1 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
1 opéen de neutralité, et notre statut intérieur de confédération de cantons, découlent des conséquences précises dans les ordres les p
2 du canton ; les droits des cantons et ceux de la Confédération  ; les droits de la Suisse et ceux de l’Europe ; images et conséquence
3 ut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
4 ir (juin 1938)a La mission historique de notre Confédération , c’est de garder libres pour tous, les cols du centre de l’Europe ; m
5 s. Or il se trouve que la devise antique de notre Confédération est précisément la devise du personnalisme véritable, l’affirmation i
6 même vingt-deux petites nations. Nous sommes une Confédération de communautés régionales. C’est dans la mesure où nous voulons reste
3 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
7 a négation la plus radicale des bases mêmes de la Confédération . Souvenons-nous du sort de l’Autriche ! Si ce pays a succombé, ce n’e
4 1939, Tapuscrits divers (1936-1947). Pour une « Suisse chrétienne » (1939)
8 ociales et économiques indispensables pour que la Confédération puisse être qualifiée d’État chrétien. La seconde tendance, au contra
5 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
9 rrespondant à la structure communautaire de notre Confédération et de chacun de nos cantons. J’essaierai de concrétiser ce point de v
6 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
10 droit juré, dans la guerre comme dans la paix, la Confédération sera perdue. Notre salut est dans le Pacte que nous avons conclu au n
7 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
11 agnent, croyez-moi, ce sera la fin de notre libre Confédération . Un ouvrier. —  La fin de notre Confédération à cause de ces deux
12 Confédération. Un ouvrier. —  La fin de notre Confédération à cause de ces deux sièges-là ? Alors quoi ? Foutons-les par terre !
13 Une dernière fois, je vous adjure… salut de notre Confédération  ! (Sa voix est couverte par les cris.) Cris des compagnons. —  Ass
14 rère Claus, ce jour sera le dernier jour de notre Confédération . Et les clochers sonneront jusqu’à toi le tocsin de la guerre civile.
15 s cœurs. Moyennant quoi nous acceptons dans notre Confédération les bonnes villes de Fribourg et de Soleure. Les députés doivent empo
16 du Dieu Tout-Puissant ayant établi dans toute la Confédération la paix, le calme et l’unité par ton conseil et ton intervention, tu
17 ment associés dans une éternelle union à toute la Confédération . De quoi nous rendons grâce à Dieu et à toute la Cour céleste, ainsi
8 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
18 principale force morale et politique de toute la Confédération . Deux faits surtout méritent de nous retenir, dans ce bref memento bi
19 près tout, si Nicolas est l’un des Pères de notre Confédération , c’est à son action qu’il le doit. S’il n’avait été qu’un ascète, nou
9 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
20 uisses. Elle est encore le grand symbole de notre Confédération et de sa mission en Europe. Plus que jamais, dans ces heures sérieuse
10 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
21 vertement. C’est le moment de proclamer que notre Confédération ne pourra vivre que si les citoyens les plus conscients de sa mission
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
22 pouvons plus nous contenter de déclarer que notre Confédération fut « autrefois » voulue par Dieu, il nous faut nous demander, mainte
12 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
23 seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération reste fondée sur la fidélité à la parole jurée, le nom l’indique, et
13 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
24 ropéen de neutralité et notre statut intérieur de confédération de cantons, découlent des conséquences précises dans les ordres les p
25 du canton ; les droits des cantons et ceux de la Confédération  ; les droits de la Suisse et ceux de l’Europe ; images et conséquence
26 ut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité
14 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
27 pouvons plus nous contenter de déclarer que notre Confédération fut autrefois voulue par Dieu. Il nous faut nous demander maintenant
28 seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération reste fondée sur la fidélité à la parole jurée, le nom l’indique, et
29 un petit plaisir ! Ainsi le fondement même de la Confédération est sa mission européenne. 33. En Russie, évidemment, chère Anastasi
15 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
30 es guerres de Villmergen, au xviiie siècle —, la Confédération sera capable d’intégrer et des « races » et des langues nouvelles : c
31 Pacte fameux de 1291, qui fonde officiellement la Confédération . Cette confédération primitive, nous l’avons vue s’accroître organiqu
32 qui fonde officiellement la Confédération. Cette confédération primitive, nous l’avons vue s’accroître organiquement par un jeu d’al
33 tituant l’État fédératif. Pendant des siècles, la Confédération n’a donc point de centre légal, de capitale, ni de constitution. Elle
16 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
34 urd’hui, comme aux heures héroïques de l’ancienne Confédération , sachons voir et saisir notre chance et les chances nouvelles de l’Es
35 même si le pire arrive. Au cœur physique de notre Confédération se dresse le massif du Gothard, mystérieux et inexpugnable. Bastion n
17 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
36 tements le temps de gouverner. Le président de la Confédération ne doit plus être en même temps chargé d’un département. Il est contr
18 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
37 , ce premier jour d’une année décisive pour notre Confédération . ao. Rougemont Denis de, « L’heure de la Suisse », Le Semeur vaudo
19 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Blind alley of Europe (1941)
38 présente une démocratie réelle et acceptable : la confédération des cantons suisses ; au-delà de l’Europe, qu’un seul État qui représ
39 t qui représente un espoir de force libérale : la confédération des USA. Blind alley. Tout est remis en question. Dans les camps d’in
20 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
40 les US que pour le Commonwealth britannique ou la Confédération suisse. Mais dans ce dernier cas, il est particulièrement aisé de les
41 rres civiles et religieuses du xviii e siècle, la Confédération sera capable d’intégrer et des races et des langues nouvelles : c’est
42 pacte fameux de 1291, qui fonde officiellement la Confédération . Cette confédération primitive, nous l’avons vue s’accroître organiqu
43 qui fonde officiellement la Confédération. Cette confédération primitive, nous l’avons vue s’accroître organiquement par un jeu d’al
44 tituant l’État fédératif. Pendant des siècles, la Confédération n’a donc point de centre légal, de capitale, ni de constitution. Elle
21 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). Le miracle suisse (1942)
45 stes qui qualifient depuis six siècles et demi la Confédération helvétique. De son côté, le gouvernement n’avait pas moins précisémen
46 es droits d’empire furent l’origine précise de la Confédération helvétique. La Suisse est née pour garder le centre de l’empire, au n
47 suisse. Il symbolise la fonction politique de la Confédération , mais il est en même temps le bastion le plus formidable de l’Europe.
