1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 une forme d’adoration de dieux protecteurs. Cette croyance se répand, favorisée par la souplesse dont fait preuve l’Église d’alo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 court après sans fin. Même ceux qui ont perdu la croyance en un bonheur possible ou désirable subissent cette rage désespérée d
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 Mais moi je partage avec certains Orientaux cette croyance  : nommer une chose, c’est avoir puissance sur elle. Images, pensées d
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
4 ien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions profondes de l’âme devant s
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
5 le dirigée réellement, et non plus en discours et croyances , en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philosophie ? Que
6 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
6 — politique, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’op
7 salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigoureusement au christianisme, s’il est avant tout la
8 eusement au christianisme, s’il est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans le
7 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
9 recherche de la synthèse et plus sûrement dans la croyance en une synthèse possible, voilà qui ne paraît point faire de doute. A
8 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
10 stoire de l’homme pieux ; un événement et non une croyance , une rencontre personnelle et inconcevable avec le Christ, et non poi
9 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
11 s formules, toutes les idolâtries, que ce soit la croyance antique et païenne à la « vertu », à la sagesse et au bonheur, ou la
12 à la « vertu », à la sagesse et au bonheur, ou la croyance moderne et non moins païenne à la valeur absolue de la logique, de l’
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
13 , et c’est perdre son temps que de contester leur croyance . Ces hommes-là savent au moins ce qui les mène et poussent le monde d
11 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
14 ivre à des gens de toutes conditions, « de toutes croyances ou de toutes incroyances », comme disait Péguy. Et dix fois, en me le
12 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
15 re d’une centaine de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme disait Péguy, le lieu d’une enquête
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
16 ement contre les hérésies qui fourmillent dans la croyance moderne. Nous avons eu le tort, souvent, d’attaquer des erreurs auxqu
14 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
17 s et frappants, de retomber ainsi dans la vieille croyance à la sanctification par les œuvres. Karl Barth et ses amis n’ont pas
15 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
18 le mariage bourgeois, l’idéalisme romantique, la croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au service de l’ordre, la perma
16 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
19 e fut la genèse psychologique et historique de la croyance à la résurrection de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel définit l’obje
20 d’une façon remarquable les diverses formes de la croyance à la résurrection chez Paul et Jean, puis chez les rédacteurs des éva
17 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
21 , et c’est perdre son temps que de contester leur croyance . Ces hommes-là savent au moins ce qui les mène, ils poussent le monde
18 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
22 .), cet absolu n’est plus le Dieu caché, mais une croyance morale divinisée, une idole malfaisante. 18. « Omnis recta cogniti
19 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
23  ; 2° La primauté de l’économique est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avouées mais réellement agiss
24 e est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avouées mais réellement agissantes qui définissent l’esprit bo
25 ’économique implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des faits tels qu’ils sont, qui paraît à certains
26 n plus à la fin d’un système, d’une action, d’une croyance . S’il est vrai que l’homme est un ensemble de déterminismes, aucune l
27 de l’histoire. On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transition résume à nos yeux toute l’erreur marxiste.
20 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
28 — politique, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’op
29 salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigoureusement au christianisme, s’il est avant tout la
30 eusement au christianisme, s’il est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans le
21 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
31 ui dénonçait, dans le matérialisme historique, la croyance optimiste et inhumaine en une synthèse, en un « troisième terme » dia
32 re d’une centaine de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme disait Péguy — le lieu d’une enquêt
22 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
33 humanisme religieux, qui trop souvent exprime la croyance courante de bien des églises modernes, vienne maintenant qualifier d’
23 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
34 , et c’est perdre son temps que de contester leur croyance . Ces hommes-là savent au moins ce qui les mène, ils poussent le monde
24 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
35 .), cet absolu n’est plus le Dieu caché, mais une croyance morale divinisée, une idole malfaisante. 13. « Omnis recta cognitio
25 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
36  ; 2° La primauté de l’économique est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avouées mais réellement agiss
37 e est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avouées mais réellement agissantes qui définissent l’esprit bo
38 ’économique implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des faits tels qu’ils sont, qui paraît à certains
39 n plus à la fin d’un système, d’une action, d’une croyance . S’il est vrai que l’homme est un ensemble de déterminismes, aucune l
40 de l’histoire. On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transition résume à nos yeux toute l’erreur marxiste.
