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ciment armé. « Notre monde comme un ossuaire est
couvert
des détritus d’époques mortes. Une tâche nous incombe, construire le
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ertaines atmosphères délavées et sourdes. « Temps
couvert
, calme, légères précipitations » annonce le bulletin. Tiens, me dis-j
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s, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui
couvrent
une angoisse. Ça les dérange terriblement, sauf un ou deux qui s’imag
4
s des villes fiévreuses où le fracas des machines
couvre
déjà la plainte humaine. Il y a ceux qui pleurent le passé et ceux qu
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petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis
couvert
de glaces qui, reflétant le plafond à caissons dorés, l’étendent indé
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nuée d’insectes affolés. Les maisons sont basses,
couvertes
du haut en bas d’affiches rouges et jaunes et d’inscriptions cascadan
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antes et finissent en chutes ivres sur des divans
couverts
de coussins Rothermere et Grande Hongrie… Ivresse dans le malheur, pa
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de petites roses cramoisies. On longe une galerie
couverte
, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
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té en ne parlant jamais que par allusions et mots
couverts
. Il intimide un peu le lecteur qui ne se sent pas complice de ses sec
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brutes qu’il recueille dans sa chambre, et qu’il
couvre
de ses propres habits, des prostituées qu’il soigne, des ivrognes qui
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: aussitôt perce l’interrogation que la réussite
couvrait
. Où va notre or, en réalité ? (Dans quelle direction principale.) Où
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ssage de la souffrance. L’excès verbal de Werther
couvre
d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fai
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coup se met à portée d’une riposte. Ils préfèrent
couvrir
de fleurs les lombes des « victimes du devoir ». Grand troupeau pitoy
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es clercs ont trahi, et les cris de M. Benda sont
couverts
par la rumeur de la place. Dans toute la jeune génération littéraire
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petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis
couvert
de glaces qui, reflétant le plafond à caissons dorés, l’étendent indé
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ide, rongé de roses Crimson. On longe une galerie
couverte
, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
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ous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison
couverte
de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les
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lane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs
couverts
de mousse jaune. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jard
19
ntons une rampe pavée qui s’engage sous un porche
couvert
aux colonnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants, deb
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ide, rongé de roses crimson. On longe une galerie
couverte
, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
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lane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs
couverts
de mousse jaune. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jard
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ntons une rampe pavée qui s’engage sous un porche
couvert
aux colonnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants, deb
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ous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison
couverte
de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les
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analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir
couverts
de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignotent irrég
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és. » Phrase mille fois entendue. Les journaux se
couvrent
de photos. La couverture photographique triomphe chez tous les éditeu
26
: parce que le champ d’absorption est loin d’être
couvert
en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
27
domaine, de grandes trahisons. Ce mot d’esprit a
couvert
de douteuses marchandises, et l’activité spirituelle a pu paraître le
28
llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le
couvert
de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
29
ue le refuge d’un antidogmatisme cordial, sous le
couvert
duquel renaissent bien des hérésies, et celles-là mêmes que les réfor
30
e, dans un temps où certain humanitarisme verbeux
couvre
plus d’exactions que jamais le cynisme d’un Talleyrand n’en jugea néc
31
non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour
couvrir
des impuissances trop humaines8. La plupart des « lois scientifiques
32
llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le
couvert
de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
33
sprits, détourner l’attention des faits réels, et
couvrir
ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance «
34
ner aux yeux du peuple49. Cet unitarisme fasciste
couvre
des revendications politiques et culturelles assez contradictoires. I
35
: parce que le champ d’absorption est loin d’être
couvert
en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
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e, dans un temps où certain humanitarisme verbeux
couvre
plus d’exactions que jamais le cynisme d’un Talleyrand n’en jugea néc
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non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour
couvrir
des impuissances trop humaines. La plupart des « lois scientifiques »
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llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le
couvert
de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
39
sprits, détourner l’attention des faits réels, et
couvrir
ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance «
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ner aux yeux du peuple43. Cet unitarisme fasciste
couvre
des revendications politiques et culturelles assez contradictoires. I
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: parce que le champ d’absorption est loin d’être
couvert
en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
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nformisme, dont on sait les raisons commerciales,
couvre
pas mal d’infidélités profondes. Certains sujets mériteraient à peine
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isages de générations passées — cette contrée est
couverte
par les images d’hommes intrépides et souverains… J’ai toujours devan
44
mocratie », dirions-nous volontiers, si le mot ne
couvrait
aujourd’hui les plus flagrantes trahisons de la chose. s. « Plébis
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ourir lorsqu’on veut dénoncer les duperies qu’ils
couvrent
. Les mots abstraits sont nécessaires à une certaine circulation d’idé
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ais s’il est vrai que l’on abuse de ce terme pour
couvrir
les plus vils marchandages, ou les plus lucratifs ; s’il est vrai que
47
e but est la restauration de l’esclavage, sous le
couvert
des fameuses « valeurs spirituelles ». Nous ne dirons pas avec M. Ara
48
stiques, commentaires, Larousse même ! Je vous ai
couverts
de mes signes, cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolence.
