1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 ctuelle. Grand siècle de critique pour lequel nos contemporains accumulent les documents. La littérature de ces dernières années n’es
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
2 y, L’Île des bardes (décembre 1925)m L’Irlande contemporaine offre un spectacle bien passionnant : celui de la renaissance d’une l
3 des bardes. “Notes sur la littérature irlandaise contemporaine ” (Flammarion, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève,
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
4 notre temps ». Et je déplie ce plan d’une « ville contemporaine  ». Pures géométries de verre et de ciment blanc, flamboyantes au sole
5 tion de ce phénomène de haute poésie — la « ville contemporaine  ». Un labeur précis et anonyme concourt obscurément à cette parfaite
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 pire, explique un vaste domaine de la littérature contemporaine . Cette sorte-là de sincérité, on la nomme gratuité. Lafcadio poussant
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 e s’est plu à relever les indices chez ses jeunes contemporains , et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et surtout de son
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
8 sorte d’instable équilibre, les tendances que ses contemporains ont poussées à l’extrême avec moins de prudence mais aussi de lucidit
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
9 s-nous accepté le sort communément heureux de nos contemporains qui ont puisé dans Auguste Comte cette tranquillité de rejeter défini
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 qu’il avait pris quelques années d’avance sur ses contemporains . Un jour les jeunes le rattrapent. Salutations, présentations : « And
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
11 ants de concupiscences élémentaires : Ce sont vos contemporains livrés à la démocratie des plaisirs achetés au détail dans une foire
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
12 ues : l’angoisse que fait naître au cœur du monde contemporain l’absurdité de ses ambitions. Écoutons Garine, l’un de ces chefs (c’e
13 oici André Malraux au premier rang des romanciers contemporains . au. « André Malraux : Les Conquérants (Grasset) », Bibliothèque un
11 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
14 fusquent ceux-là seuls que l’outrancière habileté contemporaine écœure plus que tout. Plutôt donc que de discuter ces thèses, je voud
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
15 me du xxe siècle que l’idéaliste salue comme son contemporain  ; en tant qu’il croit à l’Incarnation et qu’il va à la Messe, il se c
16 l’an dernier. 15. « Remarques sur l’irréligion contemporaine  ». d. « Sécularisme », Foi et Vie, Paris, n° 25, mars 1931, p. 184-1
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
17 ifeste. Voici Dufy, le plus inventif des artistes contemporains , avec une « Peinture » d’un intense lyrisme de couleurs. Zingg avec u
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
18 ans la lutte pour la vie que nous impose le monde contemporain , c’est l’habileté qui triomphe, et non plus la « virtu ». L’héroïsme,
15 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
19 ntisme du xixe siècle se réduit, aux yeux de nos contemporains , à un moralisme libéral. Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste,
20 estantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contemporains se le représentent, ne pouvait s’exprimer que dans la forme du roman
16 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
21 u scientifique à la Philosophie en miettes. » 2. Contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Sorel ! Mais l’histoir
17 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
22 érités premières, encore que la pensée bourgeoise contemporaine , comme l’a fort bien montré Nizan, les tienne en particulière méfianc
18 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
23 s l’action qu’elle commande à des millions de nos contemporains . Il y a aussi ceux qui se bornent à affirmer la nécessité d’une pensé
24 t donc abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses contemporains qu’ils ont tort de penser ceci ou cela avec passion. Il faut encore l
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
25 ants de concupiscences élémentaires : Ce sont vos contemporains livrés à la démocratie des plaisirs dans une foire éclatante de faux
20 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
26 s. Et je crois distinguer à divers signes que mes contemporains , sans se lasser du romanesque, découvrent que la littérature peut app
27 ace des forces terribles déchaînées dans le monde contemporain voit bien que la question n’est plus de s’évader, de se distraire en
21 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
28 agner. Tel est l’aspect décourageant du paganisme contemporain . Il sévit dans nos églises, avec une virulence sourde, attisée de tem
22 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
29 marquable, le met aux antipodes de ces historiens contemporains dont le succès consiste, lorsqu’ils citent des textes, à donner l’imp
