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ou des désincarnés. L’Église chrétienne, dans son
Credo
, parle d’une « résurrection de la chair », non pas de l’âme ni du cor
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u problème Dans l’Église, une fois acceptés le
Credo
et son fondement qui est la Parole dite en nous par l’Esprit et attes
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u problème Dans l’Église, une fois acceptés le
Credo
et son fondement, qui est la Parole dite en nous par l’Esprit et atte
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logue, confession des péchés, promesses de grâce,
credo
. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences amènent au repen
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pporte à son peuple l’orgueil. Et les articles du
Credo
sont remplacés par l’énumération très orthodoxe des prouesses du nouv
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ion est remise… Mon âme, bénis l’Éternel… »). VI.
Credo
(lecture du Symbole des apôtres. L’assemblée reste debout). VII. Allé
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l’ensemble de nos dogmes, et elle rappelle notre
Credo
. Bref, quand le sermon commence, tout le monde, et même un étranger,
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t commun, — et non pas à répéter à tout propos le
credo
trop connu d’un parti. Le secret de cette souplesse civique, de ce dy
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sacrement de la communion. Il est rappelé dans le
Credo
. Mais peut-on dire qu’il est mis en action par les Églises modernes d
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sacrement de la communion. Il est rappelé dans le
Credo
. Mais peut-on dire qu’il est mis en action par les Églises modernes d
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u problème Dans l’Église, une fois acceptés le
Credo
et son fondement, qui est la Parole dite en nous par l’Esprit et atte
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urne Jones. Et comme chaque année, j’entendrai le
Credo
de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une rose est née… et je me
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n pécheur ! Cependant, ces Américains répètent le
Credo
chaque dimanche, à haute voix tous ensemble et debout, tandis que le
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rne Jones. Et, comme chaque année, j’entendrai le
Credo
de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me
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pales confessions religieuses, mais là encore, le
Credo
de Nicée, chanté par un chœur anglican, se voit coupé avant le Saint-
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Burne Jones. Et comme chaque année j’entendrai le
Credo
de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me
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logue, confession des péchés, promesses de grâce,
credo
. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences amènent au repen
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pporte à son peuple l’orgueil. Et les articles du
credo
sont remplacés par l’énumération très orthodoxe des prouesses du nouv
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pales confessions religieuses, mais là encore, le
Credo
de Nicée, chanté par un chœur anglican, se voit coupé avant le Saint-
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Burne-Jones. Et comme chaque année j’entendrai le
Credo
de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me
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secrétaire d’État Marshall a proposé une sorte de
credo
démocratique, exigeant une presse libre, des élections libres et des
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ntérêt commun, non pas à répéter à tout propos le
credo
trop connu d’un parti. Le secret de cette souplesse civique, de ce dy
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n pécheur ! Cependant, ces Américains répètent le
Credo
chaque dimanche à haute voix tous ensemble et debout, tandis que le c
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eté, non l’accueil du mystère, ni l’adhésion à un
credo
. J’en donne la preuve : avoir la foi sans être saint lui paraissait l
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; point de croyance en Dieu, ni de théologie, de
credo
ni de catéchisme ; point de liturgie non plus puisqu’il n’existe pas
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té, unique, — « sous Ponce Pilate », insiste le «
Credo
». Dès ce moment, l’Histoire devient possible. L’évolution de l’human
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x d’une Histoire née comme telle de trois mots du
Credo
: « sous Ponce Pilate ». Les Pères ne savaient pas que le dogme de l’
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e de la Loi, donc du péché et de la mort, mais le
Credo
n’en affirme pas moins sa délivrance finale et sa résurrection. Cette
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x. Pourtant, chez les savants qui acceptèrent son
credo
, il semble bien que l’élément polémique ait été moins déterminant que
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nce, et n’apporte aucun argument « en faveur » du
Credo
de Nicée… Mais il faut voir tout de suite que cela ruine à jamais les
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nt de s’éloigner dans le vague de l’infini. Or le
Credo
prend soin de préciser la date de la Passion unique : « sous Ponce Pi
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est opérée « une fois pour toutes ». Ce centre du
Credo
est donc situé expressément dans la durée profane, celle de l’Histoir
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nt de s’éloigner dans le vague et l’infini. Or le
Credo
prend soin de préciser la date de la Passion unique « sous Ponce Pila
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e de la Loi, donc du péché et de la mort, mais le
Credo
n’en affirme pas moins sa délivrance finale et sa résurrection. Cette
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x. Pourtant, chez les savants qui acceptèrent son
credo
, il semble bien que l’élément polémique ait été moins déterminant que
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manence, et n’apporte aucun argument en faveur du
Credo
de Nicée ! Mais il faut voir tout de suite que cela ruine à jamais le
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rrection, sont communément professés ; qu’un même
Credo
y est lu tous les dimanches, le même Évangile annoncé, et le même Not
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rue, et s’unir à l’Auteur de sa foi, ayant dit le
credo
commun, qui se comprend, quand on le sait, dans toutes les langues. C
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nt à la fois « vrai Dieu et vrai homme » selon le
Credo
. D’où suit immédiatement que tout homme converti, recréé par l’Amour
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nt à la fois « vrai Dieu et vrai homme » selon le
Credo
. D’où suit immédiatement que tout homme converti, recréé par l’Amour
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non pas l’accueil du mystère, ni l’adhésion à un
credo
. J’en donne la preuve : avoir la foi sans être saint lui paraissait l
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la Réformation, le Notre Père, l’Ave Maria et le
Credo
constituent la seule doctrine transmise, à quoi s’ajoute la prédicati
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mande ce que nous croyons, récitons simplement le
Credo
. Et ensuite, passons à la forme indirecte du témoignage. Elle consist
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conversations, et du verbe I believe au début du
Credo
. Et de même peut-on penser que les mots paix ou liberté, que tous nos
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, ainsi d’ailleurs que la plupart des prières, le
Credo
et les doxologies. 7. Je pense Karl Barth, à Emil Brunner, à leurs t
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uoi je n’entends pas du tout l’adhésion à quelque
credo
, mais la réalité de l’opération en nous de quelque chose, disons l’Es
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s pour toutes », « sous Ponce Pilate » précise le
Credo
— mais qui oserait dire que cette révolution ait bien réussi parce qu
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péanisme devient un article de foi de son nouveau
credo
. Il alla même jusqu’à écrire une préface fort célèbre pour le livre d
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s. » L’Église elle-même, « universelle » selon le
Credo
de Nicée, ne vit vraiment que dans la vie de ses paroisses et s’enrac
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x que l’on accuse de « déviation » par rapport au
credo
stato-nationaliste. Quant à ceux qui objectent, au nom de leur consci
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zon toujours plus sombre du « progrès », selon le
credo
du xixe européen adopté par les masses mondiales du xxe siècle. Da
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ondée sur un texte : Bible ou Coran, évangiles et
credo
des grands conciles — tout cela restant vain, trompeur, invérifiable,