1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
1 Conseils à la jeunesse (mai 1927)n « On a reproché bien des choses aux roma
2 sainte : la liberté. Alors n’est-ce pas, merci du conseil , Monsieur Y. Z., de ce conseil que vous avouez modestement n’être pas
3 t-ce pas, merci du conseil, Monsieur Y. Z., de ce conseil que vous avouez modestement n’être pas inédit. Mais point n’est besoi
4 lus forte raison, le satisfait artificiel. n. «  Conseils à la jeunesse », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-F
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
5 t pourtant un très brave homme, il fait partie du conseil de la paroisse, etc. » — Il semble qu’en attaquant ses idées et leurs
6 te à la dignité morale de ce M. Machin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’École pour criminelle. M
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
7 t pourtant un très brave homme, il fait partie du conseil de la paroisse, et… » — Il semble qu’en attaquant ses idées et leurs
8 te à la dignité morale de ce M. Machin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’École pour criminelle. M
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 ancé). Une auto encore, en retard le président du Conseil , maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bet
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 cé). Une auto encore, en retard : le président du Conseil , maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bet
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 cé). Une auto encore, en retard : le président du Conseil , maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bet
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
12 égulièrement, qu’une cour suprême de Justice… Le Conseil d’État saisi de l’administration ordinaire du gouvernement, a l’exerc
13 mination du Prince… Nulle ordonnance émanée de ce Conseil ne peut acquérir force de loi, avant d’avoir été soumise à l’examen d
14 oir été soumise à l’examen d’un Comité composé du Conseil de Ville et des Députés de Vallengin… La ville de Neuchâtel jouit de
15 opres magistrats, divisés en un Grand et un Petit Conseil . Je ne vous occuperai point du détail des diverses subdivisions de ce
16 police, et dont les membres sont choisis dans le Conseil de Ville. Il est composé de deux présidents de ce conseil, de quatre
17 de Ville. Il est composé de deux présidents de ce conseil , de quatre Maîtres-Bourgeois fournis par le petit Sénat, et du Banner
18 ive semble résider « à la fois dans le Prince, le Conseil d’État, et la ville de Neuchâtel, conjointement considérés ; que le V
19 Anglais ? N’oublions pas que les Trois États, le Conseil d’État, le Grand Conseil, le Petit Conseil, les Quatre-Ministraux, le
20 que les Trois États, le Conseil d’État, le Grand Conseil , le Petit Conseil, les Quatre-Ministraux, les Maîtres-Bourgeois, le B
21 ts, le Conseil d’État, le Grand Conseil, le Petit Conseil , les Quatre-Ministraux, les Maîtres-Bourgeois, le Banneret, le Chance
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
22 liques : lieutenant des Assises, membres du Petit Conseil , conseiller d’État, enfin Procureur général de la Principauté. Puis s
23 acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil  ; son accueil aux idées nouvelles, mais ses convictions militantes ;
9 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
24 réalités françaises : celui d’un maire et de son conseil municipal est chaque jour un peu plus dans la dépendance du préfet, l
10 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
25  rénovation politique profonde ») on adjoindra un Conseil national économique, « composé de représentants des intérêts économiq
26 régional ». Nous avons parlé dans Nous voulons du Conseil économique fédéral dont nous avons même essayé de déterminer, dans le
27 n renforcement de l’exécutif et une présidence du Conseil « permanente » (?). Lisons plus loin. « La France sera divisée en une
11 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
28 n pour le comprendre ? 15. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsa
12 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
29 eur, c’est aussi malin que de prétendre entrer au Conseil d’administration des Forges pour essayer de rendre les canons inoffen
30 niciens, des ingénieurs et des banquiers dans les Conseils de l’État et qui pensent que dès lors tout marcherait de soi, ceux qu
13 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
31 et précisé l’action proprement culturelle de ce «  conseil suprême » de la révolution : « La nouvelle éducation devra éviter que
14 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
32 , elle-même, paraît tellement impuissante sur les conseils de la cité ? N’est-il pas ridicule de poser la question ? N’est-il pa
15 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
33 ulons une armée forte, mais non pas en vertu d’un conseil bolcheviste. La question se ramène à ceci : si tout le monde était mi
16 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
34 n respecte le technicien et on le pousse dans les conseils de la cité sur la foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du pré
17 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
35 r nation française, et « pouvoirs institués » par Conseil des ministres et Parlement.) Mais une autorité qui prétend échapper a
18 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
36 niciens, des ingénieurs et des banquiers dans les conseils de l’État et qui pensent que dès lors tout marcherait de soi, ceux qu
37 eur, c’est aussi malin que de prétendre entrer au Conseil d’administration des Forges pour essayer de rendre les canons inoffen
19 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
38 ), d’entreprise (et non pas de corporation !), de Conseil suprême enfin, et la distinction entre autorité et pouvoir. Nous voul
20 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
39 rcevoir : on l’exila, quitte à suivre bientôt les conseils qualifiés de « réactionnaires » qu’il avait eu le courage de donner.
