1
ais gardons-nous de tirer de ceci je ne sais quel
critère
de « jugement » qui permettrait de placer Goethe au-dessus de Rimbaud
2
tre condition, si elle la comble par ailleurs. Ce
critère
du salut, cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à de
3
lles de l’esprit où l’action redevient notre seul
critère
de cohérence. C’est dire que nous demandons aux œuvres que nous aimon
4
aractérisée par deux traits qui nous serviront de
critères
: d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique du terme ;
5
d’autorité. Critiquer, c’est d’abord posséder un
critère
, ensuite le faire valoir avec intransigeance. Or le critère moral de
6
nsuite le faire valoir avec intransigeance. Or le
critère
moral de l’ancienne bourgeoisie a perdu tout prestige à nos yeux. Et
7
rgeoisie a perdu tout prestige à nos yeux. Et les
critères
« nouveaux » de l’immoralisme bourgeois trahissent la décadence du ré
8
enue d’un nouvel ordre. Une critique dépourvue de
critère
indépendant de la littérature est condamnée à ne plus critiquer que l
9
tions intellectuelles. Si l’on voulait trouver un
critère
général qui nous permît d’évaluer les œuvres et leur influence sur le
10
rait de ses conclusions si on leur appliquait les
critères
dont il use envers l’Évangile. (Qu’on se rappelle la plaisanterie fam
11
fice du vrai. Mais il faudrait alors déclarer ses
critères
. La vérité psychologique, telle que la conçoivent les historiens, me
12
aractérisée par deux traits qui nous serviront de
critères
: d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique du terme ;
13
mme fait à cette question, l’on pourrait tirer un
critère
de l’incroyance ou de la foi. Tout compte fait, les cyniques ont rais
14
Carl Koch, visiblement scandalisé. Mais où est le
critère
, et qui juge ? Nicodème aussi estimait qu’une telle doctrine est impe
15
aractérisée par deux traits qui nous serviront de
critères
: d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique du terme ;
16
mme fait à cette question, l’on pourrait tirer un
critère
de l’incroyance ou de la foi. Tout compte fait, les cyniques ont rais
17
t sa justification spirituelle. C’était placer le
critère
de l’esprit dans le « sentiment religieux » et non dans l’actualité d
18
ttre. Nous estimons alors les mystiques selon les
critères
du lyrisme moderne, qui ne préjugent pas nécessairement l’intellectio
19
et suffisante, et le recours à la Tradition comme
critère
des révélations évangéliques. Ce qui s’oppose en réalité, c’est une d
20
sans prix d’avoir toujours à portée de la main le
critère
dernier de toute « formulation chrétienne », les évangiles et les écr
21
gile, qu’elle a barre sur lui, qu’elle dispose de
critères
qui ne sont pas tirés de lui26 et au nom desquels elle a le droit de
22
tre-Dame — on oublie simplement qu’elle est notre
critère
, ce « vis-à-vis » de l’Église dont parle Barth, et auquel doit se rap
23
st ce que l’on peut voir aisément par l’examen du
critère
infaillible de discernement que représenterait la « tradition ». En
24
tradition est ainsi substituée à l’Écriture comme
critère
des inspirations de l’Esprit saint. Mais la tradition, ce sont les co
25
nc admettre ou bien que les conciles sont le seul
critère
des conciles ; ou bien que l’Esprit saint est le seul critère de l’Es
26
conciles ; ou bien que l’Esprit saint est le seul
critère
de l’Esprit saint. Le premier terme de l’alternative revient à consac
27
’on le sépare de l’Écriture, qui nous fournit son
critère
objectif. Pourquoi nos frères catholiques nous reprochent-ils notre s
28
notre subjectivisme, à nous qui reconnaissons un
critère
objectif, la Bible, alors qu’ils ont tout fait de leur côté pour évin
29
évincer ou, en tout cas, pour relativiser ce seul
critère
? Comprennent-ils toute la gravité de la question ? ⁂ En vérité, la q
30
ant, aux yeux d’un protestant, c’est peut-être le
critère
de cohérence dont un prêtre me disait récemment qu’il atteste la « vé
31
istorisme libéral, qui ont trouvé, eux aussi, des
critères
tout à fait intéressants pour interpréter les évangiles… 27. Méthode
32
e qu’aux racines de l’élémentaire. » Parce que le
critère
du réel, c’est l’effort ; parce que la chose brute exige le plus dur
33
gênante — et il privera le grand public de tout
critère
intellectuel de jugement touchant l’activité des « hommes d’action ».
