1 e essentiellement poétique. « La « vérité » de la cosmogonie et de la théogonie n’apparaît, ne se constitue que dans la certitude

2 dre essentiellement poétique. La « vérité » de la cosmogonie et de la théogonie n’apparaît, ne se constitue que dans la certitude

3 e essentiellement poétique. « La « vérité » de la cosmogonie et de la théogonie n’apparaît, ne se constitue que dans la certitude

4 peut-être enfin entre les mythes de l’âme et les cosmogonies que nous croyons « observer » ou calculer… Nous verrons tout à l’heur

5 rience et le calcul l’intuition des plus vieilles cosmogonies religieuses : le monde ne s’est manifesté dans ses apparences matérie

6 peut-être enfin entre les mythes de l’âme et les cosmogonies que nous croyons observer ou calculer… Nous verrons tout à l’heure qu

7 train d’être dépassée en Occident, tandis que la cosmogonie traditionnelle des Hindous gagne en vraisemblance « scientifique » du

8 venu à l’Europe » : population, alphabet, droit, cosmogonie — mythe de la Création et astronomie. C’est ce que symbolise le mythe

9 Histoireg 17 décembre 1971 Dans les cosmogonies traditionnelles, l’homme n’était pas, ne pouvait pas être le créateur