26 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
41 — politique, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’op
42 salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigoureusement au christianisme, si celui-ci est avant t
43 t au christianisme, si celui-ci est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans le
27 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
44 ui dénonçait, dans le matérialisme historique, la croyance optimiste et inhumaine en une synthèse, en un « troisième terme » dia
45 lieu de rencontre de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme disait Péguy, le lieu d’une enquête
28 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
46 la plus répugnante qui soit. » Il faut perdre la croyance en Dieu, en la liberté et en l’immortalité, comme ses premières dents
47 Et celui qui n’est pas mort une bonne fois aux «  croyances  » héritées sans examen de son milieu, aux idoles édifiées par ses bon
29 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
48 chrétien ; vous y trouverez des hommes de toutes croyances et de toutes incroyances. Mais en fait, c’est le seul mouvement qui r
30 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
49 des hypothèses du matérialisme historique. Cette croyance que la vie se fera toute seule et que des « lois » inexorables se cha
31 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
50 et rien n’est plus utile aux « réalistes » que la croyance commune à la valeur en soi de l’idéal. Cependant ces discours hypocri
32 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
51 cas, ces tendances sont encore contrariées par la croyance très générale aux bienfaits de l’étatisme centralisateur. Il faut avo
33 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
52 ême du désespéré consiste dans ses liens, dans sa croyance à la réalité des liens et de la masse, à la réalité des autres dans l
34 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
53 s. Si les formules par lesquelles je résume leurs croyances ne sont pas « à la lettre » catholiques, je dis : 1° que cela tient à
54 profonde de la Réforme est la rançon fatale de la croyance romaine en la tradition considérée comme « l’autre source » de la Rév
35 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
55 attribuer : même le plus brutal est fondé sur la croyance . »)40 4. Comment se fait-il qu’une élite ou un gouvernement, ou une
36 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
56 e du Bien. Si des croyants peuvent douter de leur croyance à cause du mal, que des incroyants apprennent à douter de leur incroy
37 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
57 e de la toute-puissance des faits économiques, la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et cette évolutio
58 , et qui comporte même une négation précise de la croyance originelle en l’évolution « mécanique ». L’aspect schématique que rev
38 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
59 opuliste.) L’homme de gauche est renforcé dans sa croyance par le spectacle des sympathies plus ou moins affichées par la droite
39 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
60 constances, l’expérience marxiste eût réussi ? Sa croyance est d’ordre mystique, contredite par les faits connus. C’est une espè
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
61 bourgeois, c’est une mystique, un lyrisme, ou une croyance au chambardement libérateur. On comprend aisément les raisons de cet
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
62 me de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et cette évolutio
63 , et qui comporte même une négation précise de la croyance originelle en l’évolution « mécanique ». On doit admettre que les déf
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
64 riel !52 » J’ai dit aussi l’erreur centrale de la croyance collectiviste, qui veut que la culture, cette création, naisse sponta
65 pas, comme on l’entend peut-être trop souvent, la croyance plus ou moins enthousiaste en une vision plus ou moins définie de l’a
43 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
66 — sans devenir pour si peu des mains ! Seule une croyance survivante en la valeur des modes actuels de la propriété peut obscur
67 elles du communisme et du capitalisme. Seule, une croyance illusoire en la valeur de leur liberté de pensée peut servir de préte
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
68 ings politiques. » Cette objection repose sur une croyance tenace en la distinction absolue de la théorie et de la pratique, cro
69 tinction absolue de la théorie et de la pratique, croyance qu’il vaut la peine d’examiner ici, en tant que la culture que j’ai d
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
70 bourgeois, c’est une mystique, un lyrisme, ou une croyance au chambardement libérateur. On comprend aisément les raisons de cet
46 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
71 me de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et cette évolutio
72 , et qui comporte même une négation précise de la croyance des militants en l’évolution « mécanique ». On doit admettre que les
47 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
73 riel !53 » J’ai dit aussi l’erreur centrale de la croyance collectiviste qui veut que la culture, cette création, naisse spontan
