1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 u fameux scrupule protestant, qui ne peut être un danger lorsqu’il n’est, comme ici, que la loyauté d’un esprit animé par une
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)
2 et se permet de bâiller en public. On connaît le danger … r. « Wilfred Chopard  : Spicilège ironique, poèmes (Spes, Lausanne
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 mon autoportrait moral : je bouge tout le temps. Danger de faire mon autoportrait moral : je me compose plus laid que nature.
4 ce. Mais les bénéfices sont maigres en regard des dangers que la sincérité du noli me tangere fait courir, tant dans le domaine
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
5 peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger pour le désordre établi. L’idéalisme est forcément révolutionnaire da
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
6 ire des signes dans le vide à des hasards gros de dangers , c’est peut-être à quoi notre génération devra limiter l’efficacité d
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
7 peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger pour le désordre établi. L’idéalisme est forcément révolutionnaire da
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
8 ire des signes dans le vide à des hasards gros de dangers , c’est peut-être à quoi notre génération devra limiter l’efficacité d
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 n point d’un parvenu, mais d’un aristocrate. Tous dangers égaux d’ailleurs, préférons cet impérialisme de l’âme à celui de la s
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
10 contraignirent tel génie à produire son œuvre. Le danger de cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque problème, l’« hy
10 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
11 », la mesure, et la suprême astuce. Toutefois, le danger d’un écart, par ailleurs confortable, entre nos idéaux généreux et no
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
12 ffrance, plus intimement ancrée, et voici l’autre danger  : la délectation ascétique, l’obscurité glaciale des Mystères. Un peu
13 à la chute soudaine de l’ivresse devant le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième
12 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
14 jours nouvelle de la vie. Le petit purisme est un danger permanent au sein de la jeunesse intellectuelle bourgeoise théoriquem
15 ires, ces bons petits intellectuels deviennent un danger pour la Révolution ou pour ne rien exagérer un poids mort, un facteur
13 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
16 n vis-à-vis de lui-même et de son passé. C’est le danger qui nous purifiera. « Toute plante que n’a pas plantée mon Père céles
17 d’envisager l’ultime et le plus « grossier » des dangers inhérents à l’être concret. Seul l’Évangile — je ne dis pas les relig
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
18 n point d’un parvenu, mais d’un aristocrate. Tous dangers égaux d’ailleurs, préférons cet impérialisme de l’âme à l’impérialism
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 n point d’un parvenu, mais d’un aristocrate. Tous dangers égaux d’ailleurs, préférons cet impérialisme de l’âme à l’impérialism
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
20 nt, il va falloir choisir. La pensée redevient un danger , un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne no
21 os camarades marxistes ou racistes ont bien vu le danger . Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le mot de Go
22 es autres. Votre réaction est disproportionnée au danger . Et d’ailleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous parle tant
17 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
23 à la dénonciation des moyens et des personnes. Le danger est beaucoup plus profond : il est dans la conception rationaliste de
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
24 ît son pouvoir et son acte, mesure la grandeur du danger , sait qu’il s’y offre armé, et connaît ses retraites. Raison géométri
25 ⁂ À ce degré d’évolution du mal, la conscience du danger s’obscurcit. Une espèce d’indifférence monstrueuse se répand chez les
19 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
26 action “révolutionnaire” est disproportionnée aux dangers que vous dénoncez. Et d’ailleurs, qu’est-ce que cette personne dont v
20 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
27 qu’il y a lieu de souligner le plus fortement ce danger . Je n’ai pas, ici, à juger l’objection de conscience. Je me bornerai
28 re établi par l’Église, dont nous savons tous les dangers pour l’Église même. Plusieurs textes de L’Ordre nouveau manifestent
21 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
29 ants de l’activité des Groupes. Qu’il y ait là un danger réel d’exhibitionnisme, les membres des Groupes ne sauraient le nier.
30 embres des Groupes pourraient devenir pour eux un danger assez grave. Il y a là un risque indéniable : celui de naturaliser la
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
31 daleux ? Parce que « la crainte infinie d’un seul danger nous rendrait tous les autres inexistants ». Mais cette « crainte d’u
32 res inexistants ». Mais cette « crainte d’un seul danger  » peut-elle encore, sérieusement, caractériser le chrétien moyen de c
23 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
33 que l’homme enraciné défendra son patriotisme. Le danger , c’est que ces deux conceptions partielles, qui comportent chacune le
24 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
34 er qu’on est digne. Le meilleur moyen d’éviter ce danger serait sans doute d’envisager l’histoire d’une religion dans la persp
35 humain, n’est-il pas significatif de la nature du danger qu’on courait ? La conclusion de cette requête mérite d’ailleurs d’êt
25 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
36 nt, il va falloir choisir. La pensée redevient un danger , un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne no
37 os camarades marxistes ou racistes ont bien vu le danger . Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le mot de Go
38 es autres. Votre réaction est disproportionnée au danger . Et d’ailleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous parle tant
26 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
39 on. — Il y a dans votre position personnaliste un danger bien plus grand que celui de l’oligarchie. C’est celui de l’anarchie.
