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lles n’assument pas dans leur expression même, la
coexistence
concrète des éléments contradictoires de l’être88. Parce qu’elles son
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lles n’assument pas dans leur expression même, la
coexistence
concrète des éléments contradictoires de l’être90. Parce qu’elles son
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s origines et leurs finalités s’excluent. De leur
coexistence
dans nos vies surgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce con
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s origines et leurs finalités s’excluent. De leur
coexistence
dans nos vies surgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce con
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s origines et leurs finalités s’excluent. De leur
coexistence
dans nos vies surgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce con
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plir par les candidats au mariage — cette vraie «
coexistence
» durable, pacifique, et mutuellement éducative. On pourrait exiger d
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s origines et leurs finalités s’excluent. De leur
coexistence
dans nos vies surgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce con
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plir par les candidats au mariage — cette vraie «
coexistence
» durable, pacifique, et mutuellement éducative. On pourrait exiger d
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héisme est défendable : c’est une théologie de la
coexistence
. Le monothéisme est vrai. Mais la pluralité des monothéismes n’est pa
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rmule des satellites astronomiques. Et quant à la
coexistence
, qui se révèle malaisée dans le siècle, on ira la chercher dans un te
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n commun des lunes artificielles. Un rocket nommé
Coexistence
ira porter dans le vide cette abstraction fuyante, concrétisée en for
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rdent désir de faire accepter la doctrine de la «
coexistence
pacifique », indispensable au succès matériel des plans actuels de l’
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voir quelque contradiction entre la politique de
coexistence
(ou de « compétition pacifique ») et les déclarations prophétisant le
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reuves ». « Cette revue essaie de prouver que la
coexistence
est impossible et que la guerre froide ne cessera de voisiner avec la
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cle de la revue Foreign Affairs : la politique de
coexistence
pacifique implique un redoublement de la lutte idéologique… On nous a
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viets contre l’Occident serait compatible avec la
coexistence
pacifique, mais toute riposte du côté occidental serait encore un act
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et morales, philosophiques et sociales — et leur
coexistence
dans l’espace et le temps, et leur mutuelle contestation critique, et
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er en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de la
coexistence
de nos diverses origines en perpétuelle session contradictoire. Nous
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et morales, philosophiques et sociales — et leur
coexistence
dans l’espace et le temps, et leur mutuelle contestation critique, et
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er en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de la
coexistence
de nos diverses origines, en perpétuelle session contradictoire. Ains
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er en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de la
coexistence
de nos diverses origines, en perpétuelle session contradictoire. Nous
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visible du péril rouge, déguisé par les Russes en
coexistence
pacifique — nom qui aurait fait frémir Lénine ! — on reparle aujourd’
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ion des mythes, puis leurs retours, et enfin leur
coexistence
statistique dans l’ensemble d’une société aussi complexe que la nôtre
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anifeste — leur interdépendance génétique et leur
coexistence
dialectique —, l’un agissant dans l’ombre quand l’autre agit au jour.
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ion des mythes, puis leurs retours, et enfin leur
coexistence
statistique dans l’ensemble d’une société aussi complexe que la nôtre
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anifeste — leur interdépendance génétique et leur
coexistence
dialectique —, l’un agissant dans l’ombre quand l’autre agit au jour.
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ait de dissociation de la personne, permettant la
coexistence
— l’actualité simultanée — des deux mythes normalement exclusifs l’un
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possible ; que le problème qui se pose, c’est la
coexistence
dans la paix d’États souverains ; il voit également que le moyen judi
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e de l’Europe n’existe pas ; c’est simplement une
coexistence
d’histoires sans liens, de peuples et d’États… « L’européanisation du
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ans l’autre de ces tendances, mais bien dans leur
coexistence
acceptée, dans leur dialogue, dans leur tension féconde. Toutefois —
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nt de le préciser ici et de le souligner —, cette
coexistence
, ce dialogue, cette tension ne doivent pas être imaginés sous la form
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ils incompatibles ? Parce que le mariage c’est la
coexistence
pacifique, la proximité quotidienne, l’accoutumance, et que la passio
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mode d’organisation politique, le seul régime de
coexistence
digne du nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une méthode de c
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ode d’organisation politique, le seul « régime de
coexistence
» digne du nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une méthode de
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ité de groupes distincts, à les articuler dans la
coexistence
spirituelle et topographique, sans frontières territoriales qui les s
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nt faire le reste. Convergences Contiguïté.
