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l a enseigné que le vrai Dieu s’incarnait dans un
crucifié
vaincu ». Par une espèce de paradoxe — personne n’a chéri davantage l
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oin de la vérité qu’on nous parle — et puis enfin
crucifié
, décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
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mort duquel on médite, est la personne du Christ
crucifié
— ou se confond avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont pa
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mort duquel on médite, est la personne du Christ
crucifié
, — ou se confond avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont p
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lence. Nous le voyons dans ses plus purs modèles,
crucifié
entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
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nt pour tous et la vocation qui est pour un seul.
Crucifié
, dis-je, car l’homme européen en tant que tel n’accepte pas d’être ré
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ence. Nous le voyons, dans ses plus purs modèles,
crucifié
entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
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nt pour tous et la vocation qui est pour un seul.
Crucifié
, dis-je, car l’homme européen, en tant que tel, n’accepte pas d’être
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ous parle le professeur Martensen — et puis enfin
crucifié
, décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
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ous parle le professeur Martensen — et puis enfin
crucifié
, décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
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lence. Nous le voyons dans ses plus purs modèles,
crucifié
entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
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nt pour tous et la vocation qui est pour un seul.
Crucifié
, dis-je, car l’homme européen en tant que tel n’accepte pas d’être ré