1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
1 ns la description du milieu patricien que dans la création d’un caractère de grand peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on n
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
2 ion secrète qui fait naître l’amour. Parce que la création est venue après la théorie. Parce qu’une fois de plus, Cocteau a comp
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
3 , réactions physiques, etc., qui accompagnent une création littéraire. Bien sûr, c’est cela, le malaise d’écrire. Bopp est très
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
4 imanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la Création  », comme dit Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne peut voir la dup
5 otre système de concurrence, tout notre effort de création , tout le jeu de nos facultés semblent dirigés uniquement vers la prod
5 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 e nécessaire entre nos gestes et nos pensées, nos créations et notre connaissance ; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au
6 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
7 leur égaler notre conscience. C’est un effort de création — car toute découverte du monde spirituel revêt pour nous, normalemen
8 tuel revêt pour nous, normalement, l’aspect d’une création . Il s’agit de maintenir cet effort sous le signe de la sobriété la pl
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
9 l parviendra de moins en moins à « réfléchir » sa création . De là sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des ph
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
10 oxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la création intéresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de principes définis
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
11 nt animer des êtres, lorsqu’à chaque moment de la création intervient une autocritique à la fois peureuse et agressive ? Il y fa
10 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
12 e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la création du monde. 6. S’il est vrai, comme l’a montré M. Spaïer, que toute pe
11 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
13 ent avec ce qu’on est. C’est pourquoi il n’y a de création possible que par les individus. Et de là vient que toute création abs
14 e que par les individus. Et de là vient que toute création absolue est héroïque. Socialisme (ou marxisme). Penser en actes : ce
12 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
15 lus profond de l’âme allemande, qui la porte à la création volontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’el
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
16 blement, n’existent pas. Elles font partie de ces créations pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
17 apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations politiques (nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
18 lus profond de l’âme allemande, qui la porte à la création volontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’el
15 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
19 la construction des voies de communication, ou la création d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 4.
16 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
20 ice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de création , l’esprit de liberté. Et vous venez lui dire que ça n’existe pas. À v
17 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
21 icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création , un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
22 es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
23 e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la création . Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
24 ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création . Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
25 dans une activité qui est la négation même de la création  ; activité purement « nécessitée » par la révolte de 17, qui décréta
18 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
26 un conflit et un risque nouveaux, générateurs de créations nouvelles. L’acte et la personne apparaissent ainsi indivisibles. Tel
19 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
27 Le Deuxième Jour de la Création , par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)n Ce titre curieusement bibliq
28 te rendu] Ilya Ehrenbourg, Le Deuxième Jour de la Création  », La Nouvelle Revue française, Paris, décembre 1933, p. 927-929.
20 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
29 utour de sa doctrine, révolution signifie d’abord création de l’ordre. L’action sociale ne saurait être que la résultante irrépr
30 pas de défense. Mais de choix, d’affirmation, de création , de Révolution. Nous sommes sur la terre décisive. L’heure est venue.
21 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
31 ’origine et la fin de toute incarnation, de toute création , de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
32 ifs ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des créations de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
23 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
33 ns sa condition éternelle, une réponse à toute la création , désormais replacée dans l’ordre originel. À cet instant, parce qu’il
34 placer l’homme dans la perspective biblique de la Création . Il faut lire ce chef-d’œuvre qu’est son dernier roman, Adam et Ève.
