1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 ciment armé. « Notre monde comme un ossuaire est couvert des détritus d’époques mortes. Une tâche nous incombe, construire le
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 ertaines atmosphères délavées et sourdes. « Temps couvert , calme, légères précipitations » annonce le bulletin. Tiens, me dis-j
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 s, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui couvrent une angoisse. Ça les dérange terriblement, sauf un ou deux qui s’imag
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
4 s des villes fiévreuses où le fracas des machines couvre déjà la plainte humaine. Il y a ceux qui pleurent le passé et ceux qu
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, reflétant le plafond à caissons dorés, l’étendent indé
6 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
6 nuée d’insectes affolés. Les maisons sont basses, couvertes du haut en bas d’affiches rouges et jaunes et d’inscriptions cascadan
7 antes et finissent en chutes ivres sur des divans couverts de coussins Rothermere et Grande Hongrie… Ivresse dans le malheur, pa
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 de petites roses cramoisies. On longe une galerie couverte , on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
9 té en ne parlant jamais que par allusions et mots couverts . Il intimide un peu le lecteur qui ne se sent pas complice de ses sec
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
10 brutes qu’il recueille dans sa chambre, et qu’il couvre de ses propres habits, des prostituées qu’il soigne, des ivrognes qui
10 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
11  : aussitôt perce l’interrogation que la réussite couvrait . Où va notre or, en réalité ? (Dans quelle direction principale.) Où
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
12 ssage de la souffrance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fai
12 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
13 coup se met à portée d’une riposte. Ils préfèrent couvrir de fleurs les lombes des « victimes du devoir ». Grand troupeau pitoy
13 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
14 es clercs ont trahi, et les cris de M. Benda sont couverts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune génération littéraire
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
15 petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, reflétant le plafond à caissons dorés, l’étendent indé
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 ide, rongé de roses Crimson. On longe une galerie couverte , on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
17 ous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
18 lane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jard
19 ntons une rampe pavée qui s’engage sous un porche couvert aux colonnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants, deb
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 ide, rongé de roses crimson. On longe une galerie couverte , on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
21 lane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jard
22 ntons une rampe pavée qui s’engage sous un porche couvert aux colonnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants, deb
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 ous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
24 analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignotent irrég
22 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
25 és. » Phrase mille fois entendue. Les journaux se couvrent de photos. La couverture photographique triomphe chez tous les éditeu
23 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
26 : parce que le champ d’absorption est loin d’être couvert en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
24 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
27 domaine, de grandes trahisons. Ce mot d’esprit a couvert de douteuses marchandises, et l’activité spirituelle a pu paraître le
25 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
28 llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le couvert de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
26 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
29 ue le refuge d’un antidogmatisme cordial, sous le couvert duquel renaissent bien des hérésies, et celles-là mêmes que les réfor
27 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
30 e, dans un temps où certain humanitarisme verbeux couvre plus d’exactions que jamais le cynisme d’un Talleyrand n’en jugea néc
28 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
31 non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines8. La plupart des « lois scientifiques 
29 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
32 llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le couvert de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
30 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
33 sprits, détourner l’attention des faits réels, et couvrir ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance «
34 ner aux yeux du peuple49. Cet unitarisme fasciste couvre des revendications politiques et culturelles assez contradictoires. I
31 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
35 : parce que le champ d’absorption est loin d’être couvert en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
32 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
36 e, dans un temps où certain humanitarisme verbeux couvre plus d’exactions que jamais le cynisme d’un Talleyrand n’en jugea néc
33 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
37 non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines. La plupart des « lois scientifiques »
34 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
38 llement ignorés. Les voilà qui reviennent sous le couvert de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme historique. Il faut c
35 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
39 sprits, détourner l’attention des faits réels, et couvrir ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance «
40 ner aux yeux du peuple43. Cet unitarisme fasciste couvre des revendications politiques et culturelles assez contradictoires. I
36 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
41 : parce que le champ d’absorption est loin d’être couvert en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rat
37 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
42 nformisme, dont on sait les raisons commerciales, couvre pas mal d’infidélités profondes. Certains sujets mériteraient à peine
38 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
43 isages de générations passées — cette contrée est couverte par les images d’hommes intrépides et souverains… J’ai toujours devan
39 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
44 mocratie », dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujourd’hui les plus flagrantes trahisons de la chose. s. « Plébis
40 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
45 ourir lorsqu’on veut dénoncer les duperies qu’ils couvrent . Les mots abstraits sont nécessaires à une certaine circulation d’idé
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
46 ais s’il est vrai que l’on abuse de ce terme pour couvrir les plus vils marchandages, ou les plus lucratifs ; s’il est vrai que
42 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
47 e but est la restauration de l’esclavage, sous le couvert des fameuses « valeurs spirituelles ». Nous ne dirons pas avec M. Ara
43 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
48 stiques, commentaires, Larousse même ! Je vous ai couverts de mes signes, cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolence.