21 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
40 marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs dans la mesure où ils se veulent scrupuleux. C’est
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
41 marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs dans la mesure où ils se veulent scrupuleux. C’est
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
42 rcevoir : on l’exila, quitte à suivre bientôt les conseils qualifiés de réactionnaires qu’il avait eu le courage de donner. Ains
24 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
43 marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs dans la mesure où ils se veulent scrupuleux. C’est
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
44 rcevoir : on l’exila, quitte à suivre bientôt les conseils qualifiés de réactionnaires qu’il avait eu le courage de donner. Ains
26 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
45 i la note qui suit, en m’appliquant à écarter les conseils de pitié que me dictait mon cœur. Signalement de Peter Schlemihl
27 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
46 est-à-dire les membres de ce que nous appelons le conseil suprême, ne seront pas les chefs de l’État. Et c’est là ce qui permet
47 ar contre, le fait qu’en régime Ordre nouveau, le Conseil suprême sera absolument distinct de l’État, lui permettra de jouer le
48 era donc, en certains points, analogue à celui du Conseil d’État actuel. Mais, si nous faisons ce rapprochement, c’est pour mar
49 évolutionnaire. Il n’apparaît pas en effet que le Conseil d’État soit le représentant d’une doctrine spécifique. S’il est vrai
50 ctrine libérale de la séparation des pouvoirs, le Conseil d’État manque de toute espèce d’orientation politique (au bon sens du
51 t à la politique de l’État. Tout au contraire, le Conseil suprême sera orienté vers la création du régime personnaliste. Il dev
52 rmanente. De ce point de vue, on peut dire que le Conseil suprême sera la raison de l’État, qui ne possède par lui-même qu’une
53 ste des institutions révolutionnaires. Comment le Conseil suprême sera-t-il en mesure de porter ces jugements globaux sur le fo
54 stème, mais de montrer que les moyens d’action du Conseil suprême doivent être aussi souples, aussi directs et aussi variés que
55 plication quasi automatique d’un dogme rigide. Le Conseil suprême n’aura pas seulement pour mission de veiller à ce que la libe
56 ibilité de principe de réclamer l’intervention du Conseil suprême en toute circonstance où il estimera que tels ou tels agissem
57 tte réalité essentiellement dynamique que sera le Conseil suprême de la fédération ON. Elles suffisent aussi — l’expérience nou
58 ns l’état actuel des choses : 1. On nous dit : ce Conseil suprême, autorité purement spirituelle (au sens le plus actif du mot,
59 2. On nous fait aussi une objection inverse : le Conseil suprême deviendrait la suprême tyrannie, celle qui contraint les espr
60 diqué leur raison d’être spirituelle. L’action du Conseil suprême ne sera pas unificatrice — et, en cela, elle se distingue abs
61 que constitue pour nous l’autorité spirituelle du Conseil suprême. Toutes les constructions sociales « Ordre nouveau » reposent
62 tifs centralisés. Or, l’existence concomitante du Conseil suprême et de l’État est la manifestation la plus pure et la plus dyn
63 ntielle. C’est dire que la conception générale du Conseil suprême, telle que nous l’avons décrite dans ses grandes lignes, est
28 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
64 e cette espèce de suffisance moralisante, que ces conseils de fermeté ou ces protestations intempestives que nous prodiguons cha
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
65 ieux médecin sur l’île. 11. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsa
30 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
66 stin final demeure entre les mains du plus secret conseil de Dieu. « Quant à moi, écrit Calvin, j’étends ce nom d’Israël à tout
31 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
67 i opposant toutes les raisons de la terre, et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et
32 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
68 ens, il reçoit chaque jour des visites, donne des conseils d’une grande sagesse pratique et participe si bien à la vie de son pe
69 l n’aura pas besoin de paraître en personne ; son conseil suffira, et son autorité, pour calmer les passions déchaînées. Le Sol
70 t de ce que les réformés invoquent sans cesse les conseils de l’ermite dès qu’il s’agit des affaires publiques. Après tout, dit
71 Après tout, dit l’auteur, à quoi se résument ces conseils  ? À ceci : « que chacun doit rester sur son fumier » ! Mais Nicolas n