49
ls sont là ; et la Coupole ignore tout ce qu’elle
couvre
. Dirait-on pas que la dignité de ces maîtres s’est même accrue depuis
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stiques, commentaires, Larousse même ! Je vous ai
couverts
de mes signes, cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolences
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ls sont là ; et la Coupole ignore tout ce qu’elle
couvre
. Dirait-on pas que la dignité de ces maîtres s’est même accrue depuis
52
lé. Fascinant, ce lustre. Nous sommes éreintés et
couverts
de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25 septembre 1934 La tradu
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vieillards en pantoufles. Devant le parc, un mail
couvert
d’une épaisse couche de poussière : là, de nouveau, des bandes de jou
54
elque chose de sacré, et que les deux fils de Noé
couvrirent
la nudité de leur père ivre en marchant vers lui à reculons ? Mais ch
55
toire ne connaît pas d’arrêt. En réalité, sous le
couvert
d’un équilibre apparemment stabilisé, le désordre est toujours à sens
56
rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés
couverts
de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
57
rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés
couverts
de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
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mbule Une vague vient se jeter sur la bâche qui
couvre
l’avant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages glacés. « Tire l
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avec une incroyable rapidité, il arrive qu’il se
couvre
et se nettoie tout entier dans l’espace d’une demi-heure. Les côtes,
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rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés
couverts
de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
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èvre. Mais elle est toute changée. « Je l’ai fait
couvrir
deux fois : c’était comme si l’on n’avait rien fait. Mais je n’en veu
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ché de vieilles souches, dégagé les plates-bandes
couvertes
de feuilles mortes. Il me semble souvent que plus je travaille de mes
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la plupart de mes mouvements ordinaires, on les a
couverts
et revestus d’une aultre robe, pour l’usage de l’eschole : Dieu leur
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lé. Fascinant, ce lustre. Nous sommes éreintés et
couverts
de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25 septembre 1934 La
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vieillards en pantoufles. Devant le parc, un mail
couvert
d’une épaisse couche de poussière : là, de nouveau, des bandes de jou
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toire ne connaît pas d’arrêt. En réalité, sous le
couvert
d’un équilibre apparemment stabilisé, le désordre est toujours à sens
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core). Le Progrès, les Valeurs spirituelles, cela
couvrait
toute l’injustice concrète de l’ordre social. Aujourd’hui, on invoque
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C’est tout. Il est vrai que ces quatre négations
couvrent
une implicite affirmation, qui est celle du réarmement à outrance, et
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s cette église baroque de Sainte-Catherine — murs
couverts
d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scène
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l, le journal du Parti publie un photomontage qui
couvre
toute sa première feuille. Un marteau et une roue dentée se dressent,
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mocratie », dirions-nous volontiers, si le mot ne
couvrait
aujourd’hui les plus flagrantes trahisons de la chose. 20. Les deu
72
ous du casque. L’homme tire la toile de tente qui
couvre
ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que,
73
leur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui
couvre
la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
74
sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le
couvert
de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
75
isants, indiscrets, espions) et que le troubadour
couvre
d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
76
à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle
couvre
la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
77
a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le
couvert
de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
78
; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le
couvert
de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
79
qui la composent se prêtent obscurément, sous le
couvert
d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte). En composant Trista
80
ors aucun danger : « On combat toujours à cheval,
couvert
d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
81
it perdu de son prestige romantique : le pavillon
couvrait
les intérêts de l’État, — non les passions ou l’honneur des élites. E
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lointain ? Quelle est cette ombre rouge qui nous
couvre
? Ô Seigneur, aie pitié de nous ! Chœur des français et des autric
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ge ! Après Morat, son fou prophétisait : « Prince
couvert
d’écarlate et de cramoisi, à la fin seras blanc comme neige ! » Or à
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ure… salut de notre Confédération ! (Sa voix est
couverte
par les cris.) Cris des compagnons. — Assez de par-lottes ! À bas
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és — hou ! hou ! — Sourde plainte, les tambours —
couvrent
ta voix déplorable. — Que dis-tu ? — Demain la guerre. (Batterie, r
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leur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui
couvre
la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
87
sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le
couvert
de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
88
isants, indiscrets, espions) et que le troubadour
couvre
d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
89
bilité nouvelle d’admettre la femme, mais sous le
couvert
d’une idéalisation, voire d’une divinisation du principe féminin. Ce
90
à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle
couvre
la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
91
a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le
couvert
de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
92
; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le
couvert
de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
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qui la composent se prêtent obscurément, sous le
couvert
d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Trista
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ors aucun danger : « On combat toujours à cheval,
couvert
