1
café. Je venais de m’asseoir et de commander une
consommation
. Comme d’habitude, un peu après six heures. J’étais seul. Le café est
2
de jouer un moment. Nous fixâmes comme enjeu nos
consommations
. Je gagnai. Il demanda des portos. Je les gagnai et je les bus. D’aut
3
dans l’intérêt de la production, il faut créer la
consommation
. La réclame s’en charge. Par le procédé très simple de la répétition,
4
user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la
consommation
. Il rend plus complet l’esclavage de l’ouvrier, puisqu’il englobe jus
5
les clients appellent le garçon pour régler leurs
consommations
. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’on y pense : mais le fait est qu
6
llement décrétées autonomes : la production et la
consommation
. Cette division n’est pas humaine. Elle nous asservit. Je veux dire q
7
llement décrétées autonomes : la production et la
consommation
. Cette division n’est pas humaine. Elle nous asservit. Je veux dire q
8
our tâche d’ajuster exactement la production à la
consommation
. Le rôle de l’État se confondrait à peu de choses près avec celui de
9
llement décrétées autonomes : la production et la
consommation
. Cette division n’est pas humaine. Elle nous asservit. Je veux dire q
10
our tâche d’ajuster exactement la production à la
consommation
. Le rôle de l’État se confondrait à peu de choses près avec celui de
11
livres fixé d’avance et fixé non point d’après la
consommation
possible et les besoins du public, mais d’après le budget de la maiso
12
e des sous-produits standardisés de la culture de
consommation
, on aperçoit la raison immédiate de la crise actuelle du langage. La
13
rrivé à considérer la culture comme un produit de
consommation
, et non comme une activité de production. Or si tout le monde commenc
14
réside dans l’inadaptation de la production à la
consommation
, il nous reste à prendre conscience d’un parallélisme frappant entre
15
Elle cesse d’être une production pour devenir une
consommation
réservée aux bourgeois « oisifs » qui la « cultivent » pour elle-même
16
e des sous-produits standardisés de la culture de
consommation
, on aperçoit la raison immédiate de la crise actuelle du langage. La
17
rrivé à considérer la culture comme un produit de
consommation
, et non comme une activité de production. Or si tout le monde commen
18
réside dans l’inadaptation de la production à la
consommation
, il nous reste à prendre conscience d’un parallélisme frappant entre
19
Elle cesse d’être une production pour devenir une
consommation
réservée aux bourgeois « oisifs » qui la « cultivent » pour elle-même
20
e des sous-produits standardisés de la culture de
consommation
, on aperçoit la raison immédiate de la crise actuelle du langage. La
21
ntifiée, le dogme de la croissance, la société de
consommation
sont les « Utopies » que je prévoyais alors (Note de 1972.) 56. Cel
22
ndance croissante des rythmes de production et de
consommation
.) Et c’est la guerre de 1914. Cet inévitable conflit ne résout rien,
23
omparables à celles des troubadours : refus de la
consommation
de l’amour, exaltation de l’amour chaste, par exemple. Par ailleurs,
24
flambée qui ne peut pas survivre à l’éclat de sa
consommation
. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants ve
25
flambée qui ne peut pas survivre à l’éclat de sa
consommation
. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants ve
26
squ’à la mort volontaire, mort par amour de Dieu,
consommation
du détachement suprême de toute loi matérielle.) Le Consolamentum éta
27
nt allusion à une technique de l’acte sexuel sans
consommation
, car « celui qui garde (ou reprend) sa semence dans son corps, qu’aur
28
on les croyants, qui vont être divinisés par la «
consommation
» (spirituelle ou physique ? l’ambiguïté profonde subsiste ici encore
29
jette un jour assez étrange sur la nature de la «
consommation
» érotico-eucharistique opérée dans la Minnegrotte. Faire l’amour san
30
flambée qui ne peut pas survivre à l’éclat de sa
consommation
. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants ve