72 u’il fallait garder l’« ancienne foi » ! Voilà le conseil que les protestants devraient suivre ! Ce dernier argument ayant été
73 que Faber sert aujourd’hui… Si nous suivions les conseils du frère Claus, nous serions délivrés de ces valets qui, sous prétext
33 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
74 donc, en qui croyez-vous ? De qui suivez-vous les conseils  ? » La réponse étonnerait souvent celui-là même qui parviendrait à la
34 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
75 immenses pianos, encombrés de manuscrits tiennent conseil au centre de la pièce. Des livres envahissent des placards. Une rangé
35 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
76 là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. D’autres — on sait qui
36 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
77 i opposant toutes les raisons de la terre, et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et
37 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
78 onscience. C’est un citoyen de bon sens et de bon conseil , un solide paysan, les deux pieds sur la terre, et non pas un sectair
79 désir de recevoir une parole simple et forte, un conseil , une révélation. (Beaucoup nous ont laissé la relation de leur visite
80 des envoyés chargés d’obtenir son appui : car son conseil est si puissant parmi les Suisses qu’on a coutume de s’adresser d’abo
81 tés, et leur transmit dans une séance secrète les conseils de Nicolas. Miracle ? Ou résultat d’une combinaison particulièrement
82 es mauvais bergers. Puis en 1524, il rappelle les conseils politiques de l’ermite, ses mises en garde répétées contre le service
83 sent l’agacement de l’auteur à voir le nom et les conseils du Frère sans cesse revendiqués par les protestants au cours des disp
84 ucoup de verve et quelque grossièreté, les fameux conseils de Nicolas, qui se trouvent condamner toute la politique des cantons
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
85 gne que les temps sont troublés. Plus d’un attend conseil du frère Claus. Écoutez bien : plus d’un voudrait l’avoir de son côté
86 i vit du pain céleste, pourra-t-il vous donner un conseil  ? (Un temps.) Gardez la justice entre vous, et la charité dans vos cœ
87 vénérée. Un peuple entier t’écoute et reçoit tes conseils . De toi seul dépend le succès du grand dessein dont je veux te faire
39 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
88 e ! Haimo. —  Toi seul peux nous sauver par un conseil adroit ! Nicolas. —  L’avidité de la puissance et des richesses le
89 ertirai ! Dieu te parlait, mais toi tu suivis ton conseil . Aux penchants de ton cœur alors il t’a livré. Du vin de sa colère, a
90 se sont tournés vers les coulisses où se tient le conseil , et cherchent à voir ou à entendre ce qui se passe.) Voix. —  Que d
91 térieur comme au-dehors de nos frontières, sur le conseil de notre frère Claus inspiré par le Tout-Puissant, nous avons décrété
92   Au frère Claus, de la part des municipalités et conseils de Soleure et de Fribourg : Nous sommes avisés que, par la grâce du D
93 onfédération la paix, le calme et l’unité par ton conseil et ton intervention, tu nous as fait à nous-mêmes un tel bien que nou
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
94 i opposant toutes les raisons de la terre, et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
95 i opposant toutes les raisons de la terre, et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et
42 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
96 ots, se voient privés de tout moyen d’agir. Leurs conseils , leurs appels ne portent plus. Les hommes échangent des paroles en pl
97 ays, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. (D’autres — on sait qu
43 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
98 que ces affaires soient débattues dans nos Grands Conseils , par des hommes qui parfois ignorent tout de la réalité de l’Église,
44 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
99 u 12 avril, il assiste chaque jour aux séances du Conseil de Berne. Le 16, il est signalé comme absent. Le 18 on le confirme da
45 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
100 mots se voient privés de tout moyen d’agir. Leurs conseils , leurs appels ne portent plus. Les hommes échangent des paroles en pl
101 ce n’est pas pour défendre des « fromages », des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. D’autres — on sait qui
46 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
102 e cette espèce de suffisance moralisante, que ces conseils de fermeté ou ces protestations intempestives que nous prodiguons cha
