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vec une sobriété peu rassurante, une théologie du
correctif
. Disons tout de suite que les corrections qu’elle apporte constituent
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té en soi, la mesure de toutes les mesures, et le
correctif
nécessaire à toute opinion personnelle. Lorsqu’un clerc enfin louera
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té en soi, la mesure de toutes les mesures, et le
correctif
nécessaire à toute opinion personnelle. Lorsqu’un clerc enfin louera
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habile, elle est morale d’abord, égalisatrice et
corrective
; la seconde exigerait un esprit créateur. Or ils ont plus de maçons
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habile, elle est morale d’abord, égalisatrice et
corrective
; la seconde exigerait un esprit créateur. Or ils ont plus de maçons
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tout ce qui peut vivre hors d’elles en Dieu. Ce
correctif
posé, il me faut ajouter que, quelle que soit l’évolution de ma pensé
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art, d’admettre que la prison, à titre répressif,
correctif
ou préventif, est une peine trop sommaire pour répondre équitablement