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d ramener le bénéfice de la production à celui du
consommateur
. Prenons cette petite phrase qui n’a l’air de rien : « Nul ne contest
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ntégrité. Sauver l’homme, ce n’est pas sauver des
consommateurs
. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations, les intérêts (?) d
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ntégrité. Sauver l’homme, ce n’est pas sauver des
consommateurs
. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations, les intérêts (?) d
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ntégrité. Sauver l’homme, ce n’est pas sauver des
consommateurs
. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations, les intérêts (?) d
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elles qui s’interposent entre le producteur et le
consommateur
, — de même la production littéraire et la création intellectuelle se
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plus en plus la culture à la « jouissance » d’un
consommateur
distingué. Mais ici l’équivoque matérialiste se manifeste avec une im
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immédiats et vitaux entre les producteurs et les
consommateurs
de la culture. Tant qu’il ne s’agissait que de construire des tracteu
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s la possibilité de mener une existence oisive de
consommateurs
: elle s’adapta au style de vie du milieu non producteur, antérieurem
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plus en plus la culture à la « jouissance » d’un
consommateur
distingué. Mais ici, l’équivoque matérialiste se manifeste avec une i
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immédiats et vitaux entre les producteurs et les
consommateurs
de la culture. Tant qu’il ne s’agissait que de construire des tracteu
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s la possibilité de mener une existence oisive de
consommateurs
: elle s’adapta au style de vie du milieu non producteur, antérieurem
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plus en plus la culture à la « jouissance » d’un
consommateur
distingué. Mais ici, l’équivoque matérialiste se manifeste avec une i
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immédiats et vitaux entre les producteurs et les
consommateurs
de la culture. Tant qu’il ne s’agissait que de construire des tracteu
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sive, exploitent à la fois les producteurs et les
consommateurs
. Après un siècle à peine d’existence, la classe des commerçants tend
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critique que je voudrais appeler une critique de
consommateur
(dans tous les sens de l’expression), c’est l’euphorie géniale du des
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une sorte de corporation boulangers, minotiers et
consommateurs
. Le pain, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien d
17
t… Je viens de regarder pendant un bon moment les
consommateurs
attablés autour de moi. Que les hommes sont laids ! Chacun d’eux me f
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s une sorte de corporation boulanger, minotier et
consommateurs
. Le pain, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien d
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ntégrité. Sauver l’homme, ce n’est pas sauver des
consommateurs
. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations, les intérêts (?) d
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t… Je viens de regarder pendant un bon moment les
consommateurs
attablés autour de moi. Que les hommes sont laids ! Chacun d’eux me f
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s une sorte de corporation boulanger, minotier et
consommateurs
. Le pain, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien d
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ntradictoires mais solidaires du producteur et du
consommateur
, des droits acquis et des règles d’arbitrage, des initiatives et des
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ards et des modes favorise en lui une attitude de
consommateur
hédoniste. D’autre part, des possibilités plus vastes de création et
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ntradictoires mais solidaires du producteur et du
consommateur
, des droits acquis et des règles d’arbitrage, des initiatives et des
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arché commun de 400 millions de producteurs et de
consommateurs
est de loin le plus riche et le plus varié du monde. L’Europe a donc
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ut parler de culture bourgeoise qu’en pensant aux
consommateurs
de cette culture. Bien sûr, depuis cent ans, ce sont essentiellement
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ut parler de culture bourgeoise qu’en pensant aux
consommateurs
actuels de cette culture. Depuis cent ans, ce sont essentiellement de
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oyens de l’Europe et du monde : des producteurs —
consommateurs
disciplinés et des nationalistes bornés dans leurs frontières (où mêm
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s’affrontent paysans et citadins, producteurs et
consommateurs
. Telle étant l’architecture de la cité qui a permis la démocratie, on
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s’affrontent paysans et citadins, producteurs et
consommateurs
. Telle étant l’architecture de la cité qui a permis la démocratie, on
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ême — plutôt qu’un rouage producteur et un client
consommateur
. Je coïncide intégralement avec les intentions d’Illich, et avec ses
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e de l’épuisement des gisements obligera les pays
consommateurs
à réduire leur consommation dans huit ans. Il n’y a donc pas de temps
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car les gouvernements, semant la panique chez les
consommateurs
, annoncent que « désormais » la seule solution est la mise en chantie
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d ramener le bénéfice de la production à celui du
consommateur
. Prenons cette petite phrase qui n’a l’air de rien : “Nul ne conteste
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adaptation de la production aux besoins réels des
consommateurs
. En lieu et place de la croyance magique à l’expansion indéfinie et à
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t à tout prix, laquelle motive dans la population
consommatrice
l’insatisfaction permanente, et dans l’industrie productrice une perp
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n’étaient rien de plus que des producteurs et des
consommateurs
de charbon et d’acier ! Ce qui a frappé à juste titre l’opinion de to
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e les mouvements écologiques, les associations de
consommateurs
, les ligues de défense des droits de l’homme vont devenir, de plus en
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ns discrimination en Belgique ou en Irlande, à un
consommateur
néerlandais ou britannique d’acheter des produits danois ou italiens
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’approvisionner librement près de 260 millions de
consommateurs
européens. Si l’on rencontre encore des douaniers aux frontières entr
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un « marché commun intérieur » de 260 millions de
consommateurs
, a pu rationaliser ses productions. La Communauté poursuit un long tr
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elle de la Communauté ne se fasse au détriment du
consommateur
, la Commission européenne veille à ce que soient très strictement res
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igoureuse politique « antitrusts » de défense des
consommateurs
. Cependant, des difficultés sérieuses sont apparues lorsqu’il s’est a
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économique n’arrive plus à protéger assez vite le
consommateur
et l’épargnant ; les municipalités n’arrivent plus à éviter une urban
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d’augmentation de salaires. Elle explique que les
consommateurs
, livrés à des pressions multiples dont ils ignorent la nature, accept
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citaires ; les forfaits, favorisant les plus gros
consommateurs
de kilowatts… En fait, il n’est nullement établi que la demande en én
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aire coïncider les « besoins » provoqués chez les
consommateurs
avec les désirs de profit des producteurs. Elle relève donc principal
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urs d’une part, mais surtout aux organisations de
consommateurs
d’autre part. Ces derniers se trouvent partout sous-représentés ou no
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of Consumers Unions (IOCU). L’arme principale des
consommateurs
, dans toutes les parties du monde, c’est l’Information. C’est d’une i
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ation. C’est d’une information honnête donnée aux
consommateurs
européens quant à l’origine, aux conditions et aux effets du commerce