103 à tous les Suisses. Notons encore que le siège du Conseil œcuménique de toutes les Églises non romaines a été fixé à Genève. Ic
47 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
104 le propager, et préparer par nos études, par nos conseils , par nos initiatives, par certaines prises de position peut-être, les
48 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
105 ouent un rôle de premier plan dans les travaux du Conseil œcuménique. Toute leur tradition les prépare à ce rôle de fédérateurs
49 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
106 de ces hommes vont vers lui pour lui demander un conseil ou pour les aider à trouver du travail. Tous le considèrent comme le
50 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
107 voient tentés plus que les autres d’accepter les conseils de ce génial Souffleur. « C’est avec les beaux sentiments qu’on fait
108 e l’œuvre. Elle ravit au démon le bénéfice de ses conseils intéressés. Un écrivain, s’il est bon artisan, vaudra tout juste ce q
51 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
109 s, justement, trop dépourvus de prises pour qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible, qui remo
52 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
110 tie moderne est spécialement tentée d’écouter ses conseils . Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend des caprices
53 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
111 n indigne serviteur… C’est Satan qui a soufflé le conseil de prudence. Car vouloir conserver ce bien, c’est le sûr moyen de le
112 voient tentés plus que les autres d’accepter les conseils de ce génial Souffleur. « C’est avec les beaux sentiments qu’on fait
113 en juger. Elle ravit au démon le bénéfice de ses conseils intéressés. Elle nous donne la mesure absolue. Un écrivain s’il est b
54 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
114 s, justement, trop dépourvus de prises pour qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible qui remon
55 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
115 tie moderne est spécialement tentée d’écouter ses conseils . Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend des caprices
56 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
116 n indigne serviteur… C’est Satan qui a soufflé le conseil de prudence. Car vouloir conserver ce bien, c’est le sûr moyen de le
117 voient tentés plus que les autres d’accepter les conseils de ce génial Souffleur. « C’est avec les beaux sentiments qu’on fait
118 en juger. Elle ravit au démon le bénéfice de ses conseils intéressés. Elle nous donne la mesure absolue. Un écrivain, s’il est
57 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
119 s, justement, trop dépourvus de prises pour qu’un conseil soit encore entendu. Mais voici la confiance indestructible qui remon
58 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
120 de et leur soif de réponses à leurs questions, de conseils , d’idéaux catholiques — au sens étymologique du mot — de solutions « 
59 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
121 au public… Eh bien ! pendant que j’y suis, un bon conseil  : ne croyez pas que le grand public déteste autant que vous la nouvea
60 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
122 trémité, et tout espoir perdu, on sollicitait son conseil . Il prit la corde qui servait de ceinture à sa pauvre robe. Il en fit
61 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
123 e dynamisme révolutionnaire. 3. L’organisation du Conseil œcuménique se trouve être de fait la seule Internationale en formatio
62 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
124 là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. Les fascistes feraient
125 u 12 avril, il assiste chaque jour aux séances du Conseil de Berne. Le 16, il est signalé comme absent. Le 18, on le confirme d
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
126 é). Une auto encore, en retard : le président du Conseil , maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bet
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
127 utaient plusieurs tomes de rapports importants du Conseil œcuménique des Églises, origine d’un autre mouvement de fédération, q
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
128 re espèces” (épices) ». 38. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsa
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
129 oient d’ordre politique et social. Je n’ai pas de conseil à donner aux ministres, et peu d’entre nous sont en mesure d’influenc
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
130 là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. Les fascistes feraient