d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
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it perdu de son prestige romantique : le pavillon
couvrait
les intérêts de l’État, non les passions ou l’honneur des élites. Et
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couleur sombre de sa vie, et le ciel d’orage qui
couvre
la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
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sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le
couvert
de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
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isants, indiscrets, espions) et que le troubadour
couvre
d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
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bilité nouvelle d’admettre la femme, mais sous le
couvert
d’une idéalisation, voire d’une divinisation du principe féminin. Ce
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à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle
couvre
la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
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a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le
couvert
de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
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; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le
couvert
de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
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qui la composent se prêtent obscurément, sous le
couvert
d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Trista
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ors aucun danger : « On combat toujours à cheval,
couvert
d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
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it perdu de son prestige romantique : le pavillon
couvrait
les intérêts de l’État, non les passions ou l’honneur des élites. Et
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va. Telle est la nouvelle dont on parlait sous le
couvert
depuis quelques jours et qui vient d’être rendue officielle. N’y voyo
107
Autrefois les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils
couvraient
la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
108
qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons
couvert
les 400 kilomètres qui séparent le centre de New York de Washington,
109
mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le
couvert
du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
110
cette inflation verbale, les mots n’étant plus «
couverts
» par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
111
une situation où l’émotion la plus compréhensible
couvrait
d’aussi étranges confusions. À dire le vrai, contre l’époque entière,
112
es et de nos drames, il préfère gouverner sous le
couvert
de la correction des manières. Je ne plaide pas ici pour le manque de
113
mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le
couvert
du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
114
cette inflation verbale, les mots n’étant plus «
couverts
» par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
115
une situation où l’émotion la plus compréhensible
couvrait
d’aussi étranges confusions. À dire le vrai, contre l’époque entière
116
es et de nos drames, il préfère gouverner sous le
couvert
de la correction des manières. Je ne plaide pas ici pour le manque de
117
mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le
couvert
du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
118
cette inflation verbale, les mots n’étant plus «
couverts
» par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
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ssage de la souffrance. L’excès verbal de Werther
couvre
d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fai
120
nce paysanne et tatillonne. Et la neige molle qui
couvre
le pays rend la moindre démarche épuisante… Ici le symbolisme est pe
121
tion, des jugements de valeur implicites. Sous le
couvert
desquels pourront s’avouer des régions nouvelles de l’humain… À cette
122
: aussitôt perce l’interrogation que la réussite
couvrait
. Où va notre or, en réalité ? (dans quelle direction principale ?) Où
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jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se
couvrent
d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’E
124
teppes, déserts, pampas, glaciers, et jungles qui
couvrent
neuf dixièmes des continents… Notre terre est à peine habitable, dans
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Les rives, les îles s’ornent de monuments souvent
couverts
de noms français : morts de Montcalm et morts des guerres d’Indépenda
126
les gratte-ciel et Broadway, les grandes plaines
couvertes
d’usines, les villages aux maisons de bois blanc sur des pelouses bie
127
’apparaître une jeune femme au visage anguleux et
couvert
de taches de rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose fe
128
e rêve, à son tour se trouble ; il faiblit, il ne
couvre
plus toute l’étendue de la conscience humaine… Car notre volonté n’es
129
analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir
couverts
de mouettes et signalés par deux petits phares dont clignotent irrégu
130
’épuiserait. Il n’y aurait plus qu’une table rase
couverte
de ruines pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la guerre. M
131
route de campagne, au creux des haies, le ciel se
couvre
. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingu
132
’apparaître une jeune femme au visage anguleux et
couvert
de taches de rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose fe
133
utrefois, les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils
couvraient
la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
134
analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir
couverts
de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignotent irrég
135
é chauffer l’appartement, une espèce de baignoire
couverte
et fort étroite se dresse sur quatre pieds de fonte : il faudrait mon
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route de campagne, au creux des haies, le ciel se
couvre
. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingu
137
qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons
couvert
les quatre-cents kilomètres qui séparent le centre de New York de Was
138
ous du casque. L’homme tire la toile de tente qui
couvre
ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que d
139
erre coulé à quai, coupé en deux par une bombe et
couvert
d’une rouille éclatante. Mon fils, âgé de 5 ans, me demande avec une
140
Autrefois les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils
couvraient
la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
141
de brique s’orne de quatre marches de bois blanc,
couvertes
de bébés luisants et d’enfants au crâne sphérique. Je n’aime guère W
142
e la pampa. Tout auprès, le vieux ranch de Rosas,
couvert
de chaume et, sans nul doute, hanté par les victimes du célèbre tyran