1 e laissaient même plus espérer une possibilité de concordat . Déjà les dictatures réglaient les comptes. « Lorsque j’entends parle

2 esprit ne laissaient même plus une possibilité de concordat . Déjà les dictatures réglaient les comptes. « Lorsque j’entends parle

3 pour l’Europe un statut sursitaire, une espèce de concordat qui nous laisserait la possibilité de rebâtir. Mais on n’accorde un c

4 t la possibilité de rebâtir. Mais on n’accorde un concordat qu’à celui qui se déclare en faillite. L’aveu suppose un sens des val

5 pour l’Europe un statut sursitaire, une espèce de concordat qui nous laisserait la possibilité de rebâtir. Mais on n’accorde un c

6 t la possibilité de rebâtir. Mais on n’accorde un concordat qu’à celui qui se déclare en faillite. L’aveu suppose un sens des val

7 esprit ne laissaient même plus une possibilité de concordat . Déjà les dictatures réglaient les comptes. « Lorsque j’entends parle

8 esprit ne laissaient même plus une possibilité de concordat . Déjà les dictatures réglaient les comptes. « Lorsque j’entends parle

9 à mort la Nature ou conclure avec elle un nouveau concordat  ? — Assurer la puissance de l’État ou favoriser les échanges ? — Réun

10 a nature ou conclure un nouveau pacte, un nouveau concordat avec elle. Voilà le type de ce grand dilemme. Ou bien produire toujou