131 u 12 avril, il assiste chaque jour aux séances du Conseil de Berne. Le 16, on signale son absence. Le 18, on le confirme dans s
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
132 mon diable, j’ai saisi l’occasion pour obéir aux conseils du médecin et me faire accorder un congé de plusieurs mois. Cela tomb
69 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
133 traduit pas seulement dans le mode d’élection du Conseil des États, mais surtout, et d’une manière beaucoup plus efficace, dan
70 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
134 la note que voici, en m’appliquant à écarter les conseils de pitié que me dictait mon cœur. Psychologie de Peter Schlemihl
71 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
135 trémité, et tout espoir perdu, on sollicitait son conseil . Il prit la corde qui servait de ceinture à sa pauvre robe. Il en fit
72 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
136 ont élever la voix, partout l’on vous chuchote un conseil de prudence. Certes, le conformisme en soi n’est pas nouveau, même ch
73 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
137 au public… Eh bien ! pendant que j’y suis, un bon conseil  : ne croyez pas que le grand public déteste autant que vous la nouvea
74 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
138 voulons au-dessus des États, de toute urgence, un Conseil politique de l’Europe. Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par
139 onseil politique de l’Europe. Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Consei
140 par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Conseil économique entreprenne la mise en commun de nos ressources naturelles
141 science européenne. Par-dessus tout, dominant ces Conseils qui domineraient eux-mêmes les États, nous voulons instituer une Cour
142 xxe siècle. Et c’est pourquoi la hiérarchie des Conseils que nous proposons aboutit à la Cour suprême, c’est-à-dire à une inst
75 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
143 traduit pas seulement dans le mode d’élection du Conseil des États, mais surtout, et d’une manière beaucoup plus efficace, dan
76 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
144 ont élever la voix, partout l’on vous chuchote un conseil de prudence. Certes, le conformisme en soi n’est pas nouveau, même ch
77 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
145 traduit pas seulement dans le mode d’élection du Conseil des États, mais surtout, et d’une manière beaucoup plus efficace, dan
78 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
146 oulons, au-dessus des États, de toute urgence, un Conseil politique de l’Europe. Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par
147 onseil politique de l’Europe. Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Consei
148 par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Conseil économique entreprenne la mise en commun de nos ressources naturelles
149 science européenne. Par-dessus tout, dominant ces Conseils qui domineraient eux-mêmes les États, nous voulons instituer une Cour
150 xxe siècle. Et c’est pourquoi la hiérarchie des Conseils que nous proposons aboutit à la Cour suprême, c’est-à-dire à une inst
151 ui parle ainsi devant douze anciens présidents du Conseil , soixante ministres et anciens ministres, deux-cents députés aux parl
152 icle cité répondait. 4. Par contre, le projet de Conseil politique, proposé par des unionistes, n’a pas été retenu par l’assem
79 1948, Suite neuchâteloise. III
153 gulièrement, qu’une Cour suprême de Justice… » Le Conseil d’État saisi de l’administration ordinaire du gouvernement, a l’exerc
154 nation du Prince… » Nulle ordonnance émanée de ce Conseil ne peut acquérir force de loi, avant d’avoir été soumise à l’examen d
155 oir été soumise à l’examen d’un Comité composé du Conseil de Ville et des Députés de Vallengin… » La ville de Neuchâtel jouit d
156 opres magistrats, divisés en un Grand et un Petit Conseil . Je ne vous occuperai point du détail des diverses subdivisions de ce
157 police, et dont les membres sont choisis dans le Conseil de Ville. Il est composé de deux Présidens de ce conseil, de quatre M
158 de Ville. Il est composé de deux Présidens de ce conseil , de quatre Maîtres-Bourgeois fournis par le petit Sénat, et du Banner
159 ive semble résider « à la fois dans le Prince, le Conseil d’État, et la ville de Neuchâtel, conjointement considérés  ; que le
160 glais ?   N’oublions pas que les Trois États, le Conseil d’État, le Grand Conseil, le Petit Conseil, les Quatre-Ministraux, le
161 que les Trois États, le Conseil d’État, le Grand Conseil , le Petit Conseil, les Quatre-Ministraux, les Maîtres-Bourgeois, le B