48 e vous savez. Seuls, les 25 petits États de notre confédération l’ont toujours refusé. Les frontières de nos cantons sont ouvertes ;
22 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
49 alisme plus ou moins accentué selon les nations : Confédération helvétique, Provinces-Unies des Pays-Bas, Commonwealth britannique, É
23 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
50 n. Nous ne sommes pas une nation, nous sommes une confédération , donc bien préparés et prédisposés pour une mission de ce genre. Deni
24 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
51 venir et qui détermineront le cours du siècle, la Confédération américaine et la Confédération soviétique, sont aujourd’hui ceux qui
52 ours du siècle, la Confédération américaine et la Confédération soviétique, sont aujourd’hui ceux qui paraissent craindre le plus l’i
25 1947, Tapuscrits divers (1936-1947). Il y a aussi des gens en Suisse (15 mai 1947)
53 n canton, d’un des 22 petits États qui forment la Confédération . Bismarck disait que le Bavarois était un être intermédiaire entre l’
26 1947, Articles divers (1946-1948). Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont (30-31 août 1947)
54 soir, ce qui étonne tous les historiens de notre Confédération , c’est justement l’extrême rapidité avec laquelle la Constitution de
27 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
55 rès dans une expérience bien connue : celle de la Confédération helvétique. Toutefois, je ne puis éviter de poser au départ quelques
56 pouvoir. Ce qui étonne tous les historiens de la Confédération helvétique, c’est justement l’extrême rapidité avec laquelle la Const
57 maniques et par les Suisses romands. En allemand, confédération se dit Bund, qui signifie union, et qui évoque avant tout l’idée de c
28 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
58 rès dans une expérience bien connue : celle de la Confédération helvétique. Toutefois, je ne puis éviter de poser au départ quelques
59 uvoir. Ce qui étonne tous les historiens de notre Confédération , c’est justement l’extrême rapidité avec laquelle la Constitution de
60 maniques et par les Suisses romands. En allemand, confédération se dit Bund, qui signifie union, et qui évoque avant tout l’idée de m
29 1948, {Title}. « Cher lecteur britannique, je connais bien votre prudence… » (automne 1948)
61 eurs ont été déterminants pour la formation de la Confédération helvétique, il y a cent ans. Il est frappant de les retrouver, identi
30 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Europe en marche (21 février 1949)
62 ope se fait, pourquoi nous devons tous vouloir la confédération européenne. Voici la situation, dans ses grandes lignesb.   La guerre
31 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le pacte de l’Atlantique et la fédération européenne (21 mars 1949)
63 de, et renouvelant par le présent acte l’ancienne Confédération . Dans les deux pactes, il s’agit donc exactement de la même idée. Le
32 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
64 is. En voici le récit exact. Au début de 1848, la Confédération n’était qu’un Pacte d’alliance entre vingt‑cinq États absolument souv
33 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
65 is. En voici le récit exact. Au début de 1848, la Confédération n’était qu’un Pacte d’alliance entre vingt-cinq États absolument souv
34 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
66 ngt-cinq États souverains Au début de 1848, la Confédération n’était qu’un pacte d’alliance entre vingt-cinq États absolument souv
35 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
67 ’opposait, humainement, à la réalisation de cette confédération  ? Alors, pourquoi pas l’Europe ? Les Européens n’ont-ils pas des trad
68 s plus opposée à une fédération plus vaste que la Confédération des huit ou des treize cantons ne pouvait être opposée à celle des vi
36 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
69 plus belles œuvres de l’homme par là même, cette confédération . Cherchez, d’instinct, la « famille royale » qui « fit la Suisse ». V
70 e des plus belles œuvres de l’homme européen : la Confédération suisse. ⁂ Au fond, telle qu’elle est devenue, la Suisse n’est pas loi
71 la Suisse se reformerait. Ou plus exactement, la Confédération se reconstituerait comme elle s’est constituée : par le lien fédéral.