23 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
30 ntres et de chapeaux melons. La France n’est plus contemporaine des nations qui l’entourent et qui la menacent. Tel est le fait. Elle
24 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
31 tisme ; c’est le style antithétique des huguenots contemporains de la Pléiade, si méchamment enterrés par les jésuites dans leurs His
25 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
32 igurer d’ores et déjà dans les manuels d’Histoire contemporaine . Les révolutions russe, italienne et allemande, succédant à la chute
26 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
33 ociale, les fondateurs du socialisme scientifique contemporain , Marx et Engels, étaient des intellectuels bourgeois. De même, en Rus
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
34 tieux au dernier degré. La grande majorité de nos contemporains ne croit pas en Dieu et sait qu’elle n’y croit pas. Mais elle garde c
35 le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant
28 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
36 i le mot n’était mal entendu de la plupart de nos contemporains . « L’action », Dandieu ne la concevait pas distincte ou détachée d’un
37 l’introduction de son Anthologie des Philosophes contemporains , mais aussi dans les études qu’il publiait en revue sur la phénoménol
29 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
38 ent du domaine de la poésie ». L’origine du mythe contemporain de l’inconscient ne serait-elle pas, elle aussi, dans ce refus de cro
39 êtu de sa royale charité.   P.-S. — Nul écrivain contemporain mieux que C. F. Ramuz n’a su replacer l’homme dans la perspective bib
30 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
40 sme, contre toutes les formes du « matérialisme » contemporain , nous disons simplement ceci : nous voulons que l’homme redevienne re
31 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
41 ire tomber les barrières morales qui séparent nos contemporains , l’on s’en persuadera facilement en lisant les récits de Begbie. Les
42 uelques-uns des événements décisifs de l’histoire contemporaine . Kagawa est le chef du Jeune Japon, l’écrivain le plus fécond et le p
43 une autre contre la guerre de Chine. « La société contemporaine est une invalide, mentalement dégénérée, écrit-il. Les banques, l’arm
32 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
44 croissant avec le temps. La philosophie allemande contemporaine , avec ses deux grands maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa ph
33 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
45 ais il faut prendre garde de laisser croire à nos contemporains que ce pire ne puisse être aggravé, si tant est qu’ils s’y abandonnen
34 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
46 es lieux communs puissants. Nous voyons la Russie contemporaine restaurer le pouvoir de la littérature sur les masses, parce qu’elle
35 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
47 out simplement. Mais il manque à presque tous nos contemporains . J’entends, par sens social, la connaissance vivante du principe spir
36 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
48 rgument. Prenez une liste des romanciers français contemporains . Vous y trouverez un bon quart de protestants, c’est-à-dire dix fois
37 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
49 me. Mais la plupart des autres, la plupart de nos contemporains , est-ce qu’ils ne disent pas plutôt. « Fichez-moi la paix ! Faites-mo
38 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
50 diversité des conjectures formées par les savants contemporains , à l’aide de la même méthode appliquée aux mêmes endroits du texte. L
39 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
51 es. L’apparition de la psychologie est à peu près contemporaine de celle de l’homme abstrait dans l’ordre politique. Et l’extension d
40 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
52 rateur. Qu’un homme cherche à juger quelque folie contemporaine , choisie parmi les plus pratiquement meurtrières (le nationalisme par
41 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
53 proprement fiévreux des grands mouvements sociaux contemporains (hitlérisme) est très frappant. Il n’y a pas lieu d’insister sur ce p
42 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
54 tieux au dernier degré. La grande majorité de nos contemporains ne croit pas en Dieu et sait qu’elle n’y croit pas. Mais elle garde c
55 le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant
43 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
56 Ce fait existe. Mon action consiste à m’en rendre contemporain . Au terme de mon action, il y aura un échec ou un succès terrestre, p
44 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
57 i de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines  ?40 L’une des caractéristiques de notre temps, c’est sans doute le b
45 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
58 , sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contemporains , l’avantage d’être comestible. Le mythe moderne du bonheur n’est qu’u
46 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