27 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
40 ssible d’envisager froidement la nature réelle du danger . Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques professeurs, peut r
41 e, un des vieux rêves de la pensée thomiste51. Dangers du fascisme La cohérence du fascisme n’est réelle et organique qu’
42 jouer pour entraîner les classes moyennes, est un danger plus grand pour les Églises que la tragédie soviétique. Et pour des r
43 ’à sa vocation. Qui n’est pas fasciste ? Le danger réel du fascisme n’apparaît pas à la majorité des bons bourgeois. Les
28 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
44 à la dénonciation des moyens et des personnes. Le danger est beaucoup plus profond : il est dans la conception rationaliste de
29 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
45 nt, il va falloir choisir. La pensée redevient un danger , un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne no
46 os camarades marxistes ou racistes ont bien vu le danger . Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le mot de Go
47 es autres. Votre réaction est disproportionnée au danger . Et d’ailleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous parle tant
30 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
48 on. — Il y a dans votre position personnaliste un danger bien plus grand que celui de l’oligarchie. C’est celui de l’anarchie.
31 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
49 ssible d’envisager froidement la nature réelle du danger . Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques professeurs, peut r
50 la papauté, un des vieux rêves de la papauté. Dangers du fascisme La cohérence du fascisme n’est réelle et organique qu’
51 jouer pour entraîner les classes moyennes, est un danger plus grand pour les Églises que la tragédie soviétique. Et pour des r
52 ’à sa vocation. Qui n’est pas fasciste ? Le danger réel du fascisme n’apparaît pas à la majorité des bons bourgeois. Les
32 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
53 à la dénonciation des moyens et des personnes. Le danger est beaucoup plus profond : il est dans la conception rationaliste de
33 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
54 ation s’éclaircit. Voici venir le temps des vrais dangers , c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. (paru dans
34 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
55 aine renaissance. Mais il importe d’en marquer le danger , disons plus : le péché, qui l’a stérilisée avant qu’elle eût dévelop
35 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
56 chrétiens ne vivaient pas aussi de pain. Le grand danger du socialisme n’est pas dans son matérialisme, mais dans sa fausse sp
36 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
57 de nationale ou de prolétarienne, peu importe, le danger est pareil. À moins qu’une force nouvelle n’apparaisse, qui ne soit n
37 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
58 ogie tout un monde spirituel et poétique plein de dangers et de merveilles. Le choix des textes me paraît des plus heureux, la
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
59 ’irez pas leur reprocher, tout de même, d’être un danger pour leurs voisins. Moi. — Bon. Admettons. C’est là que nous en étio
60 a nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’elle est forte et armée. C’est bien pourquoi j’estime que votr
61 on à la guerre. Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, avec une sincérité que je ne puis mettre en d
39 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
62 entre « l’héritage du Christ » d’une part, et les dangers de déviations protestantes de l’autre23. L’on verrait mieux que l’opp
63 iste à accumuler des assurances contre tous les «  dangers  », possibles, qui se ramènent au seul danger que la Parole ne parle p
64 s « dangers », possibles, qui se ramènent au seul danger que la Parole ne parle pas, que l’Esprit soit mal entendu, c’est-à-di
40 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
65 ieux aux approches de l’orage, ainsi, flairant le danger  », il a dit : Je n’ai pas la foi, — certains pensent qu’au fond, il n
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
66 Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)v À propo
67 niste Victor Serge. (Esprit, juin 1936.) v. « Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme », L’Ordre nouveau, Paris,
42 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
68 e confondre révolution et stupidité crasse. Or le danger de cette assimilation n’est pas niable. Il est clair que les masses s
69 es empêchaient jusqu’ici de prendre conscience du danger . La littérature soviétique est née de la révolution. Elle s’est const
70 si ces religions nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles constituent cepend
71 station totale de notre esprit nous avertira d’un danger  : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne so
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
72 confondre révolution et stupidité crasse. Or, le danger de cette assimilation n’est pas niable. Il est clair que les masses s
73 es empêchaient jusqu’ici de prendre conscience du danger . La littérature soviétique est née de la révolution. Elle s’est const
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
74 si ces religions nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles constituent cepend
75 station totale de notre esprit nous avertira d’un danger  : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne so
45 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
76 tion de notre sensibilité éthique nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de fo