72 lée de l’Inn. De « question des langues » dans la Confédération , il n’y en a point, et jamais la majorité alémanique n’a pensé à fair
37 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
73 els scolaires donnent pour date de naissance à la Confédération helvétique le 1er août 1291. Ce jour-là fut signé le Pacte qui liait
74 de, et renouvelant par le présent acte l’ancienne confédération  ; le tout sans préjudice des services que chacun, selon sa condition,
75 joué un rôle capital dans le développement de la Confédération . Il n’en est pas de plus fréquemment citée dans les discours, manuels
76 est resté le document sacré par excellence de la Confédération . Une abondante imagerie populaire perpétue jusqu’à nos jours dans les
77 nir de trois députés des cantons fondateurs de la Confédération , croisant leur main gauche tandis qu’ils lèvent la droite vers le cie
78 aît en germe dès les premiers traités auxquels la Confédération actuelle puisse faire remonter ses origines. L’intérêt immédiat des W
79 ne de la Suisse peut écrire : La naissance de la Confédération et sa défense victorieuse constituent dans les annales du bas Moyen Â
80 entielle de rendre cet événement intelligible. La Confédération suisse est le seul mouvement qui ait survécu au combat pour l’idée dé
81 troisième les Grisons, au sud-est. Vers 1500, la Confédération se composait de treize cantons souverains, flanqués de nombreux allié
82 le plus un moderne, dans l’histoire de l’ancienne Confédération , c’est la force de l’esprit communautaire qui seul put permettre à ce
83 r à l’appui de cette thèse ; mais l’exemple de la Confédération la réfute, et du point de vue fédéraliste il nous paraît plus conclua
84 à mesure que le sens de la mission spéciale de la Confédération s’atténuait, cet égalitarisme, autrefois vital, dégénérât peu à peu e
85 e de la Réformation vit la plus grave crise de la Confédération , en même temps que sa plus grande gloire. Quelques individualités mon
86  le pieux homme, Frère Claus » vient de sauver la Confédération . Toute alliance étrangère sera désormais interdite aux cantons, les v
87 e. Mais son succès même eût signifié la fin de la Confédération . Car un État puissant, centré sur le Gothard, eût été une menace perm
88 uvoir fort et unifié. Or, depuis deux siècles, la Confédération avait su vivre sans capitale ni centre légal, et sans autre constitut
89 pied — fut le dernier fait d’armes de l’ancienne Confédération . Le crépuscule sanglant de Marignan marque la fin du rêve héroïque de
90 usent parfois Zwingli d’avoir brisé l’essor de la Confédération , son élan vers la mer et l’aventure. En vérité, Zwingli et sa Réforme
91 t religieux le plus important non seulement de la Confédération , mais de toute l’Allemagne du Sud. Par malheur, Luther refusa de s’en
92 peu à peu la France, le Danemark et Venise. Cette confédération européenne eût été capable, pensait Zwingli, d’abattre la dynastie de
93 inaugure une période d’expansion spirituelle. La Confédération s’est stabilisée, elle a conquis le respect des puissances. Que va-t-
94 e à les exporter par régiments, littéralement. La Confédération ne pouvait plus participer aux luttes des Puissances puisqu’elle étai
95 épendance, l’inviolabilité et la neutralité de la Confédération comme étant « dans les vrais intérêts de la politique de l’Europe ent
96 se, tout devait concourir à assurer à la nouvelle Confédération une stabilité exceptionnelle. La Constitution de 1848 fut adaptée sa
97 oblème des droits respectifs des cantons et de la Confédération . Les partis de droite représentaient la tendance régionaliste — abusi
98 s passions politiques n’ébranla pas l’unité de la Confédération , pas davantage en tout cas qu’une campagne électorale ne divise les É
99 éclatant au rôle supranational qu’avait assumé la Confédération depuis les temps lointains du Saint-Empire. Il semblait que l’histoir
100 ndir, qui caractérise la politique générale de la Confédération , peut être ramené à des raisons nettement intéressées et témoignant d
101 ns citadins et campagnards n’avaient contraint la Confédération à une politique de repliement et de resserrement territorial. De même
102 i avait pourtant plébiscité son rattachement à la Confédération , et ce refus semblait motivé beaucoup moins par une sagesse à longues
103 le Gothard et son rôle décisif à l’origine de la Confédération . Celle-ci reste une grand-garde montée perpétuellement autour du cœur
38 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
104 st à la base non seulement des relations entre la Confédération et les cantons, mais encore des rapports entre le gouvernement canton
105 s l’origine, comme le prouve le Pacte de 1291, la Confédération a admis le principe de l’autonomie de la commune. Les trois communaut
106 ent jamais que leurs cantons sont antérieurs à la Confédération , qui a résulté de leurs alliances progressivement resserrées. Mais il
107 celles des cultures ne sont pas même celles de la Confédération . C’est dans le jeu ménagé entre ces éléments, dans la tolérance néces
108 ’il respire. De la souveraineté cantonale à la Confédération La structure politique de la plupart des cantons telle qu’on vient
109 r deux maîtres, être tour à tour les hommes de la Confédération et les hommes du canton… Il n’est, ce me semble, aucun motif de conse
110 tte espérance que dans un nouveau Pacte, dans une Confédération plus solide, doit se trouver le remède aux maux qui affligent la patr
111 ale, pouvoir législatif et autorité suprême de la Confédération , est composée de deux Chambres : le Conseil national, représentant le
112 torité directoriale et exécutive supérieure de la Confédération est exercée par un Conseil fédéral composé de sept membres », dit l’a
113 d’entre eux est élu chaque année président de la Confédération . Il ne peut exercer cet office deux années de suite, et la coutume s’
114 n aime à souligner le fait que le président de la Confédération n’est, en somme, qu’un primus inter pares. À la vérité, le pouvoir, e
115 nt collégial, qu’il s’agisse des cantons ou de la Confédération . Les décisions importantes du gouvernement émanent du Conseil fédéral
116 l connaît essentiellement des différends entre la Confédération , d’une part, et les cantons ou les corporations, d’autre part. Les ci
117 députés devant la centralisation croissante de la Confédération . Certes, l’autonomie des cantons n’est mise en question par personne.