31
squ’à la mort volontaire, mort par amour de Dieu,
consommation
du détachement suprême de toute loi matérielle.) Le consolamentum éta
32
nt allusion à une technique de l’acte sexuel sans
consommation
, car « celui qui garde (ou reprend) sa semence dans son corps, qu’aur
33
on les croyants, qui vont être divinisés par la «
consommation
» (spirituelle ou physique ? l’ambiguïté profonde subsiste ici encore
34
jette un jour assez étrange sur la nature de la «
consommation
» érotico-eucharistique opérée dans la Minnegrotte. Faire l’amour san
35
s qui dictent les prix, les cours des changes, la
consommation
. Ces chefs montrent la plus parfaite indifférence à l’égard des fameu
36
re les créations de la culture et les produits de
consommation
destinés à l’usage des masses. Tel grand chimiste scandinave invente,
37
ogique ; possibilité d’adapter la production à la
consommation
sans créer de troubles sociaux ou de nomadisme ; éducation sociale et
38
s qui dictent les prix, les cours des changes, la
consommation
. Ces chefs montrent la plus parfaite indifférence à l’égard des fameu
39
que le péché originel fut l’acte sexuel, dont la
consommation
de la pomme serait le symbole, c’est parce qu’ils assimilent le péché
40
que le péché originel fut l’acte sexuel, dont la
consommation
de la pomme serait le symbole, c’est parce qu’ils assimilent le péché
41
que le péché originel fut l’acte sexuel, dont la
consommation
de la pomme serait le symbole, c’est parce qu’ils assimilent le péché
42
que le péché originel fut l’acte sexuel, dont la
consommation
de la pomme serait le symbole, c’est parce qu’ils assimilent le péché
43
n de soi-même, à son enfer ou à son ciel, dans la
consommation
de tout son être, au faîte inconcevable du désir comblé, et comblé po
44
t, mais aussi pour qu’ensuite ils revivent par la
consommation
de son corps spirituel, un homme tue lui-même son fils, et donne sa c
45
les clients appellent le garçon pour régler leurs
consommations
. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’on y pense ; mais le fait est qu
46
les clients appellent le garçon pour régler leurs
consommations
. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’on y pense ; mais le fait est qu
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t, mais aussi pour qu’ensuite ils revivent par la
consommation
de son corps spirituel, un homme tue lui-même son fils, et donne sa c
48
n de soi-même, à son enfer ou à son ciel, dans la
consommation
de tout son être, au faîte inconcevable du désir comblé, et comblé po
49
vie se résume en deux opérations : production et
consommation
. Tout leur effort est donc de les équilibrer, de les faire jouer sans
50
ers de sa production, à n’importer que 20 % de sa
consommation
en calories, vrai tour de force technique « à base de culture », c’es
51
vie se résume en deux opérations : production et
consommation
. Tout leur effort est donc de les équilibrer, de les faire jouer sans
52
seillait à un peuple sans pain. Culture n’est pas
consommation
, mais production. C’est ce que l’époque bourgeoise semble avoir oubli
53
es) passait de 52 à 80 % du total nécessaire à la
consommation
. Cet effort collectif, si intelligemment dirigé, a largement rétabli
54
’a-t-on fait au cours de ces années une si grande
consommation
de littérature et d’art contemporains provenant d’autres pays d’Europ
55
nt allusion à une technique de l’acte sexuel sans
consommation
, car « celui qui garde (ou reprend) sa semence dans son corps, qu’aur
56
est clair que si le temps libre est augmenté, la
consommation
de la culture augmentera elle aussi, et que par suite, les conditions
57
et plus facile à chiffrer : l’accroissement de la
consommation
de la culture au xxe siècle. La notion de culture est récente. Aussi
58
ui intervient sous nos yeux dans le domaine de la
consommation
de la culture. Je répète que ce phénomène est contemporain du dévelop
59
eures. La première, c’est que la production et la
consommation
culturelles, au xxe siècle, sont devenues d’immenses affaires et for
60
t leur temps, il y aura le Soi seul en tout. À la
