1 s bien que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l

2 pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et des pipes de méditation —, des pièces vides où la Lune avance comm

3 s habits de tous les jours, et peu importe si les coudes ou le fond de mon pantalon brillent. En aucun cas je ne veux être emb

4 s bien que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l

5 pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et des pipes de méditation, — des pièces vides où la Lune avance comm

6 s habits de tous les jours, et peu importe si les coudes ou le fond de mon pantalon brillent. En aucun cas je ne veux être emb

7 sage, un peu comme ces paysans qui se poussent du coude quand on les laisse entrer dans le hall du château. L’ennui n’est pas

8 entraîné ce soir-là dans leurs rangs, serrant les coudes , entraîné par l’ivresse de la fraternité indifférente et lâche. Presq

9 entraîné ce soir-là dans leurs rangs, serrant les coudes , entraîné par l’ivresse de la fraternité indifférente et lâche. Presq

10 s excités qui échangent dans un coin des coups de coude significatifs.) Enfin, mes chers amis, si le christianisme n’est pas

11 e seul sentiment d’une fraternité charnelle, d’un coude à coude pathétique. Ce n’est pas là une hypothèse : il suffit de trav

12 entiment d’une fraternité charnelle, d’un coude à coude pathétique. Ce n’est pas là une hypothèse : il suffit de traverser le

13 couvre ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que, d’une seconde à l’autre, peut venir l’ordre de bo

14 orte d’angoisse diffuse, d’où naît le besoin d’un coude à coude où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent

15 ngoisse diffuse, d’où naît le besoin d’un coude à coude où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent. Appel

16 le trottoir. Après quelques instants poussant du coude son compère : « Je fais mon affaire du bonhomme ! dit-il entre ses de

17 le trottoir. Après quelques instants poussant du coude son compère : « Je fais mon affaire du bonhomme ! dit-il entre ses de

18 le trottoir. Après quelques instants, poussant du coude son compère : « Je fais mon affaire du bonhomme ! dit-il entre ses de

19 le trottoir. Après quelques instants, poussant du coude son compère : « Je fais mon affaire du bonhomme ! dit-il entre ses de

20 couvre ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que d’une seconde à l’autre peut venir l’ordre de bond

21 sage, un peu comme ces paysans qui se poussent du coude quand on les laisse entrer dans le hall du château. L’ennui n’est pas

22 s bien que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l

23 pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et des pipes de méditation, — des pièces vides où la Lune avance comm

24 s habits de tous les jours, et peu importe si les coudes ou le fond de mon pantalon brillent. En aucun cas je ne veux être emb

25 e seul sentiment d’une fraternité charnelle, d’un coude à coude pathétique. Ce n’est pas là une hypothèse : il suffit de trav

26 entiment d’une fraternité charnelle, d’un coude à coude pathétique. Ce n’est pas là une hypothèse : il suffit de traverser le

27 couvre ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que d’une seconde à l’autre peut venir l’ordre de bond

28 vers cet énorme malaxage pas à pas de braillards coude à coude, ventre à derrière, et soudain bouche à bouche sur le coup de

29 t énorme malaxage pas à pas de braillards coude à coude , ventre à derrière, et soudain bouche à bouche sur le coup de minuit.

30 lle-même devant un long corridor vert qui fait un coude à droite. Dix portes, toutes pareilles, et pas un nom. J’erre, hésita

31 sage, un peu comme ces paysans qui se poussent du coude quand on les laisse entrer dans le hall du château. L’ennui n’est pas

32 e claquer les portières, leur petit bras coupé au coude . On retient la portière qui allait briser cela, on leur jette quelque

33 ve un phénomène comparable aujourd’hui, autour du coude du Rhin, dans la région de Bâle. Il y a en projet seize centrales nuc

34 sens élémentaire, en offrant une camaraderie, un coude à coude, des liturgies. […] C’était simpliste et ridicule, aussi aber

35 émentaire, en offrant une camaraderie, un coude à coude , des liturgies. […] C’était simpliste et ridicule, aussi aberrant que

36 ire, sociologique) en offrant une camaraderie, un coude à coude, des liturgies — et cela va du tam-tam des tambours nuit et j

37 iologique) en offrant une camaraderie, un coude à coude , des liturgies — et cela va du tam-tam des tambours nuit et jour, jus

38 er, d’aimer et d’être aimé de près ou de loin, au coude à coude dans certains cas d’urgence, d’autres fois en esprit seulemen

39 mer et d’être aimé de près ou de loin, au coude à coude dans certains cas d’urgence, d’autres fois en esprit seulement et par

40 s régions transfrontalières Autour de Bâle, au coude du Rhin, en Suisse alémanique, en Haute-Alsace et dans le pays de Bad

41 seize réacteurs dans un rayon restreint autour du coude du Rhin paraît tout simplement dément aux yeux d’un expert non préven

42 ère Regio basiliensis) qui s’est formée autour du coude du Rhin à Bâle, et qui englobe le Haut-Rhin français, une partie du p

43 proches d’une frontière : 16 centrales autour du coude du Rhin à Bâle, et surgénérateur de Creys-Malville, à 70 km de Genève

44 commun, et de résister à l’implantation autour du coude du Rhin de seize centrales nucléaires (six tranches françaises, cinq

45 région tripartite franco-germano-suisse autour du coude du Rhin à Bâle). Bien plus, la région franco-genevoise a été la premi