118 même temps qu’une révision partielle offrant à la Confédération de nouvelles possibilités de légiférer en matière économique et socia
119 1. 8. Adolf Gasser, « Démocratie et fédéralisme. Confédération , canton, commune », in La Démocratie suisse, 1948, p. 135. Cf. du mêm
39 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
120 À partir de 1848, l’unification économique de la Confédération étant acquise, l’industrie prend son plein essor, aux dépens de l’agr
121  — provient des polices conclues à l’étranger. La Confédération elle-même protège et réglemente le régime des assurances, exerce un c
40 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
122 ement négligée. Depuis une vingtaine d’années, la Confédération exige une certaine uniformisation des règlements de baccalauréat. Un
123 aissance33. La Constitution de 1848 autorisait la Confédération à « établir une Université et une école polytechnique ». Il est remar
124 et Berne, allemandes. Si, dans ces conditions, la Confédération avait pu créer l’« Université suisse » prévue par la Constitution, l’
125 e milices. La Constitution fédérale interdit à la Confédération le droit d’entretenir des troupes permanentes (art. 13). Il en résult
41 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
126 de combourgeoisie. Elle ne fait pas partie de la Confédération des XIII cantons. Et l’œuvre du réformateur français qu’elle adopte v
127 ime de paix religieuse sous lequel vit l’actuelle confédération . ⁂ Lors du dernier recensement (1941), la population de la Suisse, ré
128 e libre exercice de tous les cultes dans toute la Confédération et supprima les entraves confessionnelles au libre établissement. Il
129 use historique très précise. Les fondateurs de la Confédération moderne, c’est-à-dire les radicaux, ont été conduits par le souci d’é
42 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
130 u de ce système de « prime à la minorité » que la Confédération a non seulement reconnu comme langue nationale le romanche (parlé par
131 radicalisme dans sa belle époque, président de la Confédération à plusieurs reprises, le Neuchâtelois Numa Droz écrivait au xixe siè
132 itique qui se termina par la transformation d’une confédération d’États vieille de cinq-cents ans, en un État fédératif ; développeme
133 l’esprit et le statut politique particulier de la Confédération  ? Nous en nommerons trois auxquelles nous attachons une importance pa
134 le dans le fait que, rattachés politiquement à la Confédération , ils ne réagissent pas politiquement comme des Français : leur démocr
135 ur vertu.47 Quant aux Tessinois, rattachés à la Confédération en 1803 seulement, après avoir été longtemps soumis à leurs « magnifi
136 le mieux exprimé la mission traditionnelle de la Confédération . Seuls, les Romanches constituent une minorité parfaitement autonome,
137 se réclament alternativement les deux groupes, la Confédération commettrait un suicide en épousant la cause de l’un ou de l’autre, pu
138 tent en Europe deux tendances grâce auxquelles la Confédération est devenue et restée ce qu’elle est : le fédéralisme et la neutralit
139 n fait, et dès la paix de Westphalie en droit, la Confédération s’était retirée des grandes luttes politiques européennes. Neutralité
140 olitique revenait chaque année au président de la Confédération et prenait ainsi, quelque peu, le caractère d’une charge honorifique.
141 l’échelle mondiale les principes formateurs de la Confédération , semble les renier ou les ignorer en fait comme en droit. À tort ou à
43 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
142 mmune, expliquent la chute soudaine de l’ancienne confédération devant les armées de la Révolution française, en 1798. L’essai d’unif
143 présente alliance… forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. — Les cantons sont souverains en tant que leur sou
144 pas délégués au Pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire, la souveraineté dans les limite
44 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
145 présente alliance… forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. — Les cantons sont souverains en tant que leur so
146 pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire, la souveraineté dans les limite
147 nt réclamer, au lieu de la fédération, une simple confédération , croyant dissimuler derrière ce petit préfixe leur qualité d’adversai
148 Rappelons-nous que la Suisse elle-même s’intitule Confédération  ! Eh bien, si l’on nous fait une Europe aussi réellement fédéraliste
149 e la Suisse, on pourra la nommer comme on voudra, Confédération , Alliance, ou même Ligue pour la protection des nationalismes intégra
45 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
150 es formules à réaliser (États-Unis, fédération ou confédération ), il resterait à savoir laquelle des trois méthodes a le plus de chan
46 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
151 ». am. Il s’agit d’un extrait de la préface à la Confédération helvétique , que Rougemont publie en 1953.
47 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
152 ommune expliquent la chute soudaine de l’ancienne Confédération devant les armées de la Révolution française, en 1798. L’essai d’unif
153 présente alliance… forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. — Les cantons sont souverains en tant que leur so
154 pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire, la souveraineté dans les limite
48 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
155 us les États européens, de la même manière que la Confédération helvétique a groupé en 1848 tous les cantons suisses. 5. La Suisse
49 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
156 r Assistenti Sociali, Rome ; Pierre du Pontavice, Confédération nationale de la famille rurale, Paris. bo. Rougemont Denis de, « Éd
50 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
157 en feront un jour quelque chose. Fédération ou confédération  ? À ceux qui ont coutume de poser cette question préalable, et qu’
158 es deux termes est une syllabe. Littré définit la confédération comme « l’union entre plusieurs États qui tout en gardant une certain
159 ances étrangères ». Et il donne pour exemple « la confédération des États-Unis ». Il définit ensuite la fédération comme « union poli
160 ’on choisit, du système suisse ou de son nom ? La Confédération helvétique est le type même d’une authentique fédération, et tous les
161 r préférer à la fédération (« cette utopie ») une confédération (« plus réaliste ») seraient bien en peine de dire en quoi ce qu’ils
51 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
162 ernier, sur la question de la fédération ou de la confédération . Il semble bien que les nationalistes soient aujourd’hui pour la prem