77 rai que seule une douteuse délicatesse dénonce le danger présent dans le développement magnifique de nos instruments de pensée
78 nts de pensée, et s’il est vrai en général que le danger n’est pas dans nos outils, mais bien dans la faiblesse de nos mains,
79 ût, la mesure, et la suprême astuce. Toutefois le danger d’un écart, par ailleurs confortable, entre nos idéaux généreux et no
80 e serait une erreur insondable que de croire le «  danger matérialiste » écarté pour autant. Car le danger n’est nullement là o
81  danger matérialiste » écarté pour autant. Car le danger n’est nullement là où le dénonce la frousse des propriétaires ; il es
46 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
82 u’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au danger . Mission de la culture Si la démission de la culture tient, com
83 que chez un homme qui a reconnu et qui accepte le danger de penser. On serait parfois tenté de souhaiter qu’en France l’activi
84 accidentelles. Ce que je veux dire, c’est que le danger de penser est immédiat à l’acte de penser, qui se forge ses fatalités
47 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
85 fet, à l’intérieur même de l’empire, s’établit un danger qu’ignorent les pays de marche. Le sentiment de la sécurité, de l’enn
48 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
86 confondre révolution et stupidité crasse. Or, le danger de cette assimilation n’est pas niable. Il est clair que les masses s
87 es empêchaient jusqu’ici de prendre conscience du danger . La littérature soviétique est née de la révolution. Elle s’est const
49 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
88 urtant, à supposer qu’elles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles n’en sont pas moin
89 station totale de notre esprit nous avertira d’un danger  : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne so
50 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
90 tion de notre sensibilité éthique nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de fo
91 rai que seule une douteuse délicatesse dénonce le danger présent dans le développement magnifique de nos instruments de pensée
92 nts de pensée, et s’il est vrai en général que le danger n’est pas dans nos outils, mais bien dans la faiblesse de nos mains,
93 ût, la mesure, et la suprême astuce. Toutefois le danger d’un écart, par ailleurs confortable, entre nos idéaux généreux et no
94 e serait une erreur insondable que de croire le «  danger matérialiste » écarté pour autant. Car le danger n’est nullement là o
95  danger matérialiste » écarté pour autant. Car le danger n’est nullement là où le dénonce la frousse des propriétaires ; il es
51 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
96 u’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au danger . Mission de la culture Si la démission de la culture tient, com
97 que chez un homme qui a reconnu et qui accepte le danger de penser. On serait parfois tenté de souhaiter qu’en France l’activi
98 accidentelles. Ce que je veux dire, c’est que le danger de penser est immédiat à l’acte de penser, qui se forge ses fatalités
52 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
99 e problèmes et entraîne de telles incidences (les dangers d’une information d’État : Tass ou DNB sont aussi graves que celles d
53 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
100 comptés. Quant à l’objection connexe relative au danger d’anarchie, nous rappellerons d’abord que l’ON prévoit un État qui so
54 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
101 notre rubrique. Il reste alors à reconnaître les dangers d’une semblable méthode, et les limites de sa fécondité. ⁂ Tant qu’on
102 en se résoudre à de grossières approximations. Le danger serait alors d’ignorer qu’il ne s’agit que d’approximations, voire da
103 iberté selon les classes ou les nations). ⁂ Autre danger  : si l’on questionne directement les gens sur leurs « pensées » et pr
55 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
104 de sa carrière que son ami Engels en découvrit le danger . « Marx et moi — écrit-il en 1890 — nous sommes peut-être responsable
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
105 rop d’idées sont sans substance, sans pesée, sans danger , par suite sans nulle utilité ni vérité, on préconise une sorte de ma
57 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
106 c’est de jouer au christianisme, d’en écarter les dangers , et de jouer ensuite au jeu que l’évêque Nynster était un témoin de l
58 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
107 Du danger de s’unir (15 avril 1938)e Le ministère Blum a vécu l’espace d’une
108 ite et de gauche pour proclamer qu’en présence du danger , l’exercice de la pensée libre, ou simplement de l’intelligence, équi
109 énerver, si nous osons vivre la paix ? e. « Du danger de s’unir », Les Nouveaux Cahiers, Paris, n° 23, 15 avril 1938, p. 21
59 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
110 ation s’éclaircit. Voici venir le temps des vrais dangers , c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. 78. Baude
60 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
111 naturelle et la plus instinctive : « Au signal du danger , armons-nous ! » L’instinct ancestral de l’homme, c’est de parer à la
112 s populaire. J’ai à cœur cependant de montrer son danger pour nous Suisses. Et je voudrais, à titre personnel évidemment, prés
113 pour éviter la pluie, on se jette à l’eau. Autre danger  : si l’on accepte de jouer le jeu des armements, l’effrénée concurren
61 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