74 pas, comme on l’entend peut-être trop souvent, la croyance plus ou moins enthousiaste en une vision plus ou moins définie de l’a
48 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
75 — sans devenir pour si peu des mains ! Seule une croyance survivante en la valeur des modes actuels de la propriété peut obscur
76 elles du communisme et du capitalisme. Seule, une croyance illusoire en la valeur de leur liberté de pensée peut servir de préte
49 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
77 ings politiques. » Cette objection repose sur une croyance tenace en la distinction absolue de la théorie et de la pratique, cro
78 tinction absolue de la théorie et de la pratique, croyance qu’il vaut la peine d’examiner ici, en tant que la culture que j’ai d
50 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
79 ns leur action, et qu’elle n’a rien changé à leur croyance ou plutôt à leur incroyance. Tout de même, on se dit souvent que ces
51 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
80 ! Il arrive souvent qu’un étranger s’initiant aux croyances d’un peuple soit le premier saisi par ce frisson d’absurdité que l’on
52 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
81 e mes petites décisions quotidiennes est faite de croyances spontanées et absolues en des « raisons » qui n’en sont pas, mais qui
82 ances mythiques deviennent l’objet anormal de ses croyances spontanées et immédiates. D’où l’empire monstrueux qu’elles prennent
83 tc. prévoyaient autre chose. » Et l’on décrit les croyances de son groupe en « parlant de la pluie et du beau temps ». (Je dis bi
53 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
84 les mêmes échos. La politique se fonde sur cette croyance , et la presse arrive parfois à lui donner une certaine consistance. M
54 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
85 xactement symétrique de celui des idéalistes : la croyance que si l’on change l’ordre des choses, on change automatiquement la r
86 militant, ont tenté la synthèse pratique des deux croyances , qu’ils estimaient complémentaires. D’autres, plus nombreux qu’on ne
87 té. Il me paraît que l’opposition finale entre la croyance marxiste et la foi personnelle du chrétien suffit à expliquer tout le
88 le tout de l’homme ; tandis que l’immanence de la croyance marxiste renvoie sans cesse le fait humain total dans un avenir indéf
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
89 e » opérée par les passions politiques et par les croyances morales.) Voici donc le dilemme : ou bien l’on est dans le chômage, e
90 aux yeux de ma raison ? Et si je n’avais pas une croyance secrète et puissante en l’ordre significatif du monde (quoi qu’il m’a
91 ns qui ne tiennent aucun compte de moi : voilà la croyance des hommes forts, disent-ils. Savoir quelle angoisse d’infériorité se
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
92 ns leur action, et qu’elle n’a rien changé à leur croyance ou plutôt à leur incroyance. Tout de même, on se dit souvent que ces
93 e mes petites décisions quotidiennes est faite de croyances spontanées et absolues en des « raisons » qui n’en sont pas, mais qui
94 ances mythiques deviennent l’objet anormal de ses croyances spontanées et immédiates. D’où l’empire monstrueux qu’elles prennent
95 c., prévoyaient autre chose. » Et l’on décrit les croyances de son groupe en « parlant de la pluie et du beau temps ». (Je dis bi
96 ailler et de se reproduire. Il faut abandonner la croyance illusoire en quelque Volonté infaillible du Peuple. Ou mieux : présen
57 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
97 orce de cette similitude si je l’applique à leurs croyances . Ils auront aussitôt tant de réponses à me jeter à la tête qu’ils ne
58 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
98 peut-être réussirons-nous à y croire. Ruine des croyances communes, carence du christianisme, appel irrationnel à de nouvelles
59 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
99 battent sur la base d’un accord fondamental : la croyance à la validité de la violence. Si tout d’un coup l’un des lutteurs sup
60 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
100 ncevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraîtr
61 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
101 ente le plus profond non-conformisme. Elle nie la croyance commune en la valeur révélatrice du spontané et de la multiplicité de
102 mplicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances , et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétien
103 l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyances . Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effe
104  mortelles » croyances. Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effets parmi les peuples de l’Orient ? C’
105 implement, d’un fait d’observation qui réfute les croyances courantes, nées du mythe de Tristan et de son négatif donjuanesque. M
62 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
106 du peuple allemand croit cela, et vit dans cette croyance . Et ensuite, mais ensuite seulement, traduisons chacun de ces termes
63 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
107 peut-être réussirons-nous à y croire. » Ruine des croyances communes, carence du christianisme, appel irrationnel à de nouvelles
64 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
108 nôtre, où si peu d’hommes connaissent leur vraie croyance et leurs vrais désirs, il est fatal que se développe au plus haut poi