consommation
des temps, répond saint Paul, « Dieu sera tout en tous ». Depuis six
61
t ont raison, personne ne pourra le vérifier à la
consommation
des temps, pas même le Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — l
62
est clair que si le temps libre est augmenté, la
consommation
de la culture augmentera elle aussi, et que par suite, les conditions
63
t leur temps, il y aura le Soi seul en tout. À la
consommation
des temps, répond saint Paul, « Dieu sera tout en tous. » Depuis six
64
t ont raison, personne ne pourra le vérifier à la
consommation
des temps, pas même le Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — l
65
rper, la multiplication des besoins nouveaux, une
consommation
stupéfiante, la passion du bizarre, des prétentions à l’exclusivité d
66
rper, la multiplication des besoins nouveaux, une
consommation
stupéfiante, la passion du bizarre, des prétentions à l’exclusivité d
67
coopératives techniques ou de distribution et de
consommation
, les communes redeviennent les cellules de base de chaque région réel
68
de l’humanité : toutes les prétendues lois de la
consommation
s’en trouveraient du même coup radicalement faussées. Cette hypothèse
69
que de bloquer tout le processus économique de la
consommation
, de l’investissement et même de la fécondité. De même, les prévisions
70
de vingt ans la production d’électricité. Mais la
consommation
a augmenté encore plus vite (5,8 % par an) et seule l’installation d’
71
a été citée un peu plus haut. Les Coopératives de
consommation
: Union suisse des coopératives et Fédération des coopérateurs Migros
72
s que l’on indiquait plus haut. L’expansion de la
consommation
d’énergie rend urgente la création de centrales nucléaires, mais leur
73
feux rouges, le chef de l’État, les rythmes de la
consommation
ou de la productivité — c’est cela qui fonctionne aujourd’hui, de mie
74
rivilégie les besoins collectifs par rapport à la
consommation
individuelle, et là, nous sommes à l’opposé du type de civilisation c
75
est clair que si le temps libre est augmenté, la
consommation
de la culture augmentera elle aussi, et que par suite les conditions
76
st-elle un produit spécifique de notre société de
consommation
et du capitalisme de profit ? La destruction massive et populaire des
77
ion simultanée, de 20 à 75 % selon les cas, de la
consommation
, de la production, de la natalité et des investissements, et surtout
78
champions du Progrès indéfini et de la société de
consommation
, qui voit le bonheur dans la multiplication des objets offerts à l’ho
79
i ont bien raison de l’être et Vive la société de
consommation
! Les auteurs de cette seconde école traitent ceux de la première de
80
é de l’extérieur : rythmes de production, taux de
consommation
, planification, relations avec les autres continents, définitions de
81
s », c’est-à-dire aux « succès » de la société de
consommation
. 2. Ce trait suffit à distinguer absolument l’épopée antique, germa
82
ui, avec l’augmentation de la population et de la
consommation
, tout le pétrole de la terre semble devoir être brûlé d’ici trente an
83
on allant de 20 % à 75 % selon qu’il s’agit de la
consommation
, des investissements, du taux de natalité, de la pollution, et surtou
84
lus grande part des investissements, des biens de
consommation
, et de la pollution. Si l’Occident pouvait imposer la politique de r
85
s. Ces experts nous répètent, par exemple, que la
consommation
d’énergie électrique va doubler désormais tous les sept ans, et si on
86
nies nous y invitent, rien ne pourra faire que la
consommation
double en sept ans. Les compagnies essaient tout simplement de faire
87
sibilité manifeste d’accroître indéfiniment notre
consommation
d’énergie, comment s’organiser pour vivre aussi bien, voire mieux, en
88
n impératif technique et économique, parce que la
consommation
d’électricité » (ça a été mesuré par les ordinateurs !) « double tous
89
nce comme un fait scientifique que désormais « la
consommation
d’électricité va doubler tous les sept ans », j’oppose le type de pré
90