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
35 pparaît ici très « dialectique » — démarche de la création qui va toujours dans le sens de l’être, à condition qu’elle soit sout
25 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
36  déterminismes historiques » ne sont rien que des créations de l’homme. Et de quel homme ? De cet individu des libéraux rationali
26 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
37 é contre les conventions civilisées — inoubliable création , ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temps de sa misère. Puis un
38 dont l’apparition fait songer aux plus radieuses créations d’Andersen. On a fait un succès depuis quelques années à tant de trad
27 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
39 ure de Kierkegaard eut légitimé, à elle seule, la création de cet Office et ses soins les plus diligents. Que d’impairs n’a-t-on
28 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
40 rtain aménagement des activités, de la durée, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
41 de mai 1933, est essentiellement orienté vers la création . C’est en vain que l’on chercherait dans ces minces cahiers les pitto
29 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
42 r n’était qu’anathème au présent, où serait notre création  ? Et si l’ordre que nous voulons n’était rien d’autre que la subversi
43 end à dévaloriser, à disqualifier humainement les créations intellectuelles. Si l’on voulait trouver un critère général qui nous
44 à rendre compte des seules œuvres mineures, toute création réelle étant la position d’un acte indépendant des mécanismes de la s
45 ’homme rendu à la conscience de sa liberté. Toute création suppose une liberté, ou plus exactement, créer, c’est être libre. Un
30 1934, Politique de la personne. Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
46 elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses créations , par l’État et par les bavards. Elle refuse la dictature, parce que l
31 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
47 ber ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des créations de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
32 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
48 la nécessité. L’esprit est d’abord jeu, liberté, création imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la dialectique hég
49 mologique. Des hommes incapables d’actualiser une création , c’est-à-dire incapables de concevoir un spirituel véritable. Seule u
33 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
50 rtain aménagement des activités, de la durée, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
34 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
51 oles. Quelles sont donc nos idoles ? Ce sont les créations de nos désirs divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons a
35 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
52 ersonne et des églises, ainsi que toute espèce de création spirituelle. Le véritable malheur du fascisme, c’est d’avoir voulu ét
36 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
53 blement, n’existent pas. Elles font partie de ces créations pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
54 apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations politiques (nationalisme, SDN60, etc.), condamnation de l’individu, d
37 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
55 imposé par l’État détend tous les ressorts de la création personnelle ? S’il n’y a plus d’élite ? Il n’y aura plus personne pou
38 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
56 la construction des voies de communication, ou la création d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 72.
39 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
57 icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création , un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
58 es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
59 e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la création . Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
60 ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création . Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
61 dans une activité qui est la négation même de la création  ; activité purement « nécessitée » par la révolte de 17, qui décréta
40 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
62 de mai 1933, est essentiellement orienté vers la création . C’est en vain que l’on chercherait dans ces minces cahiers les pitto
41 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
63 re, n’avaient pas trouvé le corps de Jésus. Cette création s’est faite sans qu’il soit nécessaire ou légitime de supposer à son
42 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
64 é contre les conventions civilisées — inoubliable création , ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temps de son malheur. Puis
43 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
65 , si l’homme est un événement, une rupture et une création , un fauteur de nouveauté pure, un poseur de questions, un « prochain 
66 u’initie l’acte de présence, c’est le temps de la création qui naît de l’acte, c’est le rythme imprimé à l’action générale par c
67 loi perde à la fois son risque et son pouvoir de création (démocratie libérale). Le droit de la personne à primer sur l’ensembl
44 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
68 elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses créations , par l’État et par les bavards. Elle refuse la dictature, parce que l
45 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
69 ber ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des créations de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
46 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
70 la nécessité. L’esprit est d’abord jeu, liberté, création imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la dialectique hég
71 ologique. Des hommes, incapables d’actualiser une création , c’est-à-dire incapables de concevoir un spirituel véritable. Seule u
47 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
72 rtain aménagement des activités, de la durée, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
48 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
73 doles. Quelles sont donc nos idoles ? Ce sont les créations de nos désirs divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons a
49 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
74 ersonne et des églises, ainsi que toute espèce de création spirituelle. Le véritable malheur du fascisme, c’est d’avoir voulu ét
50 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
75 blement, n’existent pas. Elles font partie de ces créations pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
76 apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations politiques, condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (
51 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
77 imposé par l’État détend tous les ressorts de la création personnelle ? S’il n’y a plus d’élite ? Il n’y aura plus personne pou
52 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
78 la construction des voies de communication, ou la création d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 75.