65 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
109 ue de la « réaliser » en la débarrassant de ses «  croyances fantastiques » et de sa « méthode arriérée », qui est celle de l’auto
110 uves » ou de l’absence de preuves en matière de «  croyance  », débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vra
111 t à la religion en général, avec ses rites et ses croyances dont Alain respecte la forme et laïcise le contenu. « La vraie religi
66 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
112 parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de chaque croyance , de chaque valeur, Nietzsche a voulu violer le secret ; et leur défai
67 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
113 rendre maîtres. Tous sont soutenus par une double croyance dans le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’h
68 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
114 rçant l’hypothèse d’une communauté originelle des croyances religieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome, les Celtes a
115 e de l’Iran) ait pris, selon les peuples et leurs croyances , des formes très diverses, tantôt chrétiennes, tantôt bouddhistes ou
116 us les peuples d’Occident. Dès lors, les vieilles croyances païennes refoulées devinrent le refuge et l’espérance des tendances n
117 es cathares, nous avons vu qu’elle traduisait des croyances toutes contraires à celles qui fondent la morale chrétienne authentiq
118 n dit : ces troubadours ne parlent point de leurs croyances dans les poésies qui nous restent — il suffit de rappeler que les cat
119 me, le clergé eut la grande sagesse d’opposer une croyance « orthodoxe » qui répondit au même désir. De là les tentatives multip
120 entale. D’autre part, le peu que l’on connaît des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations pos
121 e les cathares eussent préconisé le suicide. Leur croyance à la réincarnation devait s’y opposer, selon lui. Mais il me semble q
69 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
122 Doukhobors (« combattants spirituels ») dont les croyances sont liées à celles des cathares et gnostiques. En 1929, les Doukhobo
70 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
123 on est fondé à contester la vérité dernière de la croyance mystique (manichéenne) qui est à l’origine de la passion et de son my
124 the : du moins faut-il bien reconnaître que cette croyance donne au drame et aux épreuves des amants une justification grandiose
125 iècle « rationnel » que nos mœurs se séparent des croyances religieuses (comme l’avait proposé Confucius) et, sans que nul parais
126 sme » moral en attribuant à l’auteur du roman les croyances de ses personnages. Si Rousseau fut le premier à décrire ces erreurs,
127 l est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialistes ne sont plus en mesure de justifier. Victime heureuse d
128 u primitivisme solaire, mais la pratique de cette croyance n’est pas de nature à nous tromper un seul instant : il n’y a pas de
71 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
129 ncevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraîtr
72 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
130 ente le plus profond non-conformisme. Elle nie la croyance commune en la valeur révélatrice du spontané et de la multiplicité de
131 mplicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances , et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétien
132 l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyances . Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effe
133  mortelles » croyances. Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effets parmi les peuples de l’Orient ? C’
134 implement, d’un fait d’observation qui réfute les croyances courantes, nées du mythe de Tristan et de son négatif donjuanesque. M
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
135 rçant l’hypothèse d’une communauté originelle des croyances religieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome, les Celtes a
136 ire de l’Iran) a pris, selon les peuples et leurs croyances , des formes très diverses, tantôt chrétiennes, tantôt bouddhistes ou
137 us les peuples d’Occident. Dès lors, les vieilles croyances païennes refoulées devinrent le refuge et l’espérance des tendances n
138 es cathares, nous avons vu qu’elle traduisait des croyances fort différentes de celles qui fondent la morale chrétienne orthodoxe
139 n dit : ces troubadours ne parlent point de leurs croyances dans les poésies qui nous restent — il suffit de rappeler que les cat
140 D’autre part, ce que l’on connaît aujourd’hui des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations pos
141 e et le clergé ne pouvaient manquer d’opposer une croyance et un culte qui répondissent au même désir profond, surgi de l’âme co
142 te magie érotique avait sa source d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seule présence des pouvoirs s
74 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
143 Doukhobors (« combattants spirituels ») dont les croyances sont liées à celles des cathares et gnostiques. En 1929, les doukhobo
75 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
144 on est fondé à contester la vérité dernière de la croyance mystique (manichéenne) qui est à l’origine de la passion et de son my