se le type de prévision qui nous fait voir que la
consommation
d’électricité doit cesser de doubler tous les sept ans en Occident, c
91
court terme au passé. Quand elle annonce que « la
consommation
va plus que doubler durant la prochaine décennie » (Time, 17 novembre
92
isme allait donner le modèle) et notre société de
consommation
, — selon que l’on serait au début ou à la fin d’un vaste effort colle
93
la société industrielle, aussi nommée société de
consommation
, sont par définition insatiables et inextinguibles. Ils ne seront jam
94
e où l’homme devait s’adapter à l’industrie, à la
consommation
, donc à la production, sans cesse accrues, et où, selon la phrase fam
95
ers la satisfaction réelle, non vers l’avidité de
consommation
intoxicante ; vers la compétition éthique plutôt que financière, ou m
96
nduits par la publicité, ou déduits de courbes de
consommation
qu’on tentait de relever jusqu’à l’exponentiel. Le marketing a introd
97
pour leur niveau de vie ou plus exactement : leur
consommation
d’électricité. Mais on ne peut pas avoir, comme on dit chez moi, le b
98
, quand il serait réellement « impératif » que la
consommation
d’énergie double tous les dix ans, je serais contre, parce qu’elles s
99
rogrès matériel, de production industrielle et de
consommation
illimitées nous ont conduits au seuil d’une série de désastres parfai
100
re que la population occidentale diminue, mais la
consommation
augmente… Mais c’est bien là, justement, tout le problème. Il n’y a a
101
calcul qui est tout bête : selon les experts, la
consommation
d’électricité double tous les sept ans. S’il faut suivre ce rythme, ç
102
ligion qui consiste à doubler tous les dix ans la
consommation
en électricité. Vous voulez empêcher l’homme d’aller toujours plus vi
103
ents, d’énergie, de machines et d’emplois, et une
consommation
au moins doublée d’oxygène, d’eaux buvables, et de ressources naturel
104
tant de la population occidentale que des taux de
consommation
. « Autrement, comment calculer18 ? » Et tous, prévoient à plus ou moi
105
soins de 10 milliards d’hommes ayant un niveau de
consommation
double de celui actuellement atteint aux États-Unis (où il est enviro
106
nous plongerait dans le cauchemar sans fin d’une
consommation
forcenée et d’une pollution démentielle. Comment expliquer ces propos
107
ts obligera les pays consommateurs à réduire leur
consommation
dans huit ans. Il n’y a donc pas de temps à perdre pour préparer d’au
108
aies finalités de ce que l’on nomme la société de
consommation
. (A-t-on remarqué que cette expression est la définition même du trou
109
t un total, obtenu par l’addition des dépenses de
consommation
, des investissements privés, et des dépenses gouvernementales. Cette
110
NB définit à lui seul, et beaucoup mieux que la «
consommation
», l’esprit de notre société occidentale, qu’elle soit d’ailleurs cap
111
économiste américain E. S. Mason, montrait que la
consommation
dans un pays sous-développé de l’énergie produite par une petite cent
112
1974, leurs brochures de publicité poussent à la
consommation
. On peut y lire que nous voici sortis de l’ère où il convenait d’ordo
113
s USA, « ils doivent » tripler ou quintupler leur
consommation
, déclare leur propre agence énergétique nationale. Ainsi, par la publ
114
années 1965 à 1973 étaient fausses. Nulle part la
consommation
n’a augmenté aux taux prévus. L’argument des « besoins à couvrir » qu
115
e faire voir comment notre refus de multiplier la
consommation
d’énergie par 16 384 en quatre-vingt-dix-huit ans signifierait un ret
116
rier 1974). Je lis aussi, le 6 avril 1976, que la
consommation
d’énergie a régressé au total de 2 % en 1975 (– 0,6 % pour les ménage
117
985 les 20 % qui manqueraient dramatiquement à la
consommation
prévue. S’il est vrai que 20 % moins 20 % égale zéro, l’énergie nuclé
118
en vue de la production de biens matériels, de la
consommation
et de la « Défense », expansion coloniale, puis scientifico-technique
119
nce comme un fait scientifique que désormais « la
consommation
d’électricité va doubler tous les sept ans », j’oppose le type de pré