53 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
79 icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création , un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
80 es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la création de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
81 e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la création . Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
82 ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création . Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
83 dans une activité qui est la négation même de la création  ; activité purement « nécessitée » par la révolte de 1917, qui décrét
54 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
84 llectuels du Front populaire. On attend d’elle la création d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse
85 ée. Cette distinction conduit nécessairement à la création d’une caste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de
86 n but nouveau. Cette double activité aboutit à la création de l’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle im
87 nisation devant être normalement subordonnée à la création . Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans
88 ’autre part, il ne peut créer dans le vide, et sa création , quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa valeur dans le d
89 ples, de ce qui est organisation et de ce qui est création  ; et à subordonner à tous les étages les moyens aux fins, les outils
55 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
90 avec l’économique, le social et le politique, la création intellectuelle ne sera plus séparée des « masses ». Une culture isol
56 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
91 pparences actuelles », mais dans les lignes de la création . L’imagination de la forme saisit d’abord la loi de formation ; et c’
92 . L’imagination de la forme est sympathie avec la création . Mais nous tenons ici la clef du monde de l’incarnation, le secret de
93 tions naturelles, où l’homme est microcosme de la Création . Paracelse, Bruno, Nicolas de Cuse dominent de loin ce grand mouvemen
57 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
94 elles en expriment la tension créatrice, — toute création naissant d’une tension établie par quelque unité dominante entre la c
58 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
95 refuser ce qui existe qu’au nom d’une volonté de création . Je vous proposerai donc deux exemples concrets de vocation chrétienn
96 s de Kobé et de plusieurs villes japonaises, à la création d’importantes œuvres sociales, enfin à la constitution d’un grand mou
59 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
97 er sa vitalité, sa puissance d’assimilation et de création , le génie de ses ouvriers, de ses artisans, de ses artistes, de ses «
98 valeur spirituelle de ces écrits. Ce n’est pas la création , c’est le rabâchage qui rapporte. Publiez un poème, un essai, un roma
99 ns l’édition. Moins un livre comporte d’idées, de création , d’esprit actif, mieux il se vend. La crise force les éditeurs à se f
60 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
100 pas vers la révolution réelle. Et non pas vers la création  ; et non pas vers la construction réfléchie d’un ordre nouveau. Si bi
61 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
101 lors, devient celui de l’acte, c’est-à-dire de la création d’une possibilité nouvelle, sans précédent. Y a-t-il des actes ? L’ho
102 de tout acte véritable, de toute marche, de toute création , de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un c
103 s connaître maintenant que seul l’acte de foi est création , transformation, nouveauté pure dans le monde, vocation et personne é
104 t au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait création absolue, mais un acte de l’homme n’est jamais qu’une rédemption. Dist
105 r à l’acte n’est pas seulement renversement, mais création irréversible. Et cela tient à la nature de l’acte, — mieux encore : à
106 rrait-il faire un acte ? Car l’acte est immédiat, création et initiation, c’est-à-dire sobriété pure, — quand l’être même du dés
62 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
107 solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ; création et automatisme ; libéralisme et discipline ; fédéralisme et étatisme 
63 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
108 mmateur, — de même la production littéraire et la création intellectuelle se voient soumises de plus en plus à des nécessités co
64 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
109 tait vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de toute création est dans le visage de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créate
110 nnaît dans leur sens primitif, dans le sens de la création qui tout entière advient à l’homme. Ainsi l’Adam d’avant le Temps, d’
111 ci au lieu de l’incarnation des images — ou de la création imaginée. Il faut rendre à ce mot d’imagination son sens fort : c’est
112 ; elle est dans la volonté, dans l’amour, dans la création du contact avec l’objet. » Mais on peut dire cela de Goethe aussi ? E
113 e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la création du monde. 48. Il dit des personnages de ses romans : « Je ne les aim
114 49. Pour autant, bien entendu, qu’il implique une création , qu’il résulte d’une mise en présence effective de l’homme et de ce q
65 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
115 e prendre un peu de repos à l’abri de ses propres créations . Mais dès qu’il a rompu le contact avec les résistances concrètes qu’
66 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
116 llectuels du Front populaire. On attend d’elle la création d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse
117 ée. Cette distinction conduit nécessairement à la création d’une caste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de
118 n but nouveau. Cette double activité aboutit à la création de l’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle im
119 nisation devant être normalement subordonnée à la création . Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans
120 d’autre part il ne peut créer dans le vide, et sa création , quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa valeur dans le d
121 ples, de ce qui est organisation et de ce qui est création  ; et à subordonner à tous les étages les moyens aux fins, les outils
67 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
122 sent-ils à animer toutes les facultés humaines de création , d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
