1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 rière, elle devient plus secrète. Vers l’est, des collines fluides et roses. De l’autre côté, c’est le vide, où s’en vont lentem
2 ite répond encore au couchant. San Miniato sur sa colline . Derrière nous, les arbres se brouillent dans une buée sans couleurs,
2 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
3 ce, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce som
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les collines . Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qu
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 unis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète
6 mat. Au-dessus du palais de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la basilique élève une coupole d’ocre éclata
7 dans les vignes, à peine détachée du flanc de la colline , pour que les vents ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nou
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 nulle part qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si d
9 savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes e
10 de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanch
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
11 sont que plus émouvantes : Un dimanche, sur les collines derrière Nunobiki, au milieu des arbres, à côté d’un ruisseau, il pas
7 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
12 rne, plante des arbres, espace des villas sur ses collines , s’aère et redevient une ville à la campagne ; du même coup, un centr
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 unis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète
14 mat. Au-dessus du palais de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclata
15 dans les vignes, à peine détachée du flanc de la colline (pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car d
16 nulle part qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si d
17 savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes e
18 de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanch
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
19 ce, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce som
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
20 te ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines , secrète sous un voile de brume bleue, dans une grande paix. Vue de l
21 ille s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi le bourdonnement des buissons qui surplombent un sentier rapide
22 ée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand ciel doux. Une atmosphère de réflexi
23 n corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines , il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdemen
24 La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les collines . Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qu
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
25 rne, plante des arbres, espace des villas sur ses collines , s’aère et redevient une ville à la campagne ; du même coup, un centr
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 unis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète
27 mat. Au-dessus du palais de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclata
28 dans les vignes, à peine détachée du flanc de la colline pour que les vents ne l’emportent pas, un beau nid de poète : car dem
29 nulle part qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si d
30 savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes e
31 de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanch
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
32 ce, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce som
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
33 te ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines , secrète sous un voile de brume bleue, dans une grande paix. Vue de l
34 ville s’éveille et s’aère. Je me mets à gravir la colline parmi le bourdonnement des buissons qui surplombent un sentier rapide
35 ée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand ciel doux. Une atmosphère de réflexi
36 n corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines , il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdemen
37 La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les collines . Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qu
38 r.) 30 juin 1929 Hier soir sur la route des collines , pendant une promenade d’après dîner avec mes hôtes, nous parlions de
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
39 utre, disparaissait, reparaissait, contournait la colline de Wassen surmontée d’une église blanche, montait encore par des lace
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
40 mes amis : là, dans ces arbres, au pied de cette colline , j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce qui atteint chez nous à l
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
41 de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines , sont le cadre qui donne au tableau sa signification privilégiée. Ici
42 tre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers.
43 laton, lac de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de
44 ’autre rive. Elle caresse en passant l’épaule des collines , elle monte, elle embrase longtemps d’une sereine incandescence les A
18 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
45 ses jardins d’agrément et le large cercle de ses collines et de ses pentes habitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des
19 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
46 aies. Au sud, on voit un coin de plaine entre des collines longues, aux olivettes étagées, quelques cyprès en silhouette sur les
47 d nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline du sud, où nous pourrons acheter une provision d’« œillades ». C’est
48 sage de primitifs italiens. Le mas au flanc de la colline , déjà dans l’ombre, paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la
49 des Cévennes grises au nord jusqu’à l’horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques cheminées d’usin
20 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
50 e grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, le triangle de plaine bl
51 moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et les lointains
52 . Un nouveau faisait son apparition au haut de la colline . Simard et moi leur avons lancé quelques pierres, pour voir. Ils s’él
53 et comme démesuré dans ce paysage de vallons, de collines et de petits sommets rocheux. Soudain la girouette fait entendre un l
21 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
54 ttes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeuner, on dominait tout un canton
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
55 ttes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeuner, on dominait tout un canton
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
56 aies. Au sud, on voit un coin de plaine entre des collines longues aux olivettes étagées, quelques cyprès en silhouette sur les
57 d nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline du sud, où nous pourrons acheter une provision d’« œillades ». C’est
58 sage de primitifs italiens. Le mas au flanc de la colline , déjà dans l’ombre, paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la
59 des Cévennes grises au nord jusqu’à l’horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques cheminées d’usin
60 e grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, ce triangle de plaine bl
61 moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et les lointains
62 . Un nouveau faisait son apparition au haut de la colline . Simard et moi leur avons lancé quelques pierres, pour voir. Ils s’él
63 et comme démesuré dans ce paysage de vallons, de collines et de petits sommets rocheux. Soudain la girouette fait entendre un l
24 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
64 mat. Au-dessus du palais de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclata
65 dans les vignes, à peine détachée du flanc de la colline (pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car d
25 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
66 uni de cette vallée d’ombre jusqu’aux éternelles collines de la paix. » Plusieurs dizaines de millions d’hommes entendaient cet