120
se le type de prévision qui nous fait voir que la
consommation
d’électricité doit cesser de doubler tous les sept ans en Occident, c
121
court terme au passé. Quand elle annonce que « la
consommation
va plus que doubler durant la prochaine décennie93 », elle décide en
122
isme allait donner le modèle) et notre société de
consommation
— selon que l’on serait au début ou à la fin d’un vaste effort collec
123
modestes réseaux d’autoroutes et les capacités de
consommation
de ces pays. La masse énorme de pétrodollars qu’ils peuvent jeter sur
124
user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la
consommation
. Il rend plus complet l’esclavage de l’ouvrier, puisqu’il englobe jus
125
n le réduit à des fonctions de main-d’œuvre et de
consommation
, sans même se rendre compte qu’on le réduit ? Quand on voit dans le t
126
« Le capitalisme nous impose un mode de vie et de
consommation
qu’il nomme progrès, et qui se traduit par des maladies graves, des i
127
st-elle un produit spécifique de notre société de
consommation
et du capitalisme de profit ? La destruction massive et populaire des
128
ion simultanée, de 20 à 75 % selon les cas, de la
consommation
, de la production, de la natalité et des investissements, et surtout
129
s nucléaires. « L’humanité a besoin de doubler sa
consommation
d’énergie tous les dix ans », affirment-ils. C’est de la démence pure
130
ation de renoncer à la jouissance de ces biens de
consommation
qu’ils n’ont jamais possédés ; pourquoi leur demander à eux des sacri
131
ue le tiers-monde rejoigne jamais notre niveau de
consommation
et de gaspillage. Il n’y a pas assez de matières premières dans le mo
132
il peut ou même qu’il doit continuer à doubler sa
consommation
d’énergie tous les dix ans. Mais, Denis de Rougemont, vous entendez c
133
e gaspillage ». On pourrait économiser 30 % de la
consommation
actuelle d’énergie en Occident et vivre aussi bien. Or 30 % c’est plu
134
ils vraiment liés à la croissance du PNB et de la
consommation
d’énergie, comme l’ont cru depuis le siècle dernier, identiquement, c
135
itée de la production industrielle a entraîné une
consommation
toujours plus gaspillante d’énergie, d’où la « nécessité » des centra
136
du même pouvoir) : l’éducation, la recherche, la
consommation
, les techniques, l’alimentation, le crédit, les énergies et, par voie
137
vers l’an 2000 — et qu’enfin, la croissance de la
consommation
d’électricité, condition de la croissance industrielle, elle-même con
138
ts de circulation, les cliniques antidrogues, la
consommation
des médicaments, les hôpitaux ? Dans tous ces cas, le PNB s’accroît »
139
, quand il serait réellement « impératif » que la
consommation
d’énergie double tous les dix ans, je serais contre, parce qu’elles s
140
nt-ils jamais demandé comment il se fait qu’à une
consommation
d’énergie quintuplée depuis dix ans corresponde un accroissement sext
141
nt-ils jamais demandé comment il se fait qu’à une
consommation
d’énergie quintuplée depuis dix ans corresponde un accroissement sext
142
la production littéraire et artistique ou à leur
consommation
si on le prenait à la lettre. Hors des Nations unies, c’est-à-dire de
143
ils vraiment liés à la croissance du PNB et de la
consommation
d’énergie, comme l’ont cru, depuis le siècle dernier, capitalistes et
144
roduction et du niveau de vie, c’est-à-dire de la
consommation
. Mais du fait même de ces « progrès », ou plutôt de cette progression
145
publicité) qui le poussent vers toujours plus de
consommation
, de dépenses, de besoin de gagner plus, et donc de frustration et d’i
146
ent général du monde vers une productivité et une
consommation
accrues à l’infini ; ou si elle est le signal d’alarme indiquant l’ur
147
; enfin à une certaine lassitude de la société de
consommation
. Le chômage n’est donc pas un accident conjoncturel dans notre socié
148
été industrielle ordonnée à la production et à la
consommation
quantitatives, selon les calculs inexplicables de centres lointains e
149
firont à situer le problème global de l’énergie.