49 ls sont là ; et la Coupole ignore tout ce qu’elle couvre . Dirait-on pas que la dignité de ces maîtres s’est même accrue depuis
44 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
50 stiques, commentaires, Larousse même ! Je vous ai couverts de mes signes, cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolences
51 ls sont là ; et la Coupole ignore tout ce qu’elle couvre . Dirait-on pas que la dignité de ces maîtres s’est même accrue depuis
45 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
52 lé. Fascinant, ce lustre. Nous sommes éreintés et couverts de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25 septembre 1934 La tradu
53 vieillards en pantoufles. Devant le parc, un mail couvert d’une épaisse couche de poussière : là, de nouveau, des bandes de jou
46 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
54 elque chose de sacré, et que les deux fils de Noé couvrirent la nudité de leur père ivre en marchant vers lui à reculons ? Mais ch
47 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
55 toire ne connaît pas d’arrêt. En réalité, sous le couvert d’un équilibre apparemment stabilisé, le désordre est toujours à sens
48 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
56 rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
49 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
57 rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
58 mbule Une vague vient se jeter sur la bâche qui couvre l’avant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages glacés. « Tire l
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
59 avec une incroyable rapidité, il arrive qu’il se couvre et se nettoie tout entier dans l’espace d’une demi-heure. Les côtes,
60 rnier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur
61 èvre. Mais elle est toute changée. « Je l’ai fait couvrir deux fois : c’était comme si l’on n’avait rien fait. Mais je n’en veu
62 ché de vieilles souches, dégagé les plates-bandes couvertes de feuilles mortes. Il me semble souvent que plus je travaille de mes
63 la plupart de mes mouvements ordinaires, on les a couverts et revestus d’une aultre robe, pour l’usage de l’eschole : Dieu leur
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
64 lé. Fascinant, ce lustre. Nous sommes éreintés et couverts de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25 septembre 1934 La
65 vieillards en pantoufles. Devant le parc, un mail couvert d’une épaisse couche de poussière : là, de nouveau, des bandes de jou
66 toire ne connaît pas d’arrêt. En réalité, sous le couvert d’un équilibre apparemment stabilisé, le désordre est toujours à sens
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
67 core). Le Progrès, les Valeurs spirituelles, cela couvrait toute l’injustice concrète de l’ordre social. Aujourd’hui, on invoque
54 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
68 C’est tout. Il est vrai que ces quatre négations couvrent une implicite affirmation, qui est celle du réarmement à outrance, et
55 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 s cette église baroque de Sainte-Catherine — murs couverts d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scène
70 l, le journal du Parti publie un photomontage qui couvre toute sa première feuille. Un marteau et une roue dentée se dressent,
56 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
71 mocratie », dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujourd’hui les plus flagrantes trahisons de la chose. 20. Les deu
57 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
72 ous du casque. L’homme tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que,
58 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
73 leur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
59 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
74 sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
75 isants, indiscrets, espions) et que le troubadour couvre d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
76 à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle couvre la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
77 a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
78  ; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le couvert de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
79 qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte). En composant Trista
61 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
80 ors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
81 it perdu de son prestige romantique : le pavillon couvrait les intérêts de l’État, — non les passions ou l’honneur des élites. E
62 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
82 lointain ? Quelle est cette ombre rouge qui nous couvre  ? Ô Seigneur, aie pitié de nous ! Chœur des français et des autric
63 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
83 ge ! Après Morat, son fou prophétisait : « Prince couvert d’écarlate et de cramoisi, à la fin seras blanc comme neige ! » Or à
84 ure… salut de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.) Cris des compagnons. —  Assez de par-lottes ! À bas
85 és — hou ! hou ! — Sourde plainte, les tambours — couvrent ta voix déplorable. — Que dis-tu ? — Demain la guerre. (Batterie, r
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
86 leur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
87 sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
88 isants, indiscrets, espions) et que le troubadour couvre d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
89 bilité nouvelle d’admettre la femme, mais sous le couvert d’une idéalisation, voire d’une divinisation du principe féminin. Ce
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
90 à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle couvre la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
91 a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
92  ; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le couvert de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
93 qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Trista
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
94 ors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
95 it perdu de son prestige romantique : le pavillon couvrait les intérêts de l’État, non les passions ou l’honneur des élites. Et
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
96 couleur sombre de sa vie, et le ciel d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur, prend
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
97 sang barbare. Il était prêt à accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les reviviscences des mystiques païenne
98 isants, indiscrets, espions) et que le troubadour couvre d’invectives. Nos savants commentateurs ne savent trop que faire de c
99 bilité nouvelle d’admettre la femme, mais sous le couvert d’une idéalisation, voire d’une divinisation du principe féminin. Ce
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