162 ts, le Conseil d’État, le Grand Conseil, le Petit Conseil , les Quatre-Ministraux, les Maîtres-Bourgeois, le Banneret, le Chance
80 1948, Suite neuchâteloise. IV
163 liques : lieutenant des Assises, membres du Petit Conseil , conseillers d’État, enfin Procureur général de la Principauté. Puis
164 acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil  ; son accueil aux idées nouvelles, mais ses convictions militantes ;
81 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
165 donc, pour nous, le moment d’être forts dans les conseils européens — de rallier l’opinion active derrière nos avant-gardes féd
82 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
166 d’étudier la constitution d’un Parlement et d’un Conseil des ministres européens. Le 28 janvier 1949, la conférence aboutissai
167 plénières eurent lieu dans la salle même du Grand Conseil fasciste, sur les murs de laquelle on avait substitué aux faisceaux d
168 à leurs dépens, s’il y a lieu. C’est pourquoi le Conseil international du Mouvement européen, dans sa réunion de Bruxelles, a
169 es experts, dans chacun de nos pays, se réduit au conseil classique : augmenter les exportations. L’homme de la rue s’étonne de
83 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
170 e, pour le moment, notre pleine participation aux conseils politiques du continent. Et pourtant, nul ne songe à défendre un isol
84 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
171 unionistes nordiques et des ministres, malgré les conseils de lenteur, de sagesse, de prudence, etc., prodigués (en anglais géné
172 de l’Europe tel qu’il existe. Certes. Mais, si le Conseil existe, n’est-ce point précisément parce que certains pionniers ont i
173 élargi, devrait former la Chambre haute (Sénat ou Conseil d’États). La Commission permanente de vingt-huit membres, élue par ce
174 ide d’une autorité politique supranationale, d’un Conseil économique et social, d’un passeport européen, d’un Centre européen d
85 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
175 léances ou de revendications. Et je n’ai point de conseils à vous donner. Mais je vous écris au nom d’une centaine de milliers d
86 1950, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Pour un standard unique de la télévision (18 novembre 1950)
176 Nous recevons de M. Denis de Rougemont, au nom du conseil de direction du Centre européen de la culture, la lettre suivante. »
87 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
177 uest est à l’image des grandes crues, Qu’il prend conseil de ces menées nouvelles au lit du vent. Et c’est conseil encore de
178 ces menées nouvelles au lit du vent. Et c’est conseil encore de force et de violence. « Anima » violente et sauvage comme
88 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
179 léances ou de revendications. Et je n’ai point de conseil à vous donner. Mais je vous écris au nom d’une centaine de milliers d
89 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
180 st tellement évident qu’on l’oublie dans tous les conseils des nations ; et non point à l’idéalisme ignorant le concret des prob
90 1952, Articles divers (1951-1956). Les foyers de culture et l’Europe (octobre 1952)
181 ible d’organisations au niveau européen, comme le Conseil des communes d’Europe, par exemple ; le Centre européen de la culture
91 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
182 sans le curé, contre les tyranneaux, en dépit des conseils des réalistes, il édifiait, il réformait, il initiait, et malgré son
92 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
183 re en pleine formation : l’élargissement de notre Conseil , dès aujourd’hui, en est un signe, fort heureux d’ailleurs. Vous alle
184 jourd’hui une formule neuve pour notre réunion du Conseil supérieur : les responsables de nos activités vont chacun présenter l
93 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
185 ngtaine) sera proposé à bref délai aux membres du Conseil musical. Dès que ces derniers auront donné leur accord, des lettres p
94 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
186 levons un signe heureux : 9 sur 10 des membres du conseil de direction du CEC viennent de prendre part aux travaux du second co
95 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
187 ibre de la Suisse centrale, de bon sens et de bon conseil , les deux pieds sur la terre, et très pieux. Mais une secrète inquiét
188 des princes, des rois, du pape lui-même, car son conseil est devenu si puissant parmi les Suisses qu’on a coutume de s’adresse
189 presque fournissaient des représentants au Petit Conseil , qui, au-dessus du Grand Conseil des trois États, légiférait et nomma