145 the : du moins faut-il bien reconnaître que cette croyance donne au drame et aux épreuves des amants une justification grandiose
146 iècle « rationnel » que nos mœurs se séparent des croyances religieuses (comme l’avait proposé Confucius) et, sans que nul parais
147 sme » moral en attribuant à l’auteur du roman les croyances de ses personnages. Si Rousseau fut le premier à décrire ces erreurs,
148 l est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialistes ne sont plus en mesure de justifier. Victime heureuse d
149 u primitivisme solaire, mais la pratique de cette croyance n’est pas de nature à nous tromper un seul instant : il n’y a pas de
76 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
150 ncevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraîtr
151 s cas d’urgence. Ce petit fait banal illustre des croyances toutes naturelles pour un Américain : c’est par là qu’il nous intéres
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
152 ente le plus profond non-conformisme. Elle nie la croyance commune en la valeur révélatrice du spontané et de la multiplicité de
153 mplicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances , et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétien
154 l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyances . Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effe
155  mortelles » croyances. Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effets parmi les peuples de l’Orient ? C’
156 implement, d’un fait d’observation qui réfute les croyances courantes, nées du mythe de Tristan et de son négatif donjuanesque. M
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
157 rçant l’hypothèse d’une communauté originelle des croyances religieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome, les Celtes a
158 ire de l’Iran) a pris, selon les peuples et leurs croyances , des formes très diverses, tantôt chrétiennes, tantôt bouddhistes ou
159 us les peuples d’Occident. Dès lors, les vieilles croyances païennes refoulées devinrent le refuge et l’espérance des tendances n
160 es cathares, nous avons vu qu’elle traduisait des croyances fort différentes de celles qui fondent la morale chrétienne orthodoxe
161 n dit : ces troubadours ne parlent point de leurs croyances dans les poésies qui nous restent — il suffit de rappeler que les cat
162 D’autre part, ce que l’on connaît aujourd’hui des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations pos
163 e et le clergé ne pouvaient manquer d’opposer une croyance et un culte qui répondissent au même désir profond, surgi de l’âme co
164 te magie érotique avait sa source d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seule présence des pouvoirs s
79 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
165 Doukhobors (« combattants spirituels ») dont les croyances sont liées à celles des cathares et gnostiques. En 1929, les Doukhob
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
166 on est fondé à contester la vérité dernière de la croyance mystique (manichéenne) qui est à l’origine de la passion et de son my
167 the : du moins faut-il bien reconnaître que cette croyance donne au drame et aux épreuves des amants une justification grandiose
168 iècle « rationnel » que nos mœurs se séparent des croyances religieuses (comme l’avait proposé Confucius) et, sans que nul parais
169 sme » moral en attribuant à l’auteur du roman les croyances de ses personnages. Si Rousseau fut le premier à décrire ces erreurs,
170 l est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialistes ne sont plus en mesure de justifier. Victime heureuse d
171 u primitivisme solaire, mais la pratique de cette croyance n’est pas de nature à nous tromper un seul instant : il n’y a pas de
81 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
172 ncevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraîtr
173 s cas d’urgence. Ce petit fait banal illustre des croyances toutes naturelles pour un Américain : c’est par là qu’il nous intéres
82 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
174 ente le plus profond non-conformisme. Elle nie la croyance commune en la valeur révélatrice du spontané et de la multiplicité de
175 implement, d’un fait d’observation qui réfute les croyances courantes, nées du mythe de Tristan et de son négatif donjuanesque. M
176 mplicité de cette religion avec nos plus vieilles croyances , et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétien
177 l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyances . Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effe
178  mortelles » croyances. Mais dira-t-on, ces mêmes croyances n’ont pas produit les mêmes effets parmi les peuples de l’Orient ? C’
83 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
179 talité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si nombreux, si quotidie
180 ium du peuple, disait Marx. Je lui réponds que sa croyance au Progrès est l’opium de la culture. S’il fallait résumer rapidement
181 n de l’esprit, je dirais : goût des automatismes, croyance aux fatalités de l’Histoire et de l’Économie, manie des organisations
84 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
182 impliquées des nations que l’on aime et de chères croyances … Mais quoi, la guerre présente nous rappelle au sérieux. Et ce n’est
85 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