52 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
163 u 1er août 1291 comme celle de la naissance de la Confédération . Il y a là un étrange anachronisme. Car ce qui se produisit ce jour-l
164 rait pas. Que pouvait entreprendre, en effet, une Confédération qui ne disposait que de contingents militaires levés et entretenus, c
165 r deux maîtres, être tour à tour les hommes de la Confédération et les hommes du canton… Il n’est, ce me semble, aucun motif de conse
166 tte espérance que dans un nouveau Pacte, dans une confédération plus solide, doit se trouver le remède aux maux qui affligent la patr
167 résente alliance, … forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. Les cantons sont souverains en tant que leur souv
168 t pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. La Confédération garantit aux cantons leur territoire, leur souveraineté dans les limi
169 ieurs et reporte les douanes aux frontières de la Confédération , quitte à indemniser les cantons ; qu’elle uniformise les poids, mesu
170 devaient être exceptionnellement heureuses. « La Confédération suisse est le seul mouvement qui ait survécu au combat pour l’idée dé
171 st pas abstraite : elle exprime la vie même de la Confédération , et donne la formule générale de tous les débats qu’y soulèvent les q
172 Suisse, Neuchâtel, 1938 ; Denis de Rougemont, La Confédération helvétique , Paris, 1953 ; André Siegfried, La Suisse, démocratie tém
53 1959, {Title}. La Suisse, microcosme culturel de l’Europe (1959)
173 ulture suisse définie par les frontières de notre Confédération , telles qu’elles ont été établies en 1848. Nous savons bien que la cu
54 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
174 règne sacerdotal et impérial tout à la fois, une confédération de princes occidentaux se dessine vaguement dans l’ombre des intrigue
55 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
175 d’éternel. Elles ont commencé, elles finiront. La confédération , européenne, probablement, les remplacera. On connaît la célèbre pro
56 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
176 règne sacerdotal et impérial tout à la fois, une confédération de princes occidentaux se dessine vaguement dans l’ombre des intrigue
57 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
177 ue chrétienne » de Pierre Dubois est une sorte de Confédération , qui serait placée sous la direction d’un concile, dans lequel les di
178 porte ce titre en français : Traité d’alliance et confédération entre le roy Louis XI, Georges roy de Bohême et la seigneurie de Veni
179 l’Europe : il esquisse pour la première fois une Confédération continentale, limitant expressément les souverainetés nationales tout
180 de leur maison ou habitation… Les organes de la Confédération sont ensuite indiqués : Cour de justice ou Consistoire, Assemblée, en
58 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 4. « Têtes de Turcs »
181 respublica cristiana en Europe, c’est-à-dire une confédération antipapale et anti-impériale à la fois. De son côté, Vives dans un éc
182 hasser les Turcs de l’Europe. La Noue propose une confédération entre les princes chrétiens réunis à Augsbourg sous la présidence de
183 présidence de l’empereur : Ayant basti une telle confédération , il conviendrait encores passer outre et trouver des bons expediens p
59 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
184 ions catholique, luthérienne et calviniste. Cette Confédération d’États sera placée sous la garde d’un Conseil de l’Europe composé de
60 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 6. En marge des grands plans, l’utopie prolifère
185 D’où l’idée d’instituer deux grands groupes : une Confédération d’Occident, centrée sur la France, l’Angleterre et l’Espagne, et une
186 sur la France, l’Angleterre et l’Espagne, et une Confédération d’Orient, centrée sur la Russie, l’Autriche et le corps germanique. Q
187 entièrement neutre et deviendrait le siège de la Confédération d’Occident, tandis que Danzig serait le siège de celle d’Orient. Au
61 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
188 e ne l’est aujourd’hui. » 120. Vico entend : la confédération . Dans la Scienza Nuova prima (Œuvres, III, 1, 56) il n’avait imaginé
189 I, 1, 56) il n’avait imaginé rien de moins qu’une confédération comprenant toutes les nations unies comme en une grande ville du mond
62 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
190 d’un vrai corps politique, peut se changer en une confédération réelle. Rousseau, jusqu’ici, a exposé ses propres idées. Avant de pa
191 ordre de leurs souverains respectifs de signer la confédération générale que je suppose sommairement contenue dans les cinq articles
192 d’abord, et toutes celles du globe ensuite, à une confédération générale dont le but sera d’assurer à chacune d’elles la jouissance d
193 r du genre humain ? Qui ne voit, enfin, que cette confédération des nations et des sociétés qui habitent la terre représente l’unique
63 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 1. La Révolution française et l’Europe
194 u véritable principe de l’unité souveraine, de la confédération individuelle. Au nom — pour le moins paradoxal — de cette « confédér
195 e. Au nom — pour le moins paradoxal — de cette «  confédération individuelle », Cloots dépose en conclusion le Projet de décret suiva
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
196 es ; citons par exemple : la neutralité armée, la Confédération américaine, la Diète germanique, la Ligue helvétique. Pourquoi la fra
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
197 dans le système des États européens, parce que la confédération des États protestants se trouva renforcée par leur admission et qu’el
66 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 4. Napoléon et l’Europe
198 rand équilibre possible que l’agglomération et la confédération des grands peuples. Le premier souverain qui, au milieu de la premièr
67 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
199 ire. Le parlement aura le pouvoir de lever sur la confédération tous les impôts qu’il jugera nécessaires. Toutes les entreprises d’un
200 s. Le plus sûr moyen de maintenir la paix dans la confédération sera de la porter sans cesse hors d’elle-même, et de l’occuper sans r
201 montré que les principes sur lesquels reposera la confédération européenne, sont les meilleurs, les plus solides, les seuls capables
68 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
202 rainte par la Sainte-Alliance sous la forme d’une confédération d’États. Et quels seront les ennemis de cet Empire germano-catholiqu
69 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
