciens
obtient au contraire sa récompense. « On lui est uni (à la Béatitude)
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ui en plusieurs langues. L’inspiration cathare et
cistercienne
s’y manifeste dans les formes rhétoriques du lyrisme courtois, et cet
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un Bohort, d’un Perceval, dans un style à la fois
cistercien
, courtois et fort probablement cathare (manichéen), mais surtout celt
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e. Au sujet de la Quête du Graal, « d’inspiration
cistercienne
», il écrit : « La conception orthodoxe de l’histoire et d’autre part
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hercher les rapports de ces moines bénédictins ou
cisterciens
avec les cathares, puisque aussi bien c’est de cette abbaye qu’on fer