183 us dépasse », tant par en haut que par en bas. La croyance au Progrès nous a mis des œillères. Et quand soudain la route normale
86 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
184 us dépasse », tant par en haut que par en bas. La croyance au Progrès nous a mis des œillères. Et quand soudain la route normale
87 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
185 user » et de m’entendre avec les Suisses d’autres croyances . Bien au contraire ! Car les seuls entretiens féconds sont ceux où ch
88 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
186 talité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si nombreux, si quotidie
187 m du peuple », disait Marx. Je lui réponds que la croyance au Progrès est devenue l’opium de la pensée. Bien entendu, ce n’est p
188 ité. Et s’ils en ont manqué, c’est parce que leur croyance au Progrès les dispensait de l’inquiétude d’où naît toujours la lucid
189 atalités économiques qui, selon lui, dominent nos croyances intimes. Mais cela revient au même : car si tout est déterminé par le
190 de l’esprit, je dirais :  goût des automatismes, croyance aux fatalités de l’Histoire et de l’Économie, manie des organisations
89 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
191 diable aux yeux des freudiens, mais seulement une croyance au diable, résultant de la « projection » d’un complexe de culpabilit
192 lité. Guérissez ce complexe, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de diable. Le démon ne serait qu’une image de névr
90 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
193 tomatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi universelle dans les masses et l’élite, l’on est induit à recon
194 tre éliminés par des mesures adroites. Toutes ces croyances , en grande partie superstitieuses, ont eu pour principal effet de nou
91 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
195 ix, de succès rapide, et à mesure que s’efface la croyance dans un au-delà qui, autrefois, permettait de prendre ses maux en pat
196 exister que dans une civilisation marquée par la croyance en la valeur unique de chaque être. Il suppose un objet irremplaçable
197 mplaçable, et comme prédestiné par un acte divin. Croyance essentiellement chrétienne à l’origine, et dont cette phrase du Mystè
92 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
198 diable aux yeux des freudiens, mais seulement une croyance au diable, résultant de la « projection » d’un sentiment de culpabili
199 . Guérissez ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de diable. Le démon ne serait qu’une image de névr
93 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
200 tomatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi universelle dans les masses et l’élite, l’on est induit à recon
201 tre éliminés par des mesures adroites. Toutes ces croyances , en grande partie superstitieuses, ont eu pour principal effet de nou
202 de conduire un peuple ou nos passions. Sur cette croyance repose le monde des assurés. Ils pensent avoir trouvé le système. Ils
94 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
203 ix, de succès rapide, et à mesure que s’efface la croyance dans un au-delà qui, autrefois, permettait de prendre ses maux en pat
204 exister que dans une civilisation marquée par la croyance en la valeur unique de chaque être. Il suppose un objet irremplaçable
205 mplaçable, et comme prédestiné par un acte divin. Croyance essentiellement chrétienne à l’origine, et dont cette phrase du Mystè
95 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
206 diable aux yeux des freudiens, mais seulement une croyance au diable, résultant de la « projection » d’un sentiment de culpabili
207 . Guérissez ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de diable. Le démon ne serait qu’une image de névr
96 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
208 tomatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi universelle dans les masses et l’élite, l’on est induit à recon
209 tre éliminés par des mesures adroites. Toutes ces croyances , en grande partie superstitieuses, ont eu pour principal effet de nou
210 de conduire un peuple ou nos passions. Sur cette croyance repose le monde des assurés. Ils pensent avoir trouvé le système. Ils
97 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
211 ix, de succès rapide, et à mesure que s’efface la croyance dans un au-delà qui, autrefois, permettait de prendre ses maux en pat
212 exister que dans une civilisation marquée par la croyance en la valeur unique de chaque être. Il suppose un objet irremplaçable
213 mplaçable, et comme prédestiné par un acte divin. Croyance essentiellement chrétienne à l’origine, et dont cette phrase du Mystè
98 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
214 ix, de succès rapide, et à mesure que s’efface la croyance dans un au-delà. D’une part l’individu moderne est incité à juger sa
99 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
215 tomatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi universelle dans les masses et l’élite, l’on est induit à recon
216 tre éliminés par des mesures adroites. Toutes ces croyances , en grande partie superstitieuses, ont eu pour principal effet de nou
100 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
217 et tiendrait même pour une prévention fâcheuse la croyance que ce but existe en tout état de cause. Pour moi, c’est presque le c