203 t… Le même concept unitaire de l’Europe, sorte de confédération amphictionique des nations chrétiennes et dernière étape de ce proces
204 Europe, messieurs, elle l’exerçait au moyen de la Confédération germanique. Cette Confédération a été faite contre Paris, qui était l
205 it au moyen de la Confédération germanique. Cette Confédération a été faite contre Paris, qui était la cité révolutionnaire, la cité
206 tions restauratrices. Qu’en résulta-t-il ? Que la Confédération ne fut pas un empire comme elle eût pu l’être alors ; et elle ne fut
207 lemand et toutes les races allemandes réunies. La Confédération se composa donc de principautés microscopiques et de deux grandes mon
208 influence de la Russie, depuis la formation de la Confédération jusqu’à la révolution de février, s’est étendue de Saint-Pétersbourg
209 la poussière les couronnes, humilié les rois ; la Confédération germanique n’existe plus ; l’Allemagne aujourd’hui n’est plus qu’un c
210 mme ; en troisième heu, il faut que se réalise la confédération puissante de tous les peuples slaves sous l’influence et le protector
70 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
211 si j’ose ainsi dire, d’intensité, à mesure que la Confédération se développe par l’accession de nouveaux États. Dans les gouvernement
212 nitaire étant l’inverse du système fédératif, une confédération entre grandes monarchies, à plus forte raison entre démocraties impér
213 e ne leur donnera pas d’autre nom. … l’idée d’une confédération universelle est contradictoire. En cela se manifeste une fois de plus
214 déal. L’Europe serait encore trop grande pour une confédération unique : elle ne pourrait former qu’une confédération de confédératio
215 édération unique : elle ne pourrait former qu’une confédération de confédérations. C’est d’après cette idée que j’indiquais, dans ma
216 es cantonales qu’à la grande république qu’est la Confédération  — ont de grandes tâches vitales à accomplir, d’importance non seuleme
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
217 où chaque membre est inviolable. L’Europe est une confédération d’États réunis par l’idée commune de la civilisation. L’individualité
218 d’éternel. Elles ont commencé, elles finiront. La confédération européenne, probablement, les remplacera. L’auteur de La Culture de
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
219 e soumettre à la Société des Nations un projet de Confédération européenne. Devenu président du Conseil en 1929, et parlant au nom de
220 attendant d’en venir, peut-être, à une imposante Confédération . Cette attente, ce peut-être, comment les justifier devant les menac
73 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
221 es, en attendant peut-être, un jour, une sorte de confédération politique, — qui effraye encore beaucoup de nos États. Les problèmes
74 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
222 oncé par ce titre français : Traité d’alliance et confédération entre le roy Louis IX, Georges roy de Bohême et la seigneurie de Veni
223 décide en 1928 de soumettre à la SDN un projet de confédération européenne. Et c’est à Alexis Léger, son plus proche collaborateur, q
75 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
224 chacun de ses cantons observe dans le cadre de la Confédération , sinon elle trahira sa raison d’être. Mais le fédéralisme n’est pas s
225 , il se rattache à sa commune, à son canton, à la Confédération  ; par son allégeance religieuse, à la Réforme ou à l’Église catholiqu
76 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
226 fédéralisme à fédératif et à fédération, voire à confédération indifféremment, sans qu’aucun contenu ne puisse être saisi au passage
227 ie en 1896 son ouvrage intitulé État fédératif et Confédération d’États (distinction classique, mais que les dictionnaires déjà cités
228 atiquement contemporains de la naissance de notre confédération , qui résulte, elle, du mouvement des communes12, troisième composante
229 ec Nietzsche, supranationalité, enfin fédération, confédération , et, plus tard, fédéralisme, terme inventé par Rousseau, prétend-il,
77 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
230 emble des petits États qui constituent l’actuelle Confédération est sans doute supérieure à celle de toute autre région prise au hasa
231 milieu du xixe siècle, elle n’était guère qu’une confédération plus ou moins lâche de petits États souverains, très variés par la fo
78 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
232 alisme plus ou moins accentué selon les nations : Confédération helvétique, Provinces-Unies des Pays-Bas, Commonwealth britannique, É
79 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
233 chacun de ses cantons observe dans le cadre de la Confédération , sinon elle trahira sa raison d’être. Mais le fédéralisme n’est pas s
80 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
234 maniques et par les Suisses romands. En allemand, confédération se dit Bund, qui signifie union, et qui évoque avant tout l’idée de c
235 présente alliance… forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. — Les cantons sont souverains en tant que leur sou
236 pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire, la souveraineté dans les limite
237 communauté européenne du Saint-Empire, de même la Confédération suisse se voit dotée d’un statut spécial, d’une sorte « d’immédiateté
238 e, — alliance d’États souverains, — fédération ou confédération . Ces problèmes deviennent chaque année plus concrets, soit qu’ils se
81 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
239 t que la transposition à une échelle géante de la Confédération helvétique. Je ne souhaite en effet ni une agglomération d’États soum
82 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
240 les intérêts de l’Empire entier — de même que la Confédération recevra en 1815 la garantie de son indépendance et même de sa neutral
241 ans le Contrat social, il s’y fait l’avocat d’une confédération de nos pays inspirée de celle du « corps germanique », ou Saint-Empir
242 ur laquelle se règle la politique étrangère de la Confédération  »15. Adhérer à l’union européenne serait contraire à cette neutralité
243 ce ; « elle ne fait pas partie de l’essence de la Confédération  » (prof. Henri Miéville16). Adhérer au Marché commun économique en re
244 serait « illusoire » (F. Wahlen, président de la Confédération , février 1961). « La situation internationale actuelle, économique, p
245 ralité, son rôle a été nul dans la création de la Confédération . » Cela pourrait se discuter. Je rappelais au début de cet article qu
246 germe de la neutralité « charismatique » de notre Confédération  ? 17. Résolution de l’Union européenne suisse, Baden, 25 novembre 19