59 rateur. Qu’un homme cherche à juger quelque folie contemporaine , choisie parmi les plus pratiquement meurtrières (le nationalisme, pa
47 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
60 proprement fiévreux des grands mouvements sociaux contemporains (hitlérisme) est très frappant. Il n’y a pas lieu d’insister sur ce p
48 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
61 tieux au dernier degré. La grande majorité de nos contemporains ne croit pas en Dieu et sait qu’elle n’y croit pas. Mais elle garde c
62 le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant
49 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
63 Ce fait existe. Mon action consiste à m’en rendre contemporain . Au terme de mon action, il y aura un échec ou un succès terrestre, p
50 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
64 i de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines  ?33 L’une des caractéristiques de notre temps, c’est sans doute le b
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
65 , sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contemporains , l’avantage d’être comestible. Le mythe moderne du bonheur n’est qu’u
52 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
66 kegaard, cette opération paradoxale qui nous rend contemporains du Christ incarné, et qui nie par là même la valeur de tous les siècl
67 rticipe pour son compte. Il est très vrai que nos contemporains ont cessé de croire, dans l’ensemble, que le salut était déjà venu. I
68 hommes. Ne voyons-nous pas au contraire le monde contemporain entièrement dominé par une religion de la vie, de « l’intensité » de
53 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
69 t de même le trait qui le distingue des fascistes contemporains . Certes, en tête de l’arrêt de révocation, rédigé par Michel Le Telli
54 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
70 est le sinistre négatif du dogmatisme mort de ses contemporains . Il attaque à droite et à gauche, utilisant tantôt la droite contre l
71 entre deux êtres, ou bien entre une pensée et les contemporains , ne peut être établi qu’en vertu d’une action obéissant à des mobiles
55 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
72 tion de Pierre devant Jésus, bref, de nous rendre contemporains de Jésus-Christ en faisant abstraction du temps qui nous sépare de so
73 jet de nous rendre, d’une façon ou d’une autre, «  contemporains  » de l’apparition de Jésus-Christ. Mais ne jouons pas sur le mot pour
74 us, le rabbi de Nazareth, mais il ne devient le «  contemporain  » du Fils de Dieu qu’à l’instant où, par la foi, il prononce : « Tu e
75 n plaisir » de Dieu seul que nous pouvons devenir contemporains de sa Parole. Nicodème a beau vivre en même temps que le Christ : il
76 l ne voit en lui qu’un prophète, il n’est pas son contemporain . Les disciples d’Emmaüs ont beau cheminer aux côtés du Christ : ils n
77 miner aux côtés du Christ : ils ne deviennent ses contemporains qu’à l’instant où lui-même se révèle à eux. Et des deux brigands du C
78 x brigands du Calvaire, l’un seulement devient le contemporain de son Sauveur. Ce dernier exemple fait sentir l’échec final de toute
79 ute méthode historique qui voudrait nous rendre «  contemporains  » de Christ. Car cette méthode, par elle-même, ne peut nous conduire
80 science, de poésie ou d’éloquence, nous rendre «  contemporains  » de la Parole ou de ses témoins bibliques ; 2° qu’ils ne peuvent avo
56 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
81 cesse Kierkegaard ? Être chrétien, c’est devenir contemporain de Jésus-Christ dans son abaissement. Contemporains ! Mais Nicodème a
82 ontemporain de Jésus-Christ dans son abaissement. Contemporains  ! Mais Nicodème aussi fut contemporain de Jésus. Et même il sut recon
83 issement. Contemporains ! Mais Nicodème aussi fut contemporain de Jésus. Et même il sut reconnaître en ce Jésus un docteur envoyé pa
84 e, faisons-nous autre chose que lui ? Sommes-nous contemporains du Christ autrement ou plus réellement qu’il ne le fut, cette nuit-là
57 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
85 nerai personne si je constate que dans l’humanité contemporaine , le chrétien n’est plus le type normal. Il tend à devenir l’exception
86 dernières, si ce n’est le chrétien, dans la cité contemporaine  ? Et s’il ne le fait pas, qui d’autre est en mesure d’assumer cette c
58 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
87 uments accessibles sur la manière de vivre de nos contemporains  ? Nous avons des reportages et des biographies, c’est-à-dire des moye
59 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
88 as du tout de décevoir ce goût de positif que mes contemporains , à tort et à travers, opposent à toute critique un peu trop perspicac
60 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
89 aussi bien — s’il refuse le siècle précédent — un contemporain spirituel de cet « homme du xviiie siècle » ? Je pourrais vous citer
61 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
90 , supprimant toute distance historique, nous rend contemporains de Son incarnation. Ainsi l’acte de foi détruit le temps où il a lieu
62 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