123 emple : les disciplines imposées par le Plan à la création artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
124 e. Mais elle est réfutée dans son principe par la création culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extéri
125 pe par la création culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses 
126 Mais il est totalement impuissant à provoquer la création , et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
127 par son origine coupé des sources mêmes de toute création culturelle, qui jaillissent de la personne, de l’aventure personnelle
128 lut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
129 s ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
130 d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en créations toujours nouvelles le vieux conflit de l’individu et de la masse.   6
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
131 r qu’elle procède au contraire d’un parti pris de création dont j’espère bien que le lecteur éprouvera çà et là la poussée, le c
132 . 1. Mais Proust, ou Joyce, n’est-ce pas de la création  ? Ce style nouveau, ces abîmes entrouverts, et ce maelstrom verbal qu
133 e entreprise de démolitions. Cela ressemble à une création comme un inventaire de liquidation ressemble à un plan quinquennal. Q
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
134 ersonnage de Claudel). Du nouveau qui ne soit pas création absolue et imprévisible, mais développement rationnel de l’acquis : e
70 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
135 ater le déficit que représente pour la culture la création de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
136 a part active que prend l’homme à tout ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 34. Les
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
137 sent-ils à animer toutes les facultés humaines de création , d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
138 emple : les disciplines imposées par le Plan à la création artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
139 e. Mais elle est réfutée dans son principe par la création culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extéri
140 pe par la création culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses 
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
141 ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur les créations futures. L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel po
142 tes des deux ordres de travail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organi
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
143 Mais il est totalement impuissant à provoquer la création , et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
144 par son origine coupé des sources mêmes de toute création culturelle : la personne, l’aventure personnelle, la liberté et le ri
74 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
145 nce collectiviste, qui veut que la culture, cette création , naisse spontanément d’un état matériel ou politique acquis au prix d
75 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
146 lut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
147 s ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
148 d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° L
76 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
149 ait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le donné, s’assurer une vitesse de ch
150 imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la Troisième Rép
151 ’autres. La pensée prolétarisée ne vit pas de ses créations — elle ne crée pas —, mais elle reflète des processus d’évolution, qu
152 te et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une création antihistorique (corrigée chez Marx par son empirisme, sa passion polé
153 transcendant. Il n’y a de problème réel que de la création et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux moyennes, elles so
77 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
154 ssumer les conflits vitaux, et de les résoudre en création . Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
155 altération qui rend toute chose autre sans nulle création . Dégradation, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces cou
156 ée en tant que telle n’est jamais séparable de sa création , qui la sanctionne au double sens du mot. Les clercs défendent et déf
157 s, des ingénieurs ou des politiciens parlent de «  créations  ».) On s’imagine que la révolution doit apporter de l’inédit, du jama
158 es lois qui ne sont en réalité que les résidus de créations anciennes. L’esprit s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le ré
159 ’origine et la fin de toute incarnation, de toute création , de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
160 ’il s’agisse du commandement des armées, ou de la création géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant qu’il entre en for
161 ctes que nous osons faire nous apparaît comme une création absolue. Chacune de nos victoires est une nouveauté absolue dans les
78 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
162 ter le déficit que représente pour la culture, la création de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
163 a part active que prend l’homme à tout ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 24. Ext
79 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
164 érience : toute tentative de déification (ici, la création d’un « homme nouveau ») se termine par d’horribles brûlures — ou par
80 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
165 ment de tous les êtres, le branle-bas de toute la création vers son achèvement intelligible, c’est là vraiment « poétiser », col
166 re qu’il s’isole et s’abstrait du mouvement de la Création . « Et c’est pourquoi une fin lui fut en effet donnée » — qui est sa m
167 disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la création attend la révélation des enfants de Dieu, parce que ce n’est pas de s
168 esprit qui le remue ». Penser dans le train de la création , reformer sans cesse toutes les formes selon l’intention qu’elles exp
81 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
169 e qui va suivre et qui procède d’un parti pris de création dont j’espère bien que le lecteur éprouvera çà et là la poussée, le c
82 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
170 ersonnage de Claudel). Du nouveau qui ne soit pas création absolue et imprévisible, mais développement rationnel de l’acquis : e