114 onner lieu qu’à des commentaires édifiants sur le danger de pécher et le remords, devient soudain vertu mystique (dans le symb
115 ial, quel qu’il soit. (Et je ne parle même pas du danger spirituel que fait courir à la personne l’éthique de l’évasion, qui e
62 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
116 t poliment mes objections (portant surtout sur le danger de guerre que représente l’hitlérisme). Il reconnaît le bien-fondé de
117 ite que personne n’aura le temps de bouger. Aucun danger de guerre. Un éclair, et tout sera terminé. N’ayez pas peur pour la p
118 ’irez pas leur reprocher, tout de même, d’être un danger pour leurs voisins. Moi. — Bon. Admettons. C’est là que nous en étio
119 a nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’elle est forte et armée. C’est bien pourquoi j’estime que votr
120 on à la guerre. Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, avec une sincérité que je ne puis mettre en d
121 e l’Évangile, le témoignage des fidèles. Le grand danger serait de lier sa foi à des valeurs humaines périmées. C’est pourquoi
122 je risque l’accident… Qu’adviendra-t-il quand ces dangers n’exciteront plus que nos réflexes ? Retrouverons-nous une liberté no
63 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
123 ce le touriste stupéfait par le paysage et par le danger , M. Denis de Rougemont vient de publier L’Amour et l’Occident , livr
124 mme une prééminence dont l’Église a bien senti le danger , puisqu’elle a développé le culte de Notre-Dame pour répondre au cult
64 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
125 Juan se révèle le moins dangereux. (Appelons ici danger ce qui peut compromettre un certain équilibre social que les mœurs on
65 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
126 sse : c’est qu’on pressent qu’elle n’est pas sans danger . Elle nous met en effet au cœur de tout le problème — et sa portée dé
127 inguer le sens secret et inquiétant du mythe : le danger qu’il exprime et voile, cette passion qui ressemble au vertige… Mais
128 e pourrait-on dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le
66 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
129 . D. Roché, op. cit., insiste lui aussi sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le ciel », selon les cathares, et oppo
67 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
130 e Thérèse étaient mieux avertis que quiconque des dangers de la « luxure spirituelle ». (C’est l’expression de saint Jean de la
68 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
131 inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger , Male-Bouche et Honte défendent Bel Accueil contre les entreprises de
132 le la vraie nature de l’Amour qu’il chante, et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un reflet : De m
69 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
133 ne bataille, dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger  : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie
70 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
134 onner lieu qu’à des commentaires édifiants sur le danger de pécher et le remords, devient soudain vertu mystique (dans le symb
135 ial, quel qu’il soit. (Et je ne parle même pas du danger spirituel que fait courir à la personne l’éthique de l’évasion, qui e
136 morale en soi, que sous l’aspect du risque et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet. Tandis que du point de vue
71 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
137 halte du souvenir et de l’amitié. Vraiment, quel danger y aurait-il à faire l’éloge d’une certaine paresse dans une occasion
72 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
138 tent de les précipiter. Il voit trop bien à quels dangers leur victoire même les exposera : s’ils font la guerre pour s’enrichi
139 ps plus d’efforts qu’il n’en pouvait fournir sans danger pour la santé… Tout ce que je faisais, je le faisais en toute simplic
73 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
140 e l’Église, des Apôtres jusqu’à Luther. Devant le danger , ils serrent les rangs. Ils se mettent à compter leurs forces, à rece
141 , la communauté fondée sur la personne courait le danger d’une double déviation : d’une part vers l’individualisme, d’autre pa
142 mme fasciste, c’est définir du même coup certains dangers qui menacent en permanence notre morale de la personne. Je vais le mo
143 e protestantisme créateur de personnalités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralisme, le culte de nos vertus utili
74 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
144 du couvent. Le capitaine de Flue accourt, voit le danger auquel sont exposés l’édifice sacré et les nonnes. Il s’agenouille al
75 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
145 a seule chose nécessaire ! Et voici qu’au jour du danger tout ton peuple se tourne vers toi pour t’écouter ! Choral ii. N
146 Avertis, car nous t’écoutons ! Prie pour nous, le danger se lève ! Témoin frugal et prophétique Tu le voyais, tu nous avertiss
76 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
147 sse : c’est qu’on pressent qu’elle n’est pas sans danger . Elle nous met en effet au cœur de tout le problème — et sa portée dé
148 inguer le sens secret et inquiétant du mythe : le danger qu’il exprime et voile, cette passion qui ressemble au vertige… Mais
149 e pourrait-on dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
150 Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le ciel », selon les cathares, et oppo
78 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