91 tant que tu as été attirant ; alors tu verras tes contemporains se passionner et bientôt s’enflammer contre toi.38 Tel fut le sort q
63 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
92 abstraits de cette formule par un fait ou un nom contemporains .   1. Temps et lieux : l’Europe d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deu
93 ions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine nous indiquent aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts procha
64 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
94 bien j’écrirais des histoires pour distraire mes contemporains . Mais je crois qu’il est encore temps de dévisager le péril : il ne p
65 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
95 ement de la culture. Je ne vois qu’un seul de nos contemporains qui ait étudié sérieusement les causes historiques de cette situation
66 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
96 . L’histoire de cette fatalité est celle du monde contemporain . Son mécanisme est simple, et son rythme constant. La raison joue le
67 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
97 abstraits de cette formule par un fait ou un nom contemporains . ⁂ 1° Temps et lieux : l’Europe d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deu
98 ions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine , nous indiquent aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts proch
68 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
99 rd deux malentendus très courants dans les débats contemporains . Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : je veux être ut
69 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
100 u conformisme insaisissable qui paralyse l’esprit contemporain , le destitue de sa primauté nécessaire, et prolétarise l’élite. Car s
101 l faut bien constater que plusieurs générations —  contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolstoï ! mais la duré
102 s de la propriété peut obscurcir, aux yeux de mes contemporains , les liaisons essentielles du communisme et du capitalisme. Seule, un
103 s représentent l’aspect scientifique de la pensée contemporaine , on comprendra sans peine la belle ruse de certains de ces Messieurs,
104 qui ne nous laisse pas intacts : tous ceux de nos contemporains qui déclarent s’en remettre aux faits lorsqu’il s’agit de leur destin
70 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
105 ’évasion qui affecte presque toute la littérature contemporaine . Laquelle l’a propagé dans les couches populaires avec un succès qui
106 le but dernier de son activité. Combien d’auteurs contemporains oseraient rendre un compte public de leurs motifs ? À supposer même q
107 s’en sont occupés97. La personne, c’est pour nos contemporains la découverte non pas du moi, mais bien du toi. La découverte de l’ex
71 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
108 ment de la culture. Je ne vois qu’un seul de nos contemporains qui ait étudié sérieusement les causes historiques de cette situation
72 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
109 . L’histoire de cette fatalité est celle du monde contemporain . Son mécanisme est simple, et son rythme constant. La raison joue le
73 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
110 abstraits de cette formule par un fait ou un nom contemporains . ⁂ 1° Temps et lieux : l’Europe d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deu
111 ions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine , nous indiquent aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts proch
74 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Préambule
112 rd deux malentendus très courants dans les débats contemporains . Je ne cherche pas à bâtir un système dans l’absolu : je veux être ut
75 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
113 u conformisme insaisissable qui paralyse l’esprit contemporain , le destitue de sa primauté nécessaire, et prolétarise l’élite. Car s
114 l faut bien constater que plusieurs générations —  contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolstoï ! mais la duré
115 s de la propriété peut obscurcir, aux yeux de mes contemporains , les liaisons essentielles du communisme et du capitalisme. Seule, un
116 s représentent l’aspect scientifique de la pensée contemporaine , on comprendra sans peine la belle ruse de certains de ces Messieurs,
117 qui ne nous laisse pas intacts : tous ceux de nos contemporains qui déclarent s’en remettre aux faits lorsqu’il s’agit de leur destin
76 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
118 ’évasion qui affecte presque toute la littérature contemporaine . Laquelle l’a propagé dans les couches populaires avec un succès qui
119 le but dernier de son activité. Combien d’auteurs contemporains oseraient rendre un tel compte de leurs motifs ? À supposer même qu’i
120 s’en sont occupés100. La personne, c’est pour nos contemporains la découverte non pas du moi, mais bien du toi. La découverte de l’ex
77 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
121 les célébrités les moins contestées de la France contemporaine . N’y a-t-il pas là (comme disent les étrangers qui ont appris le fran
78 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