83 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
247 ans Le Contrat social, il s’y fait l’avocat d’une confédération de nos pays inspirée du « corps germanique », des états généraux de H
248 on ; « elle ne fait pas partie de l’essence de la Confédération  ». Adhérer au Marché commun économique en refusant son « prolongement
249 communauté européenne du Saint-Empire, de même la Confédération suisse se voit dotée d’un statut spécial, d’une sorte d’immédiateté f
250 impérialisme ». 140. Fr. Wahlen, président de la Confédération , discours de février 1961. 141. Résolution de l’Union européenne sui
84 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
251 de, et renouvelant par le présent acte l’ancienne confédération  ; le tout sans préjudice des services que chacun, selon sa condition,
252 iècles suivants. Les Ligues ne seront donc qu’une confédération , une « Suisse des patries » ou des États, jusqu’au jour où les vices
253 té requise de le signer pour devenir membre de la Confédération . Cette constatation peut surprendre. Elle déconcerte les habitudes d’
254 d, est la première commune urbaine qui « entre en confédération  », avec les Waldstätten : or elle s’allie aux trois vallées comme à u
255 n train de conquérir sur des seigneurs locaux. La confédération des Huit cantons, ainsi formée par six pactes différents, entre en co
256 eules conséquences territoriales l’entrée dans la Confédération des deux villes de Fribourg et Soleure (1481). Au début du xvie sièc
257 , l’absence de politique commune fait perdre à la Confédération nombre de pays associés ou sujets. Le cas de Genève est le plus scand
258 ainsi rejetés au nom du pacte primitif hors de la Confédération  ! Ce geste extrême, d’ailleurs privé de suites pratiques par la victo
259 rée de Genève, du Valais et de Neuchâtel dans une confédération renouvelée. Encore, le dernier de ces trois États, principauté dont l
260 l’on s’imagine que les petits États entraient en confédération pour créer une nation, voire un marché commun toujours plus large ; m
261 châtel de rester la seule monarchie au sein de la Confédération . Vient un moment où il faut choisir. L’égalité des inégaux agit alors
262 (1576), Josias Simler se demande si la « louable Confédération  » est un État, et il répond oui, en ce sens que ses parties sont unie
85 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
263 régime imposé par Napoléon est abrogé, l’ancienne confédération restaurée. En 1815, les régiments suisses au service de la France reç
86 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
264 escendants et leurs alliés qui allaient former la Confédération des treize cantons, s’unirent bel et bien pour défendre leurs liberté
265 es, les fonctionnaires civils et militaires de la Confédération et les représentants ou les commissaires fédéraux ne peuvent recevoir
266 , il plonge des racines profondes dans l’ancienne Confédération , mais il faut bien avouer qu’il l’a couverte d’un badigeon universel
87 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
267 auver l’union des cantons. Zwingli souhaitait une confédération solidement unifiée et pacifique ; les cantons intérieurs, demeurés ca
268 ui insistaient sur « la neutralité de l’honorable Confédération , considérée de tout temps comme une solide colonne maîtresse de sa qu
269 r « l’étoile fixe de la politique étrangère de la Confédération  »39, et plus encore : une attitude morale, toujours plus caractéristi
270 t invoquée par les Puissances pour contester à la Confédération le droit de modifier son régime intérieur. Il paraissait donc inoppor
271 défense de l’indépendance de la Suisse ; mais la Confédération doit se réserver le droit, dans certaines circonstances, pour autant
272 ien de l’indépendance et de la neutralité » de la Confédération . Ainsi la Suisse, implicitement, se déclarait la seule maîtresse de s
88 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
273 s réunies mais y ajoutant la force de l’union. La Confédération des treize cantons, qui a duré jusqu’à la fin du xviiie siècle, n’a
274 rs précédents sous la Restauration, au sein de la Confédération .47 Lors de la Diète de 1832, un grand débat s’institua sur la néces
275 te espérance que, dans un nouveau Pacte, dans une Confédération plus solide, doit se trouver le remède aux maux qui affligent la patr
276 eux, « viole l’ancien principe fondamental de la Confédération  », c’est-à-dire la souveraineté des cantons. — Le 12 septembre, la Di
277 ement acceptée et déclarée loi fondamentale de la Confédération suisse ». — L’Assemblée fédérale, élue pendant le mois d’octobre, se
278 ns, une fois pour toutes, le stade de la simple «  confédération  »54 d’États souverains. La « transaction » intervenue est en réalité
279 ération des États], forment dans leur ensemble la Confédération suisse. Article 3. — Les cantons sont souverains en tant que leur so
280 pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire, leur souveraineté dans les limi
281 ue entre cantons sont interdits. Article 8. — La Confédération a seule le droit de déclarer la guerre et de conclure la paix, ainsi
282 secret de son dynamisme équilibré. Au sein de la Confédération , qui est à vrai dire une fédération et que l’on désigne en allemand p
283  » analogue à la nationalité intercantonale de la Confédération suisse. Notons bien que Bluntschli oppose le principe fédéraliste à t
284 W. Rappard, op. cit., p. 206. 54. « Le terme de confédération , que l’on maintint, fut une concession faite par la logique à la trad
89 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
285 st à la base non seulement des relations entre la Confédération et les cantons, mais encore des rapports entre le gouvernement canton
286 s l’origine, comme le prouve le pacte de 1291, la Confédération a admis le principe de l’autonomie de la commune… C’est à ces origine
287 la Restauration et facilitèrent le passage d’une confédération d’États égaux à l’État fédéral actuel. Mais que sont aujourd’hui les
288 es — leurs vraies patries — sont antérieures à la Confédération , qui a résulté de leurs alliances progressivement resserrées. Mais il
289 celles des cultures ne sont même pas celles de la Confédération , qu’elles débordent très largement. C’est dans le jeu ménagé entre ce
290 qui est l’objet véritable de son patriotisme. La Confédération , au contraire, plus lointaine, plus jeune, moins personnelle et plus
291 très peu de leurs voisins. « Chacun pour soi, la Confédération pour tous » paraît bien être leur devise. Les partisans de l’Europe u
292 exerce la fonction honorifique de président de la Confédération . Le Conseil étudie des projets de loi et les présente au Parlement. S