151 e Thérèse étaient mieux avertis que quiconque des dangers de la « luxure spirituelle ». (C’est l’expression de saint Jean de la
79 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
152 inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger , Male-Bouche et Honte défendent Bel Accueil contre les entreprises de
153 ble la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un reflet : De mê
80 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
154 ne bataille, dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger  : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie
81 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
155 onner lieu qu’à des commentaires édifiants sur le danger de pécher et le remords, devient soudain vertu mystique (dans le symb
156 ial, quel qu’il soit. (Et je ne parle même pas du danger spirituel que fait courir à la personne l’éthique de l’évasion, qui e
157 morale en soi, que sous l’aspect du risque et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet. Tandis que du point de vue
82 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
158 sse : c’est qu’on pressent qu’elle n’est pas sans danger . Elle nous met en effet au cœur de tout le problème — et sa portée dé
159 inguer le sens secret et inquiétant du mythe : le danger qu’il exprime et voile, cette passion qui ressemble au vertige… Mais
160 e pourrait-on dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le
83 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
161 Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le ciel », selon les cathares, et oppo
84 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
162 e Thérèse étaient mieux avertis que quiconque des dangers de la « luxure spirituelle ». (C’est l’expression de saint Jean de la
85 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
163 inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger , Male-Bouche et Honte défendent Bel Accueil contre les entreprises de
164 ble la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un reflet : De m
86 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
165 ne bataille, dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger  : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie
87 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
166 onner lieu qu’à des commentaires édifiants sur le danger de pécher et le remords, devient soudain vertu mystique (dans le symb
167 ial, quel qu’il soit. (Et je ne parle même pas du danger spirituel que fait courir à la personne l’éthique de l’évasion, qui e
168 morale en soi, que sous l’aspect du risque et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet. Tandis que du point de vue
88 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
169 en dogme, et la morale protestante succombe à ce danger plus qu’aucune autre dans les périodes de dépression théologique. D’o
170 age qu’ils ne servent nos goûts naturels, d’où le danger de didactisme que nous courons tous plus ou moins. À cet égard, il m’
89 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
171 , ils ont perdu cette chance. Ils n’ont pas vu le danger , ils ont eu peur de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvri
90 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
172 aphique centrale nous exposerait à de trop grands dangers en cas de guerre, enfin, parce que notre diversité raciale et religie
91 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
173 ences étrangères. Paris propose une liberté et un danger , une révélation totale de l’humain dans tous ses risques matériels et
92 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
174 rt domine tout, et tout la découvre »? On voit le danger d’aller chercher dans un passé que l’on connaît mal les causes d’une
93 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
175 verbes. Et lorsqu’on nous avertissait de certains dangers formidables qui menaçaient l’existence même de l’héritage européen, n
94 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
176 verbes. Et lorsqu’on nous avertissait de certains dangers formidables qui menaçaient l’existence même de l’héritage européen, n
95 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
177 ndant, mettons-nous au travail pour qu’au jour du danger — toujours probable ! —, nous nous trouvions aussi bien préparés qu’i
96 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
178 servira de rien. 5. Notre matérialisme. — Le pire danger qui nous menace : nous avons renversé l’échelle des valeurs. Le cadre
97 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
179 taxer le réel avec une dure exactitude : face au danger . Leur Suisse est au sommet de son élan vers la conquête et la richess
98 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
180 permanente du politique et de l’économique est un danger très grave pour notre pays ; elle a conduit sous nos yeux d’autres ré
99 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
181 e action la renforce. De tout temps, à l’appel du danger , nos ancêtres se sont levés. C’est notre tour. Pour le directoire :
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
182 e l’Église, des Apôtres jusqu’à Luther. Devant le danger , ils serrent les rangs. Ils se mettent à compter leurs forces, à rece
183 , la communauté fondée sur la personne courait le danger d’une double déviation : d’une part vers l’individualisme, d’autre pa
184 mme fasciste, c’est définir du même coup certains dangers qui menacent en permanence notre morale de la personne. Je vais le mo
185 e protestantisme créateur de personnalités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralisme, le culte de nos vertus utili