122 el sens entendent-ils agir sur les mœurs de leurs contemporains  ? Ils prétendent faire de pures et simples descriptions de la Vie (av
79 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
123 très vite, une patine rassurante. Quant au roman contemporain , il est curieux que Thibaudet, son premier historien, ne tente d’en s
80 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
124 go, Baudelaire et Mallarmé, pour ne rien dire des contemporains . Il serait passionnant, à cet égard, de pousser plus avant cette étud
81 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
125 qu’ils prennent au sérieux l’incroyance de leurs contemporains . Au fond, ils en ont peur. Or ils devraient n’avoir peur que de Dieu,
82 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
126 oient acceptées (ou simplement connues !) par nos contemporains , même chrétiens. Il s’en faut de beaucoup, de presque tout, que les a
83 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
127 m’étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine  : tout cela se dégageait ici de la mesquinerie hargneuse des polémiqu
84 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
128 e tout « ramener » à des catégories scientifiques contemporaines . Or ces catégories se trouvent fréquemment périmées au moment où l’ou
85 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
129 ment à envisager le sort d’environ 30 millions de contemporains . D’autant plus que des partis politiques « dangereux » prennent soin
130 llement à la Providence ? Beaucoup de philosophes contemporains disent que la Providence est un opium ; que l’homme s’endort à imagin
131 m’étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine  : tout cela se dégageait ici de la mesquinerie hargneuse des polémiqu
86 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
132 de sa vie. C’est émouvant… Mais la plupart de nos contemporains , est-ce qu’ils ne disent pas plutôt : « Fichez-moi la paix ! Faites-m
133 qu’ils prennent au sérieux l’incroyance de leurs contemporains . Au fond, ils en ont peur. Or, ils devraient n’avoir peur que de Dieu
87 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
134 ’est-il, ou personne ? » — Mais je crains que mes contemporains , tout prêts qu’ils sont à applaudir Diderot, ne sentent plus guère la
88 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
135 oient acceptées (ou simplement connues !) par nos contemporains , même chrétiens. Il s’en faut de beaucoup, de presque tout, que les a
89 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
136 l serait excessif d’estimer que la plupart de nos contemporains sont en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boir
90 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
137 faucille et marteau : trois-cents-millions de nos contemporains , s’ils ne portent pas sur eux cette Marque, se voient rejetés de la c
91 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
138 i : car enfin, vous les jeunes, mes cadets ou mes contemporains , vous êtes le vrai public d’un livre comme le Journal , celui qu’il
92 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
139 ierkegaard est ma démesure, Goethe mon équilibre. Contemporains , ils se seraient détestés. Et c’est moins un dialogue en moi qu’une l
140 peut lui répondre.   (Note pour certains de mes contemporains  : un prophète n’est pas un devin, astrologue ou conteur de l’avenir,
93 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
141 t « d’appels plastiques à l’avenir ». Un écrivain contemporain , conscient de l’impasse où l’a conduit l’idéal d’une poésie pure, pou
94 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
142 prendre conscience de sa vie et de la vie de ses contemporains . Si je m’attache au mythe de Tristan, c’est qu’il permet de dégager u
95 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
143 isé. Nous voyons qu’en Orient23, et dans la Grèce contemporaine de Platon, l’amour humain est très généralement conçu comme le plaisi
96 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
144 t raillait non sans désespoir les rêveries de ses contemporains , adonnés à une illusion dont ils avaient perdu le secret. Don Quichot
97 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
145 l serait excessif d’estimer que la plupart de nos contemporains sont en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boir
98 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
146 ide de laquelle ils s’expliquaient les événements contemporains . En réalité, les guerres, tout comme la politique de leur temps, étai
147 ment parlant, les deux mouvements sont à peu près contemporains . » On a donc supposé une filiation des cisterciens aux troubadours. M
99 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
148 ivilisation dite chrétienne, incitent beaucoup de contemporains à se tourner vers le passé pour y trouver le réconfort d’anciennes vi
149 ment. » Il me semble que le spectacle de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois pas être infidèle à sa pe
100 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
150 prendre conscience de sa vie et de la vie de ses contemporains . Si je m’attache au mythe de Tristan, c’est qu’il permet de dégager u