Consommation
mondiale d’énergie : en 1900 500 millions de TEP* en 1950 1
150
s le nucléaire) 370 640 Importations 635 1160
Consommation
1005 1800 La consommation globale d’énergie, selon la plupart des p
151
portations 635 1160 Consommation 1005 1800 La
consommation
globale d’énergie, selon la plupart des prévisions présentées à la Co
152
pourrait qu’augmenter avec l’accroissement de la
consommation
d’énergie, jusqu’au jour — dans vingt ans, dans trente ans — où la re
153
es mêmes du problème Mais cet accroissement de
consommation
est-il fatal ? Le postulat sur lequel reposent toutes les prévisions
154
-le, une croissance continue (même freinée) de la
consommation
d’énergie. Mais le problème est-il bien posé ? Quelles pourraient êtr
155
ent être, en effet, les raisons d’augmenter notre
consommation
d’énergie, dès lors que : — la croissance démographique des Européens
156
% en 1978, quelques pays en sont à 2 %) ; — les
consommations
excessives sont partout dénoncées et reconnues, la lutte contre le ga
157
étendues évidentes d’accroître sans relâche notre
consommation
d’énergie se révèlent de mauvaises raisons, non seulement contestable
158
20 %, voire à 30 % les économies possibles sur la
consommation
actuelle, sans nulle diminution de la production, ni du confort, alor
159
ournir dans la meilleure hypothèse que 17 % de la
consommation
totale en 1985, et beaucoup plus probablement 9 % (prévision de la CE
160
de s’hypnotiser sur la croissance indéfinie de la
consommation
d’énergie, qui ne peut conduire qu’à des impasses dramatiques ; au li
161
sions communautaires) le taux de croissance de la
consommation
d’énergie (le plan Carter prévoit de passer de 5 % à 2 %), la consomm
162
e plan Carter prévoit de passer de 5 % à 2 %), la
consommation
d’essence pour les autos (plan Carter : moins 10 %), la température m
163
er de 15 %, par choix volontaire des citoyens, la
consommation
privée d’électricité, en instituant une journée et une nuit par semai
164
projection des années folles d’avant 73) et de la
consommation
d’énergie doublant tous les dix ans. Ils ne veulent pas d’un modèle o
165
Inflation et chômage Inflation Prix à la
consommation
— Indices de prix (1975 = 100) EUR 9 D F I NL 1976 110,9
166
tel produit, sans telle machine, sans tel type de
consommation
. Il n’y a d’impératifs que de la Nature, de la physiologie (à de rare
167
chez les drogués. Application très évidente à la
consommation
d’énergie électrique et au gaspillage du pétrole. Les Occidentaux son
168
ître indéfiniment notre production, et donc notre
consommation
d’énergie. La première erreur était pardonnable à l’époque, je soulig
169
vitable et souhaitable, de la production et de la
consommation
d’énergie par l’humanité du xxe siècle. Elle consistait dans le refu
170
2000 ou 2050 ; — et qu’enfin, la croissance de la
consommation
d’électricité, condition de la croissance industrielle, elle-même con
171
nts de circulation, les cliniques antidrogues, la
consommation
des médicaments, les hôpitaux ? Dans tous les cas, le PNB s’accroît !
172
, quand il serait réellement « impératif » que la
consommation
d’énergie double tous les dix ans, je serais contre, parce qu’elles s
173
férences nationales dans l’usage, la création, la
consommation
de la culture, telles que l’expression de « cultures nationales » ne
174
Par son œuvre épuisante et qui l’aura trompé à la
consommation
de tous les temps, il nous libérera des tentations qu’il a pour fonct
175
n gré mal gré à ce que l’on nomme la « société de
consommation
» — inaugurée par Ève lorsqu’elle croqua la Pomme. C’est en somme le
176
, quand il serait réellement « impératif » que la
consommation
d’énergie double tous les dix ans, je serais contre, parce qu’elles s
177
ite-gauche, totalitaires-démocrates, destiné à la
consommation
des mass médias et à rien d’autre. Ce qu’on prépare avec méthode, c’e
178
lture soit pris au sens actif de création (non de
consommation
ni d’ornement) ; au sens actif d’évaluation, d’établissement et de ma
179
c l’avènement de la civilisation industrielle, la
consommation
, l’abondance, la dissociation des liens familiaux, des coutumes de cl
180
ui, avec l’augmentation de la population et de la
consommation
, tout le pétrole de la terre semble devoir être brûlé d’ici trente an