34
parlé d’une mesure « vraie ». Mais quels sont les
critères
objectifs de la vérité que j’ai en vue ? Quelles sont les « notes » d
35
acte n’est pas objectif. Je m’en tiens donc à ce
critère
formel : la vraie mesure réside d’abord dans la conscience permanente
36
cond lieu, je dirai qu’une mesure vérifiée par ce
critère
formel doit être en même temps vérifiée par son actualité intrinsèque
37
t concevoir en effet une mesure qui satisfasse au
critère
téléologique, et qui pourtant ne porte pas en elle d’efficacité perma
38
puisse le constater. Je dis enfin que si ces deux
critères
n’existent pas ou cessent d’exister, la mesure d’une société se détru
39
s strictement, plus arithmétiquement conforme aux
critères
que j’en donnais. L’assimilation de la culture (et donc de sa mesure)
40
ticulier d’appliquer au plan quinquennal nos deux
critères
objectifs de vérité de la mesure. 1° Le Plan joue-t-il parmi les comm
41
f ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les
critères
formels que vous aviez utilisés jusqu’à présent, et auxquels vous pen
42
Car si l’on peut vérifier une mesure au moyen de
critères
formels — c’est à quoi je me suis employé au cours des précédents cha
43
, mettre en doute la vérité qui vérifie ces mêmes
critères
. Or, à ce doute, il n’est pas de réponse qui ne soit un acte de foi.
44
s essayer de limiter la part du feu à l’aide d’un
critère
spirituel ? Sinon l’on risque bien de voir le spirituel pâtir du disc
45
hiérarchie spirituelle reconnue, il n’est plus de
critère
objectif que dans les seules méthodes qui garantissent la correction
46
oliticiens. Dans les mêmes termes, avec les mêmes
critères
. Ils ont cru que l’esprit pouvait corriger après coup ce qu’il avait
47
on ambition se borne donc ici à formuler quelques
critères
de la pensée qui est pensée avec les mains. Ce seront, si l’on veut,
48
n gênante — et il privera le grand public de tout
critère
intellectuel de jugement touchant l’activité des « hommes d’action ».
49
parlé d’une mesure « vraie ». Mais quels sont les
critères
objectifs de la vérité que j’ai en vue ? Quelles sont les « notes » d
50
acte n’est pas objectif. Je m’en tiens donc à ce
critère
formel : la vraie mesure réside d’abord dans la conscience permanente
51
cond lieu, je dirai qu’une mesure vérifiée par ce
critère
formel doit être en même temps vérifiée par son actualité intrinsèque
52
t concevoir en effet une mesure qui satisfasse au
critère
téléologique, et qui pourtant ne porte pas en elle d’efficacité perma
53
puisse le constater. Je dis enfin que si ces deux
critères
n’existent pas ou cessent d’exister, la mesure d’une société se détru
54
s strictement, plus arithmétiquement conforme aux
critères
que j’en donnais. L’assimilation de la culture (et donc de sa mesure)
55
ticulier d’appliquer au plan quinquennal nos deux
critères
objectifs de vérité de la mesure. 1° Le Plan joue-t-il parmi les comm
56
f ». Relevant d’un acte de foi, il transcende les
critères
formels que vous aviez utilisés jusqu’à présent, et auxquels vous pen
57
Car si l’on peut vérifier une mesure au moyen de
critères
formels — c’est à quoi je me suis employé au cours des précédents cha
58
, mettre en doute la vérité qui vérifie ces mêmes
critères
. Or, à ce doute, il n’est pas de réponse qui ne soit un acte de foi.
