1 semble pas entendre. L’homme antique, c’est Adam dessaisi de sa royauté ; et l’univers antique, c’est son royaume abandonné à l

2 « J’ai le bon esprit de saisir avidement et de me dessaisir de tout ce que la jouissance me promet d’être heureux, ce qui fait qu

3 se maintiennent, et ne se laissent point aisément dessaisir de leurs possessions. Je confronte ces deux peuples, pour ce qu’ils s

4 litarisme » de leurs pouvoirs et ne se seront pas dessaisis , en tant qu’entités politiques, des « droits » économiques qu’ils s’a

5 litarisme » de leurs pouvoirs et ne se seront pas dessaisis , en tant qu’entités politiques, des « droits » économiques qu’ils s’a

6 litarisme » de leurs pouvoirs et ne se seront pas dessaisis , en tant qu’entités politiques, des « droits » économiques qu’ils s’a

7 ocratique dont chacun serait, en attendant mieux, dessaisi d’une partie de sa souveraineté au profit de l’ensemble… Si l’écrivai

8 ; — ou bien l’État-nation se voit progressivement dessaisi de ses prétentions totalitaires et autarciques : des hommes et des gr

9 l’avenir devienne notre affaire, l’État doit être dessaisi des pleins pouvoirs. Ce n’est qu’en décidant de reprendre leur destin

10 , — ou bien l’État-nation se voit progressivement dessaisi . Des hommes et des groupes d’hommes décident de reprendre en main leu

11 insensée de pouvoirs dont le citoyen s’est laissé dessaisir par égoïsme, peur des risques ou gain de paix, désormais peut être pe

12 insensée de pouvoirs dont le citoyen s’est laissé dessaisir par égoïsme, par peur des risques ou gain de paix, désormais peut êtr