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ur mériter quelques instants de plénitude dans la
contemplation
de sommets assez rares. Personne, à notre connaissance, ne s’était ri
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parfois dans une rancune obscure, ou bien dans la
contemplation
jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfa
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avec le Christ des évangiles, se réduisait à une
contemplation
de sa vie. Dans cette difficulté, le jeune théologien interroge Calvi
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et Ève). La plénitude du monde n’est pas dans la
contemplation
d’un esprit immobile. La plénitude du monde est un événement. Elle a
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us pouvoir mourir, ne plus pouvoir renaître ? La
contemplation
religieuse du monde sans l’acuité et la profondeur de l’intellect fai
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t trop clair qu’on peut inverser la maxime : « La
contemplation
intellectuelle du monde sans l’acuité et la profondeur de la foi fait
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a beaucoup écrit sur la fameuse opposition de la
contemplation
et de l’action. Une notion claire de ce qu’est la vision eût peut-êtr
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lentendus illustres. L’action est un moment de la
contemplation
essentiellement active et transformatrice. La métaphysique de l’Ancie
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rmant que la béatitude réside in visione, dans la
contemplation
de la Face de Dieu, le second qu’elle réside in amore ? N’était-ce pa
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sur les quais de la Seine, au plus profond d’une
contemplation
des eaux nocturnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher.
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as de nom et dont personne ne songerait à parler,
contemplation
de la terre, ou d’une bestiole à son travail, sentiment de la journée
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sur les quais de la Seine, au plus profond d’une
contemplation
des eaux nocturnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher.
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n comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de
contemplation
»90, mais comme une existence incomparable et autonome à son côté, un
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s’est pas abandonné aux « saintes délices » de la
contemplation
. Il ne s’est libéré de certaines servitudes que pour mieux servir le
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ique : c’est la « pure présence ineffable », la «
contemplation
sans objet ». Je pense donc qu’il est légitime de suivre Albert Bégui
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accepter leur moi coupable et le monde réel. La «
contemplation
sans objet » à laquelle ils parviennent en de très rares instants n’e
17
ns fin. L’Essylt des légendes sacrées, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au
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t celtique était aussi une magicienne, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux. ») Dans le Château de l’Âme habitent d’autres
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res : l’absorption de toutes les facultés dans la
contemplation
de l’amour seul. Un trait profond de la passion — et de la mystique e
20
propre effet. Il n’est point un plaisir, mais une
contemplation
. » Aucun doute ne demeure possible : l’Amour est la passion mystique.
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elui qui est pénétré d’amour puise la vie dans la
contemplation
de sa dame, car ainsi il soulage sa grande peine… Mais la dame n’a po
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n comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de
contemplation
», mais comme une existence incomparable et autonome à son côté, une
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e nom signifiait « spectacle mystérieux, objet de
contemplation
», fée irlandaise, cavale aux crins blancs, ou encore figuration de l
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ns fin. L’Essylt des légendes sacrées, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au
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t celtique était aussi une magicienne, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres
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res : l’absorption de toutes les facultés dans la
contemplation
de l’amour seul. Un trait profond de la passion — et de la mystique e
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propre effet. Il n’est point un plaisir, mais une
contemplation
. » Aucun doute ne demeure possible : l’Amour est la passion mystique.
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elui qui est pénétré d’amour puise la vie dans la
contemplation
de sa dame, car ainsi il soulage sa grande peine… Mais la dame n’a po
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n comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de
contemplation
», mais comme une existence incomparable et autonome à son côté, une
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ns fin. L’Essylt des légendes sacrées, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au
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t celtique était aussi une magicienne, « objet de
contemplation
, spectacle mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres
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res : l’absorption de toutes les facultés dans la
contemplation
de l’amour seul. Un trait profond de la passion — et de la mystique e
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propre effet. Il n’est point un plaisir, mais une
contemplation
. » Aucun doute ne demeure possible : l’Amour est la passion mystique.
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elui qui est pénétré d’amour puise la vie dans la
contemplation
de sa dame, car ainsi il soulage sa grande peine… Mais la dame n’a po
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n comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de
contemplation
», mais comme une existence incomparable et autonome à son côté, une
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e nom signifiait « spectacle mystérieux, objet de
contemplation
», fée irlandaise, cavale aux crins blancs, ou encore figuration de l
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parfois dans une rancune obscure, ou bien dans la
contemplation
jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfa
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ique : c’est « la pure présence ineffable », la «
contemplation
sans objet ». Il est donc légitime de suivre Albert Béguin dans cette
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accepter leur moi coupable et le monde réel. La «
contemplation
sans objet » à laquelle ils parviennent en de très rares instants n’e
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nt en occultisme comme sujet de méditations et de
contemplation
, au cours d’exercices poursuivis aux fins d’arriver à l’illumination.
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général le suivant : l’étudiant commençait par la
contemplation
d’une carte isolée, puis il la reliait graduellement à d’autres carte
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parfois dans une rancune obscure, ou bien dans la
contemplation
jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfa
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parfois dans une rancune obscure, ou bien dans la
contemplation
jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfa
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sur les quais de la Seine, au plus profond d’une
contemplation
des eaux nocturnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher.
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parfois dans une rancune obscure, ou bien dans la
contemplation
jalouse d’un vieil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfa
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rnes ; mais elle ne s’en était servie que pour la
contemplation
, pour la recherche désintéressée de la connaissance (qu’on se rappell
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rêve intime de l’amant. Ce n’est plus un objet de
contemplation
, mais un sujet agissant pour son compte. Le dialogue viendra donc néc
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pas comme prétexte à s’exalter ou comme objet de
contemplation
, mais comme une existence incomparable et autonome à laquelle on voud
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xactes, et encore moins de l’économie, mais de la
contemplation
de ce qui coule, résiste, brûle ou s’évapore, c’est-à-dire des quatre
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l pour se vouer à l’artisanat, au jardinage, à la
contemplation
ou au bouddhisme zen. Car les besoins et les désirs de la société ind