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premiers sophismes de l’aurore, ces corniches de
craie
où t’accoudant tu mêles tes traits purs et labiles à l’immobilité mir
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à gratter son ardoise où sèchent des traînées de
craie
grise, où les chiffres trop gros s’emmêlent… Et c’est cela l’enfance
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à gratter son ardoise où sèchent des traînées de
craie
grise, où les chiffres trop gros s’emmêlent… Et c’est cela l’enfance
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rendre. Et soudain je vis à mes pieds, tracé à la
craie
sur le sol, un grand cercle entourant une inscription en lettres capi
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endre. Et soudain, je vis à mes pieds, tracé à la
craie
sur le sol, un grand cercle entourant une inscription en lettres capi
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sur place, comme le coq est cloué sur la ligne de
craie
tirée devant son bec. Ce serait trop bête si ce n’était trop beau. Ma
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re. Et soudain nous vîmes à nos pieds, tracé à la
craie
sur le sol, un grand cercle entourant une inscription en lettres capi
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re. Et soudain nous vîmes à nos pieds, tracé à la
craie
sur le sol, un grand cercle entourant une inscription en lettres capi
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o avait peint son image : une tête de cheval à la
craie
sur fond rouge, maigre et qui rit, plutôt sourit… Il arrive hier mati
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sur place, comme le coq est cloué sur la ligne de
craie
tirée devant son bec. Ce serait trop bête si ce n’était trop beau. Ma
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u’il reconnaîtra du premier coup : un repère à la
craie
sur le seuil de sa vie, une note que lui seul peut entendre parce qu’
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s réalistes que tout cela, enfin les slogans à la
craie
, trop facilement contradictoires, qu’on lit sur tous les murs de ce p
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x sables de Nieuport, aux marais de la Somme, aux
craies
de Champagne, aux granits d’Alsace, — l’Hamlet européen regarde des m
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gneux, presque désert pendant des heures. Ciel de
craie
bleu rosé sur les forêts sauvages, mouchetées d’arbres rouges et rose
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o avait peint son image : une tête de cheval à la
craie
sur fond rouge, maigre et qui rit, plutôt sourit… Il arrive hier mati
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nt des produits de la main maniant le pinceau, la
craie
, selon les exigences du rêve continu qui se déroule en toute vie d’ar