59
de limiter d’avance la part du feu à l’aide d’un
critère
spirituel ? Sinon l’on risque bien de voir le spirituel pâtir du disc
60
hiérarchie spirituelle reconnue, il n’est plus de
critère
objectif que dans les seules méthodes qui garantissent la correction
61
oliticiens. Dans les mêmes termes, avec les mêmes
critères
. Ils ont cru que l’esprit pouvait corriger après coup ce qu’il avait
62
on ambition se borne donc ici à formuler quelques
critères
de la pensée qui est pensée avec les mains. Ce seront, si l’on veut,
63
es, ce qui revient en fait à biffer simplement le
critère
de la vérité, et à ne respecter plus que les indications très équivoq
64
ontractées sur une base eugénique, selon certains
critères
statistiques : sociaux, raciaux, physiologiques, rigoureusement indép
65
recommandait un choix mûri et raisonné, selon des
critères
impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur logique qui est grave,
66
-dire la nécessité de discuter et de déclarer ses
critères
. Et je précise : non de discuter pour éluder la prise de parti, mais
67
ce dialogue puéril ? Simplement, en déclarant ses
critères
, et en acceptant la discussion des faits. Dès lors, le départ entre «
68
e et défaut ? Ira-t-on peut-être plus loin, à des
critères
spirituels ? Don Juan serait par exemple le type de l’homme qui n’att
69
rait pas « exact » non plus d’appliquer les mêmes
critères
à ce qui ne relève pas du même ordre. C’est à savoir : le sens d’une
70
t les œuvres qui découlent de l’état mystique les
critères
de sa vérité91. C’est du moins le mouvement constant de ceux qui ont
71
thalamique » pourrait-elle être proposée comme un
critère
lorsqu’il s’agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’union e
72
ontractées sur une base eugénique, selon certains
critères
statistiques : sociaux, raciaux, physiologiques, rigoureusement indép
73
recommandait un choix mûri et raisonné, selon des
critères
impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur logique qui est grave,
74
e crois guère à l’histoire « scientifique » comme
critère
des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je lui laisse le soi
75
t les œuvres qui découlent de l’état mystique les
critères
de sa vérité109. C’est du moins le mouvement constant de ceux qui ont
76
thalamique » pourrait-elle être proposée comme un
critère
lorsqu’il s’agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’union e
77
ontractées sur une base eugénique, selon certains
critères
statistiques : sociaux, raciaux, physiologiques, rigoureusement indép
78
recommandait un choix mûri et raisonné, selon des
critères
impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur logique qui est grave,
79
e crois guère à l’histoire « scientifique » comme
critère
des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je lui laisse le soi
80
t les œuvres qui découlent de l’état mystique les
critères
de sa vérité99. C’est du moins le mouvement constant de ceux qui ont
81
thalamique » pourrait-elle être proposée comme un
critère
lorsqu’il s’agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’union e
82
ontractées sur une base eugénique, selon certains
critères
statistiques : sociaux, raciaux, physiologiques, rigoureusement indép
83
recommandait un choix mûri et raisonné, selon des
critères
impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur logique qui est grave,
84
s induit à fausser la balance elle-même, c’est le
critère
du vrai qui est dénaturé, il n’y a plus de contrôle possible. Et peu
85
C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les
critères
mêmes de la vérité. Et c’est enfin d’aller loger le mensonge, de préf
86
n devant personne, s’étant faites elles-mêmes les
critères
de toute vérité purement humaine, et décrétant qu’il n’est plus d’aut
87
éralement admis. Mais notre époque a remplacé les
critères
de la vérité par des valeurs d’intensité, et le respect du bien par c
88
u d’une foi plus forte que la vie. Il faudrait un
critère
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de maladie psychique t
89
fatalité seule est responsable. » Il faudrait un
critère
absolu… Mais justement le diable a substitué dans nos esprits le resp
90
? Et dans soi, le meilleur ou le pire ? Tous les
critères
sont annulés par l’intensité même des paradoxes qui sont l’amour huma
91
s induit à fausser la balance elle-même, c’est le
critère
du vrai qui est dénaturé, il n’y a plus de contrôle possible. Et peu
92
C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les
critères
mêmes de la vérité. Et c’est enfin d’aller loger le mensonge, de préf
93
n devant personne, s’étant faites elles-mêmes les
critères
de toute vérité purement humaine, et décrétant qu’il n’est plus d’aut
94
éralement admis. Mais notre époque a remplacé les
critères
de la vérité par des valeurs d’intensité, et le respect du bien par c
95
u d’une foi plus forte que la vie. Il faudrait un