83 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
171 ater le déficit que représente pour la culture la création de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
172 a part active que prend l’homme à tout ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 35. Les
84 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
173 sent-ils à animer toutes les facultés humaines de création , d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
174 emple : les disciplines imposées par le Plan à la création artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
175 e. Mais elle est réfutée dans son principe par la création culturelle, dès lors que cette création vint s’« insérer de l’extérie
176 pe par la création culturelle, dès lors que cette création vint s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses ;
85 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
177 ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur les créations futures. L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel po
178 tes des deux ordres de travail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organi
86 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
179 Mais il est totalement impuissant à provoquer la création , et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
180 par son origine coupé des sources mêmes de toute création culturelle : la personne, l’aventure personnelle, la liberté et le ri
87 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
181 ance collectiviste qui veut que la culture, cette création , naisse spontanément d’un état matériel ou politique acquis au prix d
88 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
182 lut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
183 s ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
184 d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° L
89 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
185 ait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le donné, s’assurer une vitesse de ch
186 imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la Troisième Rép
187 ’autres. La pensée prolétarisée ne vit pas de ses créations — elle ne crée pas —, mais elle reflète des processus d’évolution, qu
188 te et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une création antihistorique (corrigée chez Marx par son empirisme, sa passion polé
189 transcendant. Il n’y a de problème réel que de la création et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux moyennes, elles so
90 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
190 assumer les conflits vitaux et de les résoudre en création . Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
191 altération qui rend toute chose autre sans nulle création . Dégradation, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces cou
192 ée en tant que telle n’est jamais séparable de sa création , qui la sanctionne au double sens du mot. Les clercs défendent et déf
193 s, des ingénieurs ou des politiciens parlent de «  créations  ».) On s’imagine que la révolution doit apporter de l’inédit, du jama
194 , des lois qui ne sont en fait que les résidus de créations anciennes. L’esprit s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le ré
195 ’origine et la fin de toute incarnation, de toute création , de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
196 ’il s’agisse du commandement des armées, ou de la création géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant qu’il entre en for
197 ctes que nous osons faire nous apparaît comme une création absolue. Chacune de nos victoires est une nouveauté absolue dans les
91 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
198 puis son rétablissement ; l’antimilitarisme et la création enthousiaste d’une armée abondamment pourvue de maréchaux ; l’égalité
199 et contribue, par son action la plus intime, à la création d’autres formes. Il importe de savoir lesquelles, et de les préparer
200 dans l’unité spirituelle. Et les suites de cette création sont encore visibles aujourd’hui : nulle part l’esprit totalitaire n’
92 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
201 s mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création  ! Ton éternité immobile, c’est l’image même de la mort. L. — Que sav
202 s au contraire la source de tout acte et de toute création , une invention totale et perpétuelle, une actualité permanente, la se
93 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
203 acte est à la fois créateur, et transcendant à sa création . Il est créateur en ceci qu’il introduit dans les choses un rapport n
204 n changeant de plan, en allant de l’angoisse à la création , de l’impasse du désordre à l’ordre nouveau, la personnalité accentue
205 s sont assez nettement brisées pour conférer à la création issue de l’acte comme une forme d’éternité. Partout ailleurs, les rés
206 té explosive sous forme d’individualisation ou de création intellectuelle. Notre science n’est à l’aise que dans le continu et e
94 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
207 s les groupements qui ont pris l’initiative de la création et du fonctionnement des clubs de presse. Les « Clubs de presse » son
95 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
208 aturalisation de leur œuvre), il est clair que la création artistique requiert toutes les forces d’un homme, et s’accommode très
96 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
209 ssayiste, avec tout ce que cela peut comporter de création personnelle, c’est-à-dire, dans ce cas, ordonnée à une loi qui n’est
97 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
210 avec ce que tout acte comporte de risque dans la création . 4. De la philosophie, qu’à la suite du Dr Minkowski, l’on serait tou
211 sémantique présentée par des termes tels qu’acte, création , etc. Puis des rapports indiqués par Kierkegaard entre sexualité, ang
98 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
212 éserves, enfin à une crise et à une carence de la création . Malgré ces difficultés, conclut-il, on ne saurait guère douter que
99 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
213 t viennois. Elles englobent tout le mystère de la création poétique, elles font une part notable aux facteurs spirituels, religi
100 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
214 s mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création  ! Ton éternité immobile, c’est l’image même de la mort. L. — Que sav
215 au contraire, la source de tout acte et de toute création , une invention totale et perpétuelle, une actualité permanente, la se