1 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
1 l a enseigné que le vrai Dieu s’incarnait dans un crucifié vaincu ». Par une espèce de paradoxe — personne n’a chéri davantage l
2 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
2 oin de la vérité qu’on nous parle — et puis enfin crucifié , décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
3 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
3 mort duquel on médite, est la personne du Christ crucifié — ou se confond avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont pa
4 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
4 mort duquel on médite, est la personne du Christ crucifié , — ou se confond avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont p
5 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
5 lence. Nous le voyons dans ses plus purs modèles, crucifié entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
6 nt pour tous et la vocation qui est pour un seul. Crucifié , dis-je, car l’homme européen en tant que tel n’accepte pas d’être ré
6 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
7 ence. Nous le voyons, dans ses plus purs modèles, crucifié entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
8 nt pour tous et la vocation qui est pour un seul. Crucifié , dis-je, car l’homme européen, en tant que tel, n’accepte pas d’être
7 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
9 ous parle le professeur Martensen — et puis enfin crucifié , décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
8 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
10 ous parle le professeur Martensen — et puis enfin crucifié , décapité, brûlé ou rôti sur un gril, jeté par le bourreau dans un en
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
11 lence. Nous le voyons dans ses plus purs modèles, crucifié entre ces contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanenc
12 nt pour tous et la vocation qui est pour un seul. Crucifié , dis-je, car l’homme européen en tant que tel n’accepte pas d’être ré