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es montrent leurs effets aux yeux de tous. « Mea
culpa
» des pacifistes, qui n’ont pas su imaginer le mal parce qu’ils croya
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ils croyaient au bien fait de main d’homme. « Mea
culpa
» des militaristes, qui n’ont pas su imaginer un autre bien que la dé
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onquête, mais qui tue ce qu’elle conquiert. « Mea
culpa
» des gens de droite, qui croyaient pouvoir conserver des privilèges
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our mieux les détrousser au bout du compte. « Mea
culpa
» des gens de gauche, dont le programme de bonheur obligatoire était
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te contre lequel ils excitaient les masses. « Mea
culpa
» des Suisses, qui voulaient profiter des avantages de la folie moder
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part minime dans la banqueroute européenne. « Mea
culpa
» des clairvoyants, qui dénoncèrent le mal dans leurs écrits, mais qu