293 ale, pouvoir législatif et autorité suprême de la Confédération , est composée de deux Chambres : le Conseil national, représentant le
294 torité directoriale et exécutive supérieure de la Confédération est exercée par un Conseil fédéral composé de sept membres », dit l’a
295 d’entre eux est élu chaque année président de la Confédération . Il ne peut exercer cet office deux années de suite, et la coutume s’
296 ’endroit des titres ronflants. Le président de la Confédération n’est qu’un primus inter pares. À la vérité, le pouvoir en Suisse res
297 nt collégial, qu’il s’agisse des cantons ou de la Confédération . Les décisions du gouvernement émanent du Conseil fédéral en son enti
298 , connaît essentiellement des différends entre la Confédération d’une part, et les cantons ou les corporations de droit public d’autr
299 même temps qu’une révision partielle offrant à la Confédération de nouvelles possibilités de légiférer en matière économique et socia
300 armée de milices : la Constitution interdit à la Confédération le droit d’entretenir des troupes permanentes (art. 13). Il en résult
301 u de ce système de « prime à la minorité » que la Confédération a non seulement reconnu comme langue nationale le romanche (parlé par
302 radicalisme dans sa belle époque, président de la Confédération à plusieurs reprises, le Neuchâtelois Numa Droz n’en écrivait pas moi
303 itique qui se termina par la transformation d’une confédération d’États vieille de cinq-cents ans en un État fédératif ; développemen
304  ». 58. Adolf Gasser, Démocratie et fédéralisme. Confédération , canton, commune, dans La Démocratie suisse, 1948, p. 135. Cf. du mêm
305 fiscale et prolongation du régime financier de la Confédération . Les réponses des sept parlementaires reflétèrent l’attitude prise pa
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 2. Les paradoxes de la vie économique
306 ait vivre une population supérieure à celle de la Confédération . Or les cadres suisses sont insuffisants pour garder le contrôle excl
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 3. Interaction de l’économique et du politique
307 trafic. Solution : les plans sont établis par la Confédération , après consultations répétées des communes pour le tracé. Les cantons
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
308 l se rattache à sa commune, à son canton, et à la Confédération  ; par son allégeance religieuse, à la Réforme ou à l’Église catholiqu
309 incite les Suisses. S’il est vrai que la première confédération des Waldstätten est née du Gothard, ce col n’est devenu viable et car
310 ’un canton. La Constitution de 1848 autorisait la Confédération à « établir une université et une école polytechnique ». II est rema
311 la Suisse centrale.) Si, dans ces conditions, la Confédération avait jugé bon d’établir l’université suisse prévue, l’on eût assisté
312 de combourgeoisie. Elle ne fait pas partie de la Confédération des treize cantons. Et l’œuvre du réformateur français, qu’elle adopt
313 use historique très précise. Les fondateurs de la Confédération moderne, les radicaux, ont été conduits par le souci d’éliminer le pl
93 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
314 ans le Contrat social, il s’y fait l’avocat d’une confédération de nos pays inspirée du « corps germanique », des états généraux de H
315 ur laquelle se règle la politique étrangère de la Confédération  »136. Adhérer à l’union européenne serait contraire à cette neutralit
316 on ; « elle ne fait pas partie de l’essence de la Confédération . »137 Pendant les seize années où il conduisit notre politique étrang
317 communauté européenne du Saint-Empire, de même la Confédération se voit dotée d’un statut spécial, d’une sorte d’immédiateté fédérale
318 ralité, son rôle a été nul dans la création de la Confédération . » 138. Fr. Wahlen, président de la Confédération, discours de févri
319 onfédération. » 138. Fr. Wahlen, président de la Confédération , discours de février 1961. 139. Résolution de l’Union européenne sui
94 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
320 en Suisse. La première histoire imprimée de notre Confédération , Kronika von der loblichen Eydtgnoschaft, de Peterman Etterlin, greff
321 i a fixé pour des siècles l’image classique d’une Confédération née de la révolte de Tell et des conjurés du Grütli chassant le despo
322 cette interprétation mythique des origines de la Confédération , plusieurs écrivains suisses avaient exprimé leurs doutes sur l’histo
323 n latin et en allemand le texte fondamental de la Confédération . Disciple de Tschudi et partisan de l’existence historique de Tell, a
324 es, du héros de l’indépendance, et d’une première Confédération merveilleusement imaginée pour plaire, comme il l’avoue sans fard, « 
325 uivante, Albert Rilliet publie ses Origines de la Confédération suisse, histoire et légende, qui ressemblent à l’ouvrage de Vischer p
326 d’où résultèrent le Pacte de 1291 et la première Confédération . Mais il n’est pas moins objectif et pas moins vrai de constater que
95 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
327 es. C’est ainsi que pour devenir un citoyen de la Confédération , il faut d’abord devenir un citoyen d’une commune et c’est un trait f
328 n, c’est-à-dire d’un État souverain, membre de la Confédération . Alors seulement, on reçoit un passeport suisse. Sur le plan de la cu
96 1965, Articles divers (1963-1969). La Suisse, maquette pour une Europe du bonheur (automne 1965)
329 s suisses ». Elle aboutit en 1815 à une espèce de confédération insuffisante. Privée de tout pouvoir supra-cantonal, elle ne sut pas
97 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
330 d’éternel. Elles ont commencé, elles finiront. La confédération européenne, probablement, les remplacera. On n’en continue pas moins
98 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
331 ent y être attachées sur tout le territoire de la Confédération . S’il ne s’agit pas purement de choses financières, il ne s’agit pas
99 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
332 t commencé, elles finiront. Et il ajoutait : La confédération européenne, probablement, les remplacera.34 Mais tout le monde n’a
333 on me répond que ce serait pire encore, et que la Confédération dans ce cas serait « dissociée ». Je réponds qu’il est temps, qu’il e
334 ationales, ce ne serait pas encore « la fin de la Confédération  », la perte de son identité et de sa vocation, car ces deux choses ex
100 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
335 commencé, elles finiront. » Et il ajoutait : « La confédération européenne, probablement, les remplacera84. » Mais tout le monde n’a