critère
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de maladie psychique t
96
fatalité seule est responsable. » Il faudrait un
critère
absolu… Mais justement le diable a substitué dans nos esprits le resp
97
? Et dans soi, le meilleur ou le pire ? Tous les
critères
sont annulés par l’intensité même des paradoxes qui sont l’amour huma
98
s induit à fausser la balance elle-même, c’est le
critère
du vrai qui est dénaturé, il n’y a plus de contrôle possible. Et peu
99
C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les
critères
mêmes de la vérité. Et c’est enfin d’aller loger le mensonge, de préf
100
n devant personne, s’étant faites elles-mêmes les
critères
de toute vérité purement humaine, et décrétant qu’il n’est plus d’aut
101
éralement admis. Mais notre époque a remplacé les
critères
de la vérité par des valeurs d’intensité, et le respect du bien par c
102
u d’une foi plus forte que la vie. Il faudrait un
critère
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de maladie psychique t
103
fatalité seule est responsable. » Il faudrait un
critère
absolu… Mais justement le diable a substitué dans nos esprits le resp
104
? Et dans soi, le meilleur ou le pire ? Tous les
critères
sont annulés par l’intensité même des paradoxes qui sont l’amour huma
105
s induit à fausser la balance elle-même, c’est le
critère
du vrai qui est dénaturé, il n’y a plus de contrôle possible. Et peu
106
n devant personne, s’étant faites elles-mêmes les
critères
de toute vérité purement humaine, et décrétant qu’il n’est plus d’aut
107
Mais gardons-nous de tirer de là je ne sais quel
critère
de jugement qui permettrait de placer Goethe « au-dessus » de Rimbaud
108
tre condition, si elle la comble par ailleurs. Ce
critère
du salut, cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à de
109
lles de l’esprit où l’action redevient notre seul
critère
de cohérence. C’est dire que nous demandons aux œuvres que nous aimon
110
, l’allégation des motifs derniers, voilà le seul
critère
humain qui nous autoriserait à distinguer chez Goethe, chez Kierkegaa
111
e qu’aux racines de l’élémentaire ». Parce que le
critère
du réel c’est l’effort ; parce que la chose brute exige le plus dur e
112
ion par déduction de la coutume. Presque tous ces
critères
effacés ou perdus, notre époque ne sait plus juger d’une œuvre. Elle
113
rêt vital », que tout a changé dans le monde. Les
critères
mêmes du vrai sont modifiés. Menteur, celui qui s’y réfère encore ; s
114
aussitôt mourir. Peut-être avons-nous là le seul
critère
d’une perfection intellectuelle, et l’on conçoit que son application
115
oit de laisser à d’autres le soin d’appliquer ses
critères
hors de l’Église. Mais il est beaucoup moins évident que la littératu
116
donner aux fidèles — et à leur clergé — certains
critères
de jugement, un certain vocabulaire, et par suite une certaine orient
117
rêt vital », que tout a changé dans le monde. Les
critères
mêmes du vrai sont modifiés. Menteur, celui qui s’y réfère encore ; s
118
lles de l’esprit où l’action redevient notre seul
critère
de cohérence… C’est dire que nous demandons aux œuvres que nous aimon
119
es, ce qui revient en fait à biffer simplement le
critère
de la vérité, et à ne respecter plus que les indications très équivoq
120
lles de l’esprit où l’action redevient notre seul
critère
de cohérence… » Deux ans plus tard, l’introduction à Politique de la
121
, des structures solides peuvent s’organiser. Les
critères
sont connus, les mots prennent tout leur sens, les problèmes sont à h
122
rêt vital », que tout a changé dans le monde. Les
critères
mêmes du vrai sont modifiés. Menteur, celui qui s’y réfère encore ; s
123
e et défaut ? Ira-t-on peut-être plus loin, à des
critères
spirituels ? Don Juan serait par exemple le type de l’homme qui n’att
124
aussitôt mourir. Peut-être avons-nous là le seul
critère
d’une perfection intellectuelle, et l’on conçoit que son application
125
ns se former une véritable culture censoriale. Le
critère
politique est seul admis. Et l’on s’y réfère avec une rigueur telle q
126
« pour la Russie ». Pour le stalinien, les seuls
critères
de jugement intellectuels et artistiques sont ceux qu’impose l’intérê
127
ces aussi profondes que dans d’autres pays, et le
critère
de distinction entre la gauche et la droite réelles devrait être cher
128
eule possible en l’occurrence : l’application des
critères
molotoviens aux activités culturelles de l’URSS dans nos pays, c’est-
129
e crois guère à l’histoire « scientifique » comme
critère
des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je lui laisse le soi
130
idé de ne pas attribuer le Prix cette année. Deux
critères
étaient fixés par le règlement du Prix : haute tenue littéraire et po
131
n’ont pas semblé répondre suffisamment au second
critère
. Sur la base de cette expérience, le jury a étudié une nouvelle formu
132