26 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
67 es rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines oublie la guerre, oublie l’Europe. Dans quatre jours, nous embarquons
27 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
68 evient petit avion luisant au cirque lumineux des collines , et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre rive, la cloche du
69 « Sommet du Monde », parce qu’il s’étend sur une colline dominant le lac aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un
28 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
70 il adviendra du Fou à mesure qu’il traversera les collines , vallées et montagnes indiquées dans le fond de cette carte, jusqu’à
29 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
71 es rues débouchant sur le ciel, la ville aux sent collines renie la guerre, oublie l’Europe. Dans quelques heures nous embarquon
30 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
72 monde : St-Jean-de-Dieu, édifiée au sommet d’une colline de granit dominant Manhattan. C’est le siège de l’évêque anglican de
31 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
73 ouce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline , nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonn
32 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
74 ibles. Les rues montent et tournent, épousant les collines . Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours d
75 égards.) Le paysage pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments de
76 ouce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline , nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonn
33 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
77 utre, disparaissait, reparaissait, contournait la colline de Wassen surmontée d’une église blanche, montait encore par des lace
34 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
78 es rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines renie la guerre, oublie l’Europe. Demain nous embarquons pour l’Améri
35 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
79 ibles. Les rues montent et tournent, épousant les collines . Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours d
36 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
80 x noter que ce violet bruni du cirque immense des collines , piquées de villas au soleil, par-dessus le dos gris d’un cheval qui
81 s du Sud. C’était au-dessus de la ville, dans ces collines pointues, frisées de pins, de palmiers et de cascades, comme on en vo
37 1946, Journal des deux mondes. Virginie
82 ouce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline , nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonn
38 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
83 evient petit avion luisant au cirque lumineux des collines et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre rive, la cloche du
84 « Sommet du Monde », parce qu’il s’étend sur une colline dominant le lac aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un
85 égards.) Le paysage pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments de
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
86 rne, plante des arbres, espace des villas sur ses collines , s’aère et redevient une ville à la campagne ; du même coup, un centr
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
87 unis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète
88 mat. Au-dessus du palais de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la basilique élève une coupole d’ocre éclata
89 dans les vignes, à peine détachée du flanc de la colline , pour que les vents ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nou
90 nulle part qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si d
91 savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes e
92 de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanch
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
93 ce, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce som
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
94 te ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines , secrète sous un voile de brume bleue, dans une grande paix. Vue de l
95 ille s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi le bourdonnement des buissons qui surplombent un sentier rapide
96 ée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand ciel doux. Une atmosphère de réflexi
97 n corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines , il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdemen
98 La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les collines . Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qu
99 r.) 30 juin 1929 Hier soir sur la route des collines , pendant une promenade d’après dîner avec mes hôtes, nous parlions de
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
100 e, Vérone en fin d’après-midi au pied des longues collines piquées de villas claires et d’éclats du couchant sur une fenêtre, ju
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
101 ttes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeuner, on dominait tout un canton
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
102 aies. Au sud, on voit un coin de plaine entre des collines longues aux olivettes étagées, quelques cyprès en silhouette sur les
103 d nous a indiqué une ferme, de l’autre côté de la colline du sud, où nous pourrons acheter une provision d’« œillades ». C’est
104 aysage de primitif italien. Le mas au flanc de la colline , déjà dans l’ombre, paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la
105 des Cévennes grises au nord jusqu’à l’horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques cheminées d’usin
106 e grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, ce triangle de plaine bl
107 moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et les lointains
108 . Un nouveau faisait son apparition au haut de la colline . Simard et moi leur avons lancé quelques pierres, pour voir. Ils s’él
109 et comme démesuré dans ce paysage de vallons, de collines et de petits sommets rocheux. Soudain la girouette fait entendre un l
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
110 utre, disparaissait, reparaissait, contournait la colline de Wassen surmontée d’une église blanche, montait encore par des lace
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
111 es rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines renie la guerre, oublie l’Europe. Demain nous embarquons pour l’Améri
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
112 ibles. Les rues montent et tournent, épousant les collines . Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours d
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
113 x noter que ce violet bruni du cirque immense des collines , piquées de villas au soleil, par-dessus le dos gris d’un cheval qui
114 s du Sud. C’était au-dessus de la ville, dans ces collines pointues, frisées de pins, de palmiers et de cascades, comme on en vo
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
115 d’ardoise, grosses pierres grises, sur une petite colline entourée d’un ruisseau, piquée de saules pleureurs et de chênes dorés
116 ouce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline , nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonn
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
117 evient petit avion luisant au cirque lumineux des collines , et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre rive, la cloche du
118 « Sommet du Monde », parce qu’il s’étend sur une colline dominant le lac aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un
119 égards.) Le paysage pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments de
52 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
120 nde : Saint-Jean de Dieu, édifiée au sommet d’une colline de granit dominant Manhattan. C’est le siège de l’évêque anglican de
121 uni de cette vallée d’ombre jusqu’aux éternelles collines de la paix. » Plusieurs dizaines de millions d’hommes entendaient cet
53 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
122 de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines , sont le cadre qui donne au tableau sa signification privilégiée. Ici
123 tre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers.