100 à travers les xiiie , xive et xve siècles. Elle couvre la même étendue que l’influence des troubadours : l’Europe entière. L
101 a fille de Minos, et sa victime ! Racine, sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdre. D’abord en fai
102  ; ici, c’est la coutume bourgeoise. Mais sous le couvert de l’une et de l’autre, c’est toujours le mythe qui agit. Dans la let
103 qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Trista
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
104 ors aucun danger : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des
105 it perdu de son prestige romantique : le pavillon couvrait les intérêts de l’État, non les passions ou l’honneur des élites. Et
72 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
106 va. Telle est la nouvelle dont on parlait sous le couvert depuis quelques jours et qui vient d’être rendue officielle. N’y voyo
73 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
107 Autrefois les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils couvraient la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
74 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
108 qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons couvert les 400 kilomètres qui séparent le centre de New York de Washington,
75 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
109 mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le couvert du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
76 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
110 cette inflation verbale, les mots n’étant plus «  couverts  » par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
77 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
111 une situation où l’émotion la plus compréhensible couvrait d’aussi étranges confusions. À dire le vrai, contre l’époque entière,
112 es et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correction des manières. Je ne plaide pas ici pour le manque de
78 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
113 mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le couvert du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
79 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
114 cette inflation verbale, les mots n’étant plus «  couverts  » par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
80 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
115 une situation où l’émotion la plus compréhensible couvrait d’aussi étranges confusions. À dire le vrai, contre l’époque entière
116 es et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correction des manières. Je ne plaide pas ici pour le manque de
81 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
117 mour. C’est tout ce qui se glisse en nous sous le couvert du mot. Car le diable est celui qui n’aime pas, et qui n’aime pas qu’
82 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
118 cette inflation verbale, les mots n’étant plus «  couverts  » par des actes, dont il espère, non sans raison, qu’elle achèvera mi
83 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
119 ssage de la souffrance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fai
84 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
120 nce paysanne et tatillonne. Et la neige molle qui couvre le pays rend la moindre démarche épuisante… Ici le symbolisme est pe
85 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
121 tion, des jugements de valeur implicites. Sous le couvert desquels pourront s’avouer des régions nouvelles de l’humain… À cette
86 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
122  : aussitôt perce l’interrogation que la réussite couvrait . Où va notre or, en réalité ? (dans quelle direction principale ?) Où
87 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
123 jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’E
124 teppes, déserts, pampas, glaciers, et jungles qui couvrent neuf dixièmes des continents… Notre terre est à peine habitable, dans
88 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
125 Les rives, les îles s’ornent de monuments souvent couverts de noms français : morts de Montcalm et morts des guerres d’Indépenda
89 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
126 les gratte-ciel et Broadway, les grandes plaines couvertes d’usines, les villages aux maisons de bois blanc sur des pelouses bie
90 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
127 ’apparaître une jeune femme au visage anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose fe
91 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
128 e rêve, à son tour se trouble ; il faiblit, il ne couvre plus toute l’étendue de la conscience humaine… Car notre volonté n’es
92 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
129 analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts de mouettes et signalés par deux petits phares dont clignotent irrégu
93 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
130 ’épuiserait. Il n’y aurait plus qu’une table rase couverte de ruines pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la guerre. M
94 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
131 route de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre . « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingu
95 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
132 ’apparaître une jeune femme au visage anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose fe
96 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
133 utrefois, les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils couvraient la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
134 analisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignotent irrég
135 é chauffer l’appartement, une espèce de baignoire couverte et fort étroite se dresse sur quatre pieds de fonte : il faudrait mon
136 route de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre . « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingu
137 qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons couvert les quatre-cents kilomètres qui séparent le centre de New York de Was
97 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
138 ous du casque. L’homme tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que d
98 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
139 erre coulé à quai, coupé en deux par une bombe et couvert d’une rouille éclatante. Mon fils, âgé de 5 ans, me demande avec une
99 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
140 Autrefois les glaciers sont venus jusqu’ici ! Ils couvraient la moitié de l’île, et la moraine s’étendait bien plus avant. Voici l
141 de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés luisants et d’enfants au crâne sphérique. Je n’aime guère W
100 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
142 e la pampa. Tout auprès, le vieux ranch de Rosas, couvert de chaume et, sans nul doute, hanté par les victimes du célèbre tyran