190 entants au Petit Conseil, qui, au-dessus du Grand Conseil des trois États, légiférait et nommait les magistrats. Les bourgeois
191 on aux biens communaux, ils avaient voix au Grand Conseil , mais pratiquement la nouvelle noblesse contrôlait les destinées des
192 aire politique de 1848, et désigne par exemple le Conseil des députés élus par le peuple. Mais cet emploi du mot demeure except
96 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
193 un peu plus de 3000 communes. Chacune possède son conseil communal ou municipal (c’est quelquefois le peuple réuni en assemblée
194 f et le judiciaire. L’exécutif généralement nommé Conseil d’État, est un collège de cinq à onze membres, élu par le peuple. Cha
195 et que nous retrouverons à l’échelon fédéral. Le Conseil d’État prépare les textes qui seront soumis au législatif, et fixe le
196 lorsqu’ils sont acceptés. Le législatif, ou Grand Conseil , est élu par le peuple à la majorité absolue dans quelques cantons, o
197 semblable que se déroulent les débats des Grands Conseils . L’influence des mœurs politiques latines, l’éloquence, le sectarisme
198 ent des Patriciats, dont la subtile hiérarchie de conseils fut considérablement simplifiée et aérée. Cette évolution intérieure
199 Confédération, est composée de deux Chambres : le Conseil national, représentant le peuple, et le Conseil des États, mandataire
200 e Conseil national, représentant le peuple, et le Conseil des États, mandataires des cantons. Ces deux conseils ont des pouvoir
201 seil des États, mandataires des cantons. Ces deux conseils ont des pouvoirs égaux, et leur accord est indispensable pour l’accep
202 côté de leur Chambre des députés. En réalité, le Conseil des États n’est pas du tout l’équivalent du Conseil de la République
203 nseil des États n’est pas du tout l’équivalent du Conseil de la République en France ou de la Chambre des Lords. Il ne ressembl
204 cantons. C’est tantôt le peuple, tantôt le Grand Conseil ou la Landsgemeinde qui les nomme. Le Conseil national est élu à rais
205 and Conseil ou la Landsgemeinde qui les nomme. Le Conseil national est élu à raison d’un député par 22 000 habitants, chaque ca
206 ue collectivement les attributions des membres du Conseil , lesquelles sont essentiellement administratives et exécutives. Le Co
207 r les propositions qui lui sont adressées par les conseils ou par les cantons » (art. 102, § 4 de la Constitution). Mais si les
208 visites et coups de téléphone. La composition du Conseil n’est pas moins originale que sa fonction. Quatre facteurs entrent en
209 fédérale interdit de choisir plus d’un membre du Conseil dans le même canton, et la coutume veut que les cantons de Zurich, Be
210 en ont point. Quelques tentatives pour élargir le Conseil à neuf membres, ou pour le faire élire par le peuple, ont été repouss
211 composant le Tribunal fédéral n’ont pas, comme le Conseil d’État français ou la Cour suprême des États-Unis, le droit d’examine
212 c’est-à-dire des tendances décentralisatrices. Le Conseil des États, normalement, s’en fait l’organe. La lutte qu’il a entrepri
213 émoin, 1948, p. 145-146 et 148. 11. Président du Conseil d’État. 12. William Martin, Histoire de la Suisse, 1940, p. 241. 13
214 la Constitution de 1848) : « Les membres des deux conseils votent sans instructions. » 18. Plinio Bolla, « Le Tribunal fédéral 
97 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
215 Suisses se bornent à un échange insistant de bons conseils , d’avis moraux, de recettes d’hygiène, d’admonestations religieuses.
216 ils, de maître en apprenti : il est fait de mille conseils et petites démonstrations. Ces dispositions psychologiques, naturelle
217 iétés, causeries religieuses et scientifiques, ou conseils pratiques. Elle n’admet pas de publicité. La part du folklore, des ch
98 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
218 le, sous la direction du pasteur assisté par un «  conseil d’église ». Il en résulte que « l’Église suisse » comme telle n’exist
99 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
219 les « citadelles de la Réforme », de même que le Conseil œcuménique des Églises allait s’installer à Genève, la Suisse devenai
220 la participation de la Suisse en tant qu’État aux conseils internationaux. C’est tout d’abord une vieille méfiance populaire, vo
100 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
221 de l’Europe : M. de Gasperi, ancien président du Conseil italien ; M. van Kleffens, ancien ministre des Affaires étrangères de
222 ltative, et en présence de M. Pella, président du Conseil italien, ainsi que du corps diplomatique, qu’a eu lieu l’ouverture pu