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’on a souvent peine à croire que l’enjeu de cette
compétition
soit tout à fait pris au sérieux par les électeurs. Pourtant personne
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quelques-uns qui le savaient étaient exclus de la
compétition
par leur science même : on exigeait l’innocence de l’âme. Quant au pe
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quelques-uns qui le savaient étaient exclus de la
compétition
par leur science même : on exigeait l’innocence de l’âme. Quant au pe
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ue chacun prouve la justesse de sa cause dans une
compétition
pacifique. Une compétition pacifique entre hommes également convainc
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de sa cause dans une compétition pacifique. Une
compétition
pacifique entre hommes également convaincus : si cette offre est auss
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on. On ne court plus que le risque normal d’une «
compétition
pacifique ». Il est temps de courir le risque de la paix ! Soyons fra
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oint. Ce mélange de plébiscite et de rugby, cette
compétition
plus sportive que proprement politique et qui finit par des échanges
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générale, se verrait rapidement liquidée dans la
compétition
impitoyable désormais instaurée à l’échelle planétaire. Une aide puis
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pour cela — et sont régulièrement battus dans la
compétition
mondiale du xxe siècle, puisqu’elle a pour enjeu principal les espri
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e, si importantes pour maintenir l’Europe dans la
compétition
mondiale, que nous rencontrons la nécessité de formes d’enseignement
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nérale, se verraient rapidement liquidées dans la
compétition
impitoyable qui s’instaure à l’échelle planétaire. Nous voyons mainte
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N’importe qui, observant le déroulement de cette
compétition
, peut donc juger quel est le meilleur des deux systèmes. » Ce que K.
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iction entre la politique de coexistence (ou de «
compétition
pacifique ») et les déclarations prophétisant le triomphe rapide du c
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aires intérieures du voisin, s’en remettre à la «
compétition
pacifique » pour résoudre tous les conflits, c’est le libéralisme du
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continent — quand ils auront « gagné » dans cette
compétition
— la grande idée que vous proposera M. Lippmann pour réveiller vos én
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1959). Or le Kommunist (Moscou) déclare que « la
compétition
pacifique suppose un débat idéologique ». Et il ajoute sèchement : «
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s, distinguant par décret (anathème à l’appui) la
compétition
pacifique et la lutte idéologique. Si la lutte idéologique n’est plus
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générale, se verrait rapidement liquidée dans la
compétition
impitoyable désormais instaurée à l’échelle planétaire. Une aide puis
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, à l’industrie, au zèle opiniâtre, à l’esprit de
compétition
que l’homme puise dans la rivalité —, l’art suprême qui surpasse tous
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ssemblement de forces diverses, équilibrées ou en
compétition
dans un même lieu. La réponse, c’était le public présent, de bons jug
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édition, des centres de recherches, des prix, des
compétitions
diverses. Toutes choses qui sont chères, toutes choses qui ne rapport
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n Dostoïevski et un Kafka ou de l’arrière-plan de
compétition
sociale chez un Balzac et un Stendhal. Ces traits sont protestants, p
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ure de tenir une place plus qu’honorable dans une
compétition
continentale où l’arme secrète sera la matière grise. Elle le doit sa
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avaient été créés par les États nationalistes en
compétition
brutale, et que leur liquidation a seule permis le rapprochement des
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sme veut la diversité, la pluralité des forces en
compétition
, et loin de fuir devant la complexité du réel, il la respecte, il cro
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sme veut la diversité, la pluralité des forces en
compétition
, et loin de fuir devant la complexité du réel, il la respecte, il cro
27
lutions qui aurait le moins de chances dans cette
compétition
. ⁂ Les raisons qui nous ont fait retenir la solution fédéraliste comm
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ges en Occident. Que deviendra dans cette immense
compétition
le christianisme ? Sa prétention fondamentale et dogmatique à représe
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io-télévisions, ne pourront affronter les grandes
compétitions
de cette fin du xxe siècle que dans la mesure où elles sauront group
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z Thomas Hardy, ou de l’arrière-plan de fanatique
compétition
sociale chez un Balzac, un Stendhal ou un Proust. Ces traits de discr
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nérale, se verraient rapidement liquidées dans la
compétition
impitoyable qui s’instaure à l’échelle planétaire. La question qui se
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s l’avidité de consommation intoxicante ; vers la
compétition
éthique plutôt que financière, ou militaire, ou nationale ; et vers l
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’y a entre eux aucune différence à cet égard. Une
compétition
acharnée de ce genre ne peut conduire qu’à la guerre. Elle est inévit
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éresse aux voitures automobiles que par esprit de
compétition
. L’idée d’aller plus vite amuse l’Américain. Ford, sans plaisir, déci
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ssement au rythme des machines, et la manie de la
compétition
— vitesse, mode, ou prix — qui accentue les traits psychologiques les
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ire d’empoigne, et c’est l’économie fondée sur la
compétition
; la Cellule de base, ce « chassé-croisé de mensonges » qui serait (s
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d’automation, d’un minimum de 4000 emplois ; — la
compétition
dans l’industrie automobile amènera les Européens à diminuer de moiti
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30 000 fois seulement. Quel est le sens de cette
compétition
? D’où la faiblesse frappante des motivations que l’on observe dans n
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s’est désormais emparé de la grande majorité des
compétitions
internationales, des JO en particulier. Précisément, que pensez-vous
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telle, ne sera jamais compétitive ». L’esprit de
compétition
relève de l’individu, sans doute, et pas de la personne. Il se tradui
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e traduit donc aussi directement par un esprit de
compétition
entre les États-nations ? Oui, c’est exactement ce que je pense. La c
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tions ? Oui, c’est exactement ce que je pense. La
compétition
relève de ce qui n’est pas la vocation. À ce sujet, il ne faut pas s’
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ire l’organisation militaire de l’État-nation, la
compétition
pour la croissance économique à la recherche du PNB le plus élevé) ou