Coexistence
. Fédérations. Informations et communications en progression géométriq
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ême dans la mesure où elle découvre l’ordre de la
coexistence
entre les individus égaux en droit. L’égocentrisme enfantin prendrait
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les vertus ne s’additionnent pas encore. De cette
coexistence
physique au minimum, une inter-communion en esprit naîtra-t-elle ? C’
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ité de groupes distincts, à les articuler dans la
coexistence
spirituelle et topographique, sans frontières territoriales qui les s
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ima contradictoires dont il s’agit d’optimiser la
coexistence
en tension. L’UEF choisit ce jour-là le risque de collaborer. Elle le
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de coopération — c’est encore trop tôt — mais de
coexistence
. C’était aussi l’opinion. Si vous voulez le fond de ma pensée sur l’a
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formes de coopération discrète et en tout cas de
coexistence
. Lénine dit aussi : « Il faudra changer nos conceptions philosophique
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Le fédéralisme n’étant ni ceci, ni cela, mais la
coexistence
en tension de ceci et de cela, il semble que le danger d’interprétati
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Le fédéralisme n’étant ni ceci, ni cela, mais la
coexistence
en tension de ceci et de cela, il semble que le danger d’interprétati
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un et du divers, l’unité dans la diversité, et la
coexistence
féconde des contraires. La Grèce invente la cité et la fonde sur le p
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rs, tandis que l’Incarnation porte à l’extrême la
coexistence
des contraires, l’impensable définition de la personne de Jésus-Chris
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Un et du divers, l’unité dans la diversité, et la
coexistence
féconde des contraires. La Grèce invente la cité et la fonde sur le p
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rs, tandis que l’incarnation porte à l’extrême la
coexistence
des contraires, l’impensable définition de la Personne de Jésus-Chris
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es électroniques vont faire le reste. Contiguïté.
Coexistence
. Fédérations. Information et communication en progression géométrique
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’Un et du Divers, l’unité dans la diversité et la
coexistence
féconde des contraires. La Grèce, qui invente la cité (polis, d’où po
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rs, tandis que l’Incarnation porte à l’extrême la
coexistence
des contraires, l’impensable définition de la Personne de Jésus-Chris
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visible du péril rouge, déguisé par les Russes en
coexistence
pacifique — nom qui aurait fait frémir Lénine ! — on reparle d’un pér
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ar excellence de l’union dans la diversité, de la
coexistence
en tension des contraires. Car tel est le secret occidental de la rec
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Le fédéralisme n’étant ni ceci, ni cela, mais la
coexistence
en tension de ceci et de cela, il semble que le danger d’interprétati
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enir historico-politique, de même le modèle de la
coexistence
des deux natures « sans confusion ni séparation » et de l’union qui,
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Le fédéralisme n’étant ni ceci, ni cela, mais la
coexistence
en tension de ceci et de cela, il semble que le danger d’interprétati
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de la méthode marxienne — de même le modèle de la
coexistence
des deux natures sans confusion ni séparation et de l’union qui loin
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Un et du Divers, l’Unité dans la Diversité, et la
coexistence
féconde des contraires. La Grèce invente la cité et la fonde sur le p
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rs, tandis que l’Incarnation porte à l’extrême la
coexistence
des contraires, l’impensable définition de la Personne de Jésus‑Chris
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er, et c’est pourquoi j’écris tant de livres : la
coexistence
des contraires. Vous connaissez la formule d’Héraclite : « Ce qui s’o
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, le meilleur exemple qui puisse être donné de la
coexistence
des contraires est donc le couple ? Dans mon action en faveur d’une f
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n européenne, j’ai défini le fédéralisme comme la
coexistence
en tension de réalités également valables, mais différentes ou même a
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fédéralisme ? Qu’est-ce que le mariage ? C’est la
coexistence
de deux êtres qui, je l’ai dit, ont chacun leurs lois, parfois antino
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n relève de la même forme de pensée : accepter la
coexistence
de termes antinomiques, en les laissant subsister chacun à sa manière
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’ai utilisés pour définir le couple et définir la
coexistence
des autonomies locales. Voilà au nom de quelle pensée nous arriverons
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réglée. Seule, l’alternance bien tempérée (ou la
coexistence
actuelle-potentielle) de la vie rurale et de la vie urbaine permet le
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ille, Dieu merci minuscule ! Elle seule permet la
coexistence
quotidienne des diverses disciplines et des enseignants, leurs échang
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trale de l’orthodoxie chrétienne, c’est-à-dire la
coexistence
en une Personne de deux natures antinomiques, sans confusion, sans sé
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que, le modèle du fédéralisme, c’est-à-dire de la
coexistence
en perpétuelle interaction de l’union et des petites communautés, de
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rsonne divine, la personne humaine est devenue la
coexistence
en tension de l’individu naturel et de ce qui dans l’homme « passe in
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trale de l’orthodoxie chrétienne, c’est-à-dire la
coexistence
en une Personne de deux natures antinomiques, sans confusion, sans sé
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que, le modèle du fédéralisme, c’est-à-dire de la
coexistence
en perpétuelle interaction de l’union et des petites communautés, de
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rsonne divine, la personne humaine est devenue la
coexistence
en tension de l’individu naturel et de ce qui dans l’homme « passe in
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t le modèle de la personne humaine. Elle était la
coexistence
en un seul être de Dieu et de l’Homme. Et Jésus-Christ fut déclaré «
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Un et du Divers, l’unité dans la diversité, et la
coexistence
féconde des contraires. La Grèce invente la cité (polis, d’où politiq
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dialectique, dont le principe m’apparaît être la
coexistence
, ou mieux : la co-action des contraires maintenus dans leurs oppositi
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Un et du Divers, l’unité dans la diversité, et la
coexistence
féconde des contraires. 18 février 1966 L’Occident, dans les meilleur
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n même caractère dialectique, une même formule de
coexistence
ou coaction de réalités antinomiques, correspondant au principe même