x, de prétendre appliquer à un pareil système des
critères
sélectifs qui valent à plein pour nos régimes démocratiques, mais son
133
pas d’excès dans un régime totalitaire, faute de
critères
d’évaluation indépendants de la ligne fixée par le régime lui-même. E
134
aux membres de notre Association de formuler les
critères
qu’ils s’efforcent tous d’observer, chacun pour son compte, et qu’ils
135
r un jury international, qui aurait recours à ces
critères
pour décerner ou non l’étiquette de « festival » semblait propre à co
136
d, la psychanalyse au cas individuel de Marx, les
critères
freudiens et marxistes à la Bourgeoisie même et au Prolétariat (cette
137
t le système de références et qu’ils excluent les
critères
d’exclusion réputés non évangéliques, mais c’est pour rendre encore p
138
hui vers quoi transite l’Occident ? Posons quatre
critères
de décadence d’une civilisation ou d’une culture : l’imitation plus f
139
s locales et plans de production, etc. Les grands
critères
deviendraient, j’imagine, la liberté et l’efficacité. Les grands déba
140
se réclament de « l’Europe notre mère ». Si les
critères
physiques sont vraiment incertains, qu’en est-il des critères moraux
141
siques sont vraiment incertains, qu’en est-il des
critères
moraux ? Il faudrait donner ici une définition de l’Europe par sa cul
142
choix des objectifs du CEC est déterminé par deux
critères
: l’urgence d’un problème culturel qui se pose à l’échelle européenne
143
ité. Leurs cultures leur proposent de tout autres
critères
que ceux de la preuve « matérielle ». Quand un ingénieur européen éno
144
ité. Leurs cultures leur proposent de tout autres
critères
que ceux de la preuve « matérielle ». Quand un ingénieur européen éno
145
ité. Leurs cultures leur proposent de tout autres
critères
que ceux de la preuve « matérielle ». Quand un ingénieur européen éno
146
e et défaut ? Ira-t-on peut-être plus loin, à des
critères
spirituels ? Don Juan serait par exemple le type de l’homme qui n’att
147
ualifier l’acte sexuel. Et je ne vois pas d’autre
critère
qui tienne, ou ne soit réductible à celui-là. b) La sexualité séparée
148
r, s’il devait choisir (même librement) selon des
critères
empruntés à d’autres, cela profiterait peu à son expérience personnel
149
présuppose un principe général : l’existence d’un
critère
de perfection acceptable pour tous. D’où provient cette présuppositio
150
rne à orienter la discussion, à proposer quelques
critères
de jugement poétique. La « stratégie » de la pièce, l’emploi « straté
151
les ouvrages parus depuis la dernière guerre. Le
critère
adopté pour établir cette liste est des plus simples : ont été cités
152
onal. Le festival d’Aix, qui satisfait à ces deux
critères
avec tout l’éclat que l’on sait, se trouvait donc prédestiné à servir
153
érature n’est plus, de nos jours, cette espèce de
critère
privilégié du niveau de culture d’un peuple, qu’elle fut au temps de
154
à déduire, finalement, de cette enquête, quelques
critères
permanents, voire même, si possible, quelques définitions, et en pass
155
oit de laisser à d’autres le soin d’appliquer ses
critères
hors de l’Église. Mais il est beaucoup moins évident que la littératu
156
donner aux fidèles — et à leur clergé — certains
critères
de jugement, un certain vocabulaire, et par suite une certaine orient
157
un coup d’œil en passant à la salle à manger. Ces
critères
d’utilité, de nécessité, d’une part, ou de gratuité, d’inutilité, d’a
158
s reproductions de Van Gogh). Si donc j’écarte le
critère
d’utilité ou de manque d’utilité, comme étant trop relatif, mobile, e
159
d, la psychanalyse au cas individuel de Marx, les
critères
freudiens et marxistes à la Bourgeoisie même et au Prolétariat (cette
160
sérieux… Et cela conduit à poser la question des
critères
moraux du Suisse moyen. Sont-ils encore ceux de sa religion, ou déjà
161
nes et militarisés. Quels peuvent bien être leurs
critères
du moral et de l’immoral ? Je n’en ai découvert qu’un seul : « La dis
162
ître la liste (Sade, Henry Miller, etc.). Or, les
critères
d’un tel office ne sauraient être, évidemment, que ceux de la banalit
163
sérieux… Et cela conduit à poser la question des
critères
moraux du Suisse moyen. Sont-ils encore ceux de sa religion, ou déjà
164
nes et militarisés. Quels peuvent bien être leurs
critères
du moral et de l’immoral ? Je n’en ai découvert qu’un seul : « La dis
165
aître la liste (Sade, Henry Miller, etc.) Or, les
critères
d’un tel office ne sauraient être, évidemment, que ceux de la banalit
166
l’époque contemporaine, il faut admettre que les
critères
d’évaluation de la productivité savante d’un pays ont été révolutionn
167
: Oui, et il faudrait donc essayer de trouver des
critères
pour déterminer à quel moment ce que j’appelle des échanges — et qui
168
riture, qui est, selon vos meilleurs docteurs, le
critère
externe de la Révélation ; elle dit ceci : « Cherchez d’abord le Roya