124 laton, lac de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de
125 ’autre rive. Elle caresse en passant l’épaule des collines , elle monte, elle embrase longtemps d’une sereine incandescence les A
54 1948, Suite neuchâteloise. I
126 mes amis : là, dans ces arbres, au pied de cette colline , j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce qui atteint chez nous à l
55 1948, Suite neuchâteloise. VII
127 de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines , sont le cadre qui donne au tableau sa signification privilégiée. Ici
128 tre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers.
129 laton, lac de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de
130 ’autre rive. Elle caresse en passant l’épaule des collines , elle monte, elle embrase longtemps d’une sereine incandescence les A
56 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
131 nt non plus de petits États que divisent quelques collines , mais des continents que les océans séparent. » Pourquoi ne pas le di
57 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
132 mes dispersés sur des 40 000 kilomètres carrés de collines et de montagnes ; sept absolument indépendantes l’une de l’autre, dép
58 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
133 sur un paysage de plateaux nordiques et rhénans — collines où montent les sapins en bataillons noirs et pensifs, s’arrêtant au s
59 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
134 mille mètres au-dessous de nous, arbres, maisons, collines , perdent le seul relief où pouvait s’attacher l’amour. Notre émotion
60 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
135 sur un paysage de plateaux nordiques et rhénans, collines où montent les sapins en bataillons noirs et pensifs, s’arrêtant au s
61 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
136 nt non plus de petits États que divisent quelques collines , mais des continents que les océans séparent. Elle prendrait la tête
62 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
137 sciences du comportement. Un club-house domine la colline  : restaurant, salles de réunions, piscine, en style champêtre ultramo
138 ggestions d’une pertinence parfaite. Je visite la colline avec Abe Lerner, économiste barbu qui compose des « mobiles » à temps
63 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
139 odorante au bord d’un lac ou au cœur du pays des Collines . Une matinée près des glaciers ruisselants de lumière et d’eaux vives
140 aies, glissant en silence dans la pluie entre les collines , les usines, les châteaux, les quartiers modernes d’une ville indéfin
64 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
141 une place de bourg médiéval ou sur un horizon de collines boisées et de vergers en fleurs auprès d’un lac qui virent la fuite d
65 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
142 débouché vers Zurich et la Souabe. À l’ouest, les collines et vallées de l’Obwald et du Nidwald dominent l’autre extrémité du la
66 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
143 a fait construire une vaste église baroque sur la colline qui surplombe son château. Stucs bleu-vert et blancs couvrant la voût
144 Trogen, — petit village au cœur d’un haut pays de collines chauves semées de chalets aux toits pointus, aux fenêtres minuscules
67 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
145 sur un paysage de plateaux nordiques et rhénans —  collines où montent les sapins en bataillons noirs et pensifs s’arrêtant au so
146 erre et de métal, d’usines blanches aux creux des collines , et d’églises où le « mystère » gothico-romantique fait place à des a
147 n’ôte rien à sa taille.) À côté de lui, quelques collines et d’étranges accidents de terrain composent un paysage aux charmes p
68 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
148 odorante au bord d’un lac ou au cœur du pays des collines . Une matinée près des glaciers ruisselants de lumière et d’eaux vives
149 aies, glissant en silence dans la pluie entre les collines , les usines, les châteaux, les quartiers modernes d’une ville indéfin
69 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
150 diévales édifiées sur un camp romain autour de la colline de la Habsbourg, où confluent dans ses eaux la Limmat et la Reuss, to
70 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
151 nnes » prennent et reprennent « des crêtes et des collines qui aboutissent au gracieux mamelon des Cyprès, rendu pour jamais cél
71 1972, Articles divers (1970-1973). Le sort de l’an 2000 se joue dans nos écoles (mars 1972)
152 aussi manifeste ? (On sait que l’Oural, chaîne de collines et petit fleuve affluent de la Volga, en tous points comparables à la
72 1972, Articles divers (1970-1973). Je rentrais de l’espace… (27-28 mai 1972)
153 ille. Il ne parlait que du Plateau, ce « Pays des Collines  », comme disent les Suisses alémaniques, qui va du Léman au Bodan, et
154 s’est développé soit à partir d’un château sur sa colline , soit autour d’une place principale. Quand le château forme le centre
73 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
155 tout, sauf une séparation : une petite chaîne de collines , traversée par un affluent de la Volga, et qui est maintenant le cœur
74 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
156 s’est développé soit à partir d’un château sur sa colline , soit autour d’une place principale. Quand le château forme le centre
75 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
157 ogrès matériel, quantitatif, détruisant forêts et collines , ou cette sensation de bonheur animique et physiologique, que rien ne
76 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
158 rtemberg, 30 juin 1929 Hier soir sur la route des collines , pendant une promenade d’après dîner avec mes hôtes, nous parlions de
77 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
159 ogrès matériel, quantitatif, détruisant forêts et collines , ou cette sensation de bonheur animique et physiologique, que rien ne
78 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
160 e l’avenir le moins vulnérable. Taizé De la colline clunisienne rayonne à bas bruit sur le Monde le message de la Réconci
79 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
161 ment gaullienne ? (On sait que l’Oural, chaîne de collines et de montagnes peu élevées et petit fleuve affluent de la Volga, en