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nt. Voilà le terrain de ma défense et aussi de ma
contre-attaque
. « Je ne puis, moi, renoncer à rien de ce qui a été humain », dites-v
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fférent qui ne vivra qu’une fois. Il résiste sans
contre-attaque
, sans chercher à détruire un ennemi étranger, car dans toute destruct
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s religieux, lequel fut la ligne de défense et de
contre-attaque
de l’Asie contre la Grèce. En prolongeant les lignes et les problèmes
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dation générale des relations humaines. Devant la
contre-attaque
qu’elle a provoqué par son action, l’Europe se voit aujourd’hui sans
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une relecture sévère, et ces gloses, repentirs et
contre-attaques
où se trahissent des doutes qu